Jim HARRISON (Etats-Unis)
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Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Oui Chien Brun s'occupe de ses neveux, un garçon et une fille Baie , la mère est alcoolique et Baie est est déficiente mentale. Jim, parle de Chien Brun dans Dalva et La route du retour, il a même une liaison avec Dalva.
Je lis Jim Harrison depuis bien longtemps j'en suis fan .
Je lis Jim Harrison depuis bien longtemps j'en suis fan .
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clarize- Nombre de messages : 2594
Location : FRANCE
Date d'inscription : 09/11/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Vraiment ? je ne me rappelle pas que Chien Brun était dans Dalva!!! Je me disais voilà pas longtemps que ca serait sympa que je relise Dalva.
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Mousseline
Magasin général tome 2 : Serge de Loisel et Tripp et L'île des chasseurs d'oiseaux de Peter May
"Happiness is only real when shared." (Christopher McCandless)
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
UNE ODYSSEE AMERICAINE :Jim Harrison
Editions Flammarion - 317 pages.
Cliff a soixante deux ans. C'est un ancien professeur devenu fermier, et sa femme vient de le quitter pour un autre homme, en lui reprenant la ferme au passage. Orphelin de sa chienne Lola qui vient de mourir, il embarque dans sa vieille guimbarde à bout de souffle pour un voyage à travers les Etats Unis. C'est le fait d'avoir retrouvé un puzzle d'enfant qui reconstitue le pays avec des morceaux de puzzle représentant tous les états, qui lui en a donné l'idée (J'avais le même sur la France quand j'étais petite ). Et le voilà parti, quittant le Michigan, et jetant, à chaque frontière d'état, le morceau de celui qu'il vient de quitter. En chemin, il embarque Marybelle, ancienne étudiante de quarante ans avec laquelle il passe des moments très chauds, rejoint son fils gay à San Francisco, visite un ami perdu dans le désert au milieu des serpents. Il a pour but de renommer chaque état d'un nom indien...C'est un road-movie plein d'humour, de sexe, de bière, de liberté, de pêche à la mouche, d'amour de la nature, de considérations acides sur la vie contemporaine. Du Jim Harrison, quoi ! L'histoire d'un homme de soixante ans qui repart de zéro.
Pour moi, ce fut une lecture très agréable et un bien bon moment passé en sa compagnie.
4/5
Editions Flammarion - 317 pages.
Cliff a soixante deux ans. C'est un ancien professeur devenu fermier, et sa femme vient de le quitter pour un autre homme, en lui reprenant la ferme au passage. Orphelin de sa chienne Lola qui vient de mourir, il embarque dans sa vieille guimbarde à bout de souffle pour un voyage à travers les Etats Unis. C'est le fait d'avoir retrouvé un puzzle d'enfant qui reconstitue le pays avec des morceaux de puzzle représentant tous les états, qui lui en a donné l'idée (J'avais le même sur la France quand j'étais petite ). Et le voilà parti, quittant le Michigan, et jetant, à chaque frontière d'état, le morceau de celui qu'il vient de quitter. En chemin, il embarque Marybelle, ancienne étudiante de quarante ans avec laquelle il passe des moments très chauds, rejoint son fils gay à San Francisco, visite un ami perdu dans le désert au milieu des serpents. Il a pour but de renommer chaque état d'un nom indien...C'est un road-movie plein d'humour, de sexe, de bière, de liberté, de pêche à la mouche, d'amour de la nature, de considérations acides sur la vie contemporaine. Du Jim Harrison, quoi ! L'histoire d'un homme de soixante ans qui repart de zéro.
Pour moi, ce fut une lecture très agréable et un bien bon moment passé en sa compagnie.
4/5
Chantal- Nombre de messages : 3216
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Date d'inscription : 22/12/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Grand Maître
Sur le point de prendre sa retraite au terme d’une longue carrière
dans la police du Michigan, l’inspecteur Sunderson enquête sur une
secte hédoniste qui a pris ses quartiers à quelques kilomètres de chez
lui. Simple hurluberlu inoffensif au premier abord, le gourou se fait
appeler Grand Maître. Au fil de leurs recherches, Sunderson et son
improbable acolyte de seize ans, Mona, découvrent un personnage bien
plus sinistre qu’il n’y paraît. Lui-même poursuivi par ses propres
démons, imbibé d’alcool et obsédé par les femmes, Sunderson traque sa
proie des bois du Michigan jusqu’à une petite ville d’Arizona qui
fourmille de criminels transfrontaliers, avant d’atterrir dans le
Nebraska, où les adeptes du Grand Maître espèrent s’établir pour de
bon. Un chef-d’œuvre tragicomique, étincelant d’humour et de désespoir.
Ben....ce Harrison là ne m'a pas vraiment emballé, même pas du tout!
l'ai trouvé très répétitif...et comme le disait une internaute sur Amazon fr, Cipolla Robin :
... à la sauce ennuyeuse ou ennuyante.
Est
ce Brice Matthieussent qui a utilisé un logiciel de traduction ou bien
le Grand Maître qui perd pied ? Seuls celles et ceux qui liront la VO
pourront m'en instruire.
Le sujet aurait pu permettre un voyage entre
trois états US genre "l’Odyssée Américaine" mais on se retrouve avec
des personnages vides et des paysages transparents.
Du mal à croire que c'est le grand Jim qui a pondu ça.
Les
virgules sont jetées à l'arrache dans les phrases ce qui me fait
soupçonner que le Brice complice a traduit l'original sur un coin de
comptoir.
moi aussi me suis demandée si cela tenait à la traduction, pourtant, en principe, Brice Matthieussent est une référence, question traduction.
en ai conclu: ce Harrison là l'a ennuyé autant que moi! me surprenais à comptabiliser le nombre de whisky bus par Sunderson au cours d'une journée...
et perso, n'ai jamais connu de mec aussi lubrique et reluquant les
fesses et les petites culottes des jeunes filles en herbe en bandant
quasi en permanence..certes, je sais que cela existe, mais...
Harrison a toujours été obsédé par le sexe, mais là, franchement, cela devient pathétique et surtout rasoir...
Et toute cette quête policière quasi bidon et mal ficelée est narrée sans une once d'humour.
On nous donne à voir les quelques bribes de pensées d'un flic lubrique qui arrive à la retraite et n'y est pas préparé.
alors, il boit, s'enfonce, puis ô miracle, se mettra à la randonnée sur le tard, à mon avis bien trop tard!
et côté Nature Writing? néant. Plus aucune féérie..rien, pas la moindre description qui vous ferait envie d'aller dans le Nord...
en refermant ce bouquin ai eu mal au coeur pour Harrison, il eût été préférable qu'il jette ce manuscrit aux oubliettes!
Grosse déception
3/5
- Broché: 349 pages
- Editeur : Flammarion (5 septembre 2012)
- Collection : LITTERATURE ETR
- Langue : Français
- ISBN-10: 2081262088
- ISBN-13: 978-2081262089
Sur le point de prendre sa retraite au terme d’une longue carrière
dans la police du Michigan, l’inspecteur Sunderson enquête sur une
secte hédoniste qui a pris ses quartiers à quelques kilomètres de chez
lui. Simple hurluberlu inoffensif au premier abord, le gourou se fait
appeler Grand Maître. Au fil de leurs recherches, Sunderson et son
improbable acolyte de seize ans, Mona, découvrent un personnage bien
plus sinistre qu’il n’y paraît. Lui-même poursuivi par ses propres
démons, imbibé d’alcool et obsédé par les femmes, Sunderson traque sa
proie des bois du Michigan jusqu’à une petite ville d’Arizona qui
fourmille de criminels transfrontaliers, avant d’atterrir dans le
Nebraska, où les adeptes du Grand Maître espèrent s’établir pour de
bon. Un chef-d’œuvre tragicomique, étincelant d’humour et de désespoir.
Ben....ce Harrison là ne m'a pas vraiment emballé, même pas du tout!
l'ai trouvé très répétitif...et comme le disait une internaute sur Amazon fr, Cipolla Robin :
... à la sauce ennuyeuse ou ennuyante.
Est
ce Brice Matthieussent qui a utilisé un logiciel de traduction ou bien
le Grand Maître qui perd pied ? Seuls celles et ceux qui liront la VO
pourront m'en instruire.
Le sujet aurait pu permettre un voyage entre
trois états US genre "l’Odyssée Américaine" mais on se retrouve avec
des personnages vides et des paysages transparents.
Du mal à croire que c'est le grand Jim qui a pondu ça.
Les
virgules sont jetées à l'arrache dans les phrases ce qui me fait
soupçonner que le Brice complice a traduit l'original sur un coin de
comptoir.
moi aussi me suis demandée si cela tenait à la traduction, pourtant, en principe, Brice Matthieussent est une référence, question traduction.
en ai conclu: ce Harrison là l'a ennuyé autant que moi! me surprenais à comptabiliser le nombre de whisky bus par Sunderson au cours d'une journée...
et perso, n'ai jamais connu de mec aussi lubrique et reluquant les
fesses et les petites culottes des jeunes filles en herbe en bandant
quasi en permanence..certes, je sais que cela existe, mais...
Harrison a toujours été obsédé par le sexe, mais là, franchement, cela devient pathétique et surtout rasoir...
Et toute cette quête policière quasi bidon et mal ficelée est narrée sans une once d'humour.
On nous donne à voir les quelques bribes de pensées d'un flic lubrique qui arrive à la retraite et n'y est pas préparé.
alors, il boit, s'enfonce, puis ô miracle, se mettra à la randonnée sur le tard, à mon avis bien trop tard!
et côté Nature Writing? néant. Plus aucune féérie..rien, pas la moindre description qui vous ferait envie d'aller dans le Nord...
en refermant ce bouquin ai eu mal au coeur pour Harrison, il eût été préférable qu'il jette ce manuscrit aux oubliettes!
Grosse déception
3/5
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Yahou!!! superbe entrevue. et en plus on voit les rues de Livingstone. Mais ce qu'il a vieilli Jim Harrison. A ne pas manquer pour les fans. J'adoore.
Alors vous en pensez quoi ?
Alors vous en pensez quoi ?
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Mousseline
Magasin général tome 2 : Serge de Loisel et Tripp et L'île des chasseurs d'oiseaux de Peter May
"Happiness is only real when shared." (Christopher McCandless)
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
NORD MICHIGAN : Jim Harrison
Editions 10/18 - 223 pages.
John est un agriculteur-professeur qui a repris la ferme à la mort de son père. Ses parents sont des immigrés suédois qui ont travaillé dur toute une vie. Sa mère ne va pas tarder à mourir et ses soeurs se sont toutes éloignées de la ferme suite à leur mariage. John est handicapé suite à un grave accident de jeunesse : il traîne la jambe et a besoin souvent d'une canne. John entretient une relation très suivie et régulière avec Rosealee qui enseigne avec lui et est la veuve de son meilleur ami. Il partage ses loisirs, après la ferme et l'enseignement, entre la chasse, la pêche souvent avec le vieux docteur Evans, médecin de la famille, et les soirées à la taverne voisine. Mais le voilà qui succombe à une de ses plus grandes élèves de dix sept ans, Catherine, dont il ne peut plus se passer.....
Une histoire simple mais racontée de main de maître par Jim Harrison. C'est une plongée dans la vie à la ferme, à la chasse, la pêche, c'est une analyse de l'homme confronté aux difficultés quotidiennes de la vie, à ses émotions, ses pulsions, souvent en difficulté pour prendre des décisions, faire des choix, réaliser ses rêves ou pour contrôler le cours de sa vie. Un récit qui coule, coule, où le lecteur n'est jamais "mêlé", où les éléments du passé arrivent juste quand il faut pour expliquer le comportement et les réactions de John. Une construction très réussie et "le" style Harrison font de ce livre une lecture bien réjouissante. Les trois premières pages sont à relire quand le livre est terminé et la boucle est bouclée.
4,5/5
Chantal- Nombre de messages : 3216
Location : France
Date d'inscription : 22/12/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
légendes d'automne
Trois courts romans publiés en 1979 relatent trois vengeances : le duel à mort entre un ancien pilote du Vietnam et un milliardaire mexicain, un cadre aux prises avec un marchand de drogue et enfin la vie et la mort de trois frères durant la Première Guerre mondiale.
La première histoire m'a beaucoup plu, celle du cadre, il a la mauvaise idée de tomber amoureux de la femme d'un marchand de drogue mexicain. Laissé pour mort dans la panpa, il sera receuilli par des Mexicains qui vont le remettre sur pied ; lui laissant le temps de préparer sa vengeance.
Les deux autres histoires, m'ont très vite ennuyées ; elle sont une suite de situations dramatiques, sans un petit quelque chose qui surprenne le lecteur. La narration est la même, simple et entrainante, c'est les récits qui sont fades.
Trois courts romans publiés en 1979 relatent trois vengeances : le duel à mort entre un ancien pilote du Vietnam et un milliardaire mexicain, un cadre aux prises avec un marchand de drogue et enfin la vie et la mort de trois frères durant la Première Guerre mondiale.
La première histoire m'a beaucoup plu, celle du cadre, il a la mauvaise idée de tomber amoureux de la femme d'un marchand de drogue mexicain. Laissé pour mort dans la panpa, il sera receuilli par des Mexicains qui vont le remettre sur pied ; lui laissant le temps de préparer sa vengeance.
Les deux autres histoires, m'ont très vite ennuyées ; elle sont une suite de situations dramatiques, sans un petit quelque chose qui surprenne le lecteur. La narration est la même, simple et entrainante, c'est les récits qui sont fades.
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Nageur de rièvière
quatrième de couverture:
Le nouveau livre de Jim Harrison met en scène deux hommes aux prises avec l'amour, le désir, et toutes les contrariétés qui vont avec, tandis qu'en toile de fond la ville gangrène peu à peu la nature. Clive, historien de l'art distingué mais artiste raté, revient à contrecoeur dans la ferme familiale du Michigan pour s'occuper de sa mère. Et pourtant, à soixante ans, ce retour dans sa maison d'enfance va lui offrir une vraie cure de jouvence. Sur les bords du lac Michigan, Thad vit quant à lui dans une ferme isolée. Confronté à l'injustice et au difficile passage à l'âge adulte, il se prépare à traverser le lac pour rejoindre Chicago. C'est le début d'un long périple et d'un apprentissage décisif pour ce jeune homme jusqu'alors plus à l'aise dans l'eau et les rêves que sur la terre ferme. Ecrit avec la verve de ses meilleurs romans, Nageur de rivière nous rappelle brillamment le talent et la profonde humanité de Jim Harrison.
j'ai tellement aimé les premiers écrits, que j'achète toujours Harrisson, dès qu'il en publie un nouveau, même si je sais que peut-être je serai très déçue.
Eh bien, réjouissez-vous les rats, c'est du bon Harrisson.
J'ai préféré la première nouvelle, celle de Clive, l'historien d'art émérite qui vient s'occuper de sa vieille mère
et s'interroge sur sa vie,
il a une envie d'élaguer, de revenir aux choses simples, à l'essentiel, - sa mère est pleinement heureuse quand elle voit et écoute le chant des oiseaux - et il se remet à peindre, avec bonheur.
la deuxième, celle de Thad le nageur m'a semblé bien trop compliquée....mais elle se laisse lire....
4/5
- Broché: 256 pages
- Editeur : Flammarion (5 mars 2014)
- Collection : LITTERATURE ETR
- Langue : Français
- ISBN-10: 2081262096
- ISBN-13: 978-2081262096
quatrième de couverture:
Le nouveau livre de Jim Harrison met en scène deux hommes aux prises avec l'amour, le désir, et toutes les contrariétés qui vont avec, tandis qu'en toile de fond la ville gangrène peu à peu la nature. Clive, historien de l'art distingué mais artiste raté, revient à contrecoeur dans la ferme familiale du Michigan pour s'occuper de sa mère. Et pourtant, à soixante ans, ce retour dans sa maison d'enfance va lui offrir une vraie cure de jouvence. Sur les bords du lac Michigan, Thad vit quant à lui dans une ferme isolée. Confronté à l'injustice et au difficile passage à l'âge adulte, il se prépare à traverser le lac pour rejoindre Chicago. C'est le début d'un long périple et d'un apprentissage décisif pour ce jeune homme jusqu'alors plus à l'aise dans l'eau et les rêves que sur la terre ferme. Ecrit avec la verve de ses meilleurs romans, Nageur de rivière nous rappelle brillamment le talent et la profonde humanité de Jim Harrison.
j'ai tellement aimé les premiers écrits, que j'achète toujours Harrisson, dès qu'il en publie un nouveau, même si je sais que peut-être je serai très déçue.
Eh bien, réjouissez-vous les rats, c'est du bon Harrisson.
J'ai préféré la première nouvelle, celle de Clive, l'historien d'art émérite qui vient s'occuper de sa vieille mère
et s'interroge sur sa vie,
il a une envie d'élaguer, de revenir aux choses simples, à l'essentiel, - sa mère est pleinement heureuse quand elle voit et écoute le chant des oiseaux - et il se remet à peindre, avec bonheur.
la deuxième, celle de Thad le nageur m'a semblé bien trop compliquée....mais elle se laisse lire....
4/5
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Jim Harrison est décédé samedi 26 mars 2016 en Arizona, d'une crise cardiaque, à l'âge de 78 ans.
Chantal- Nombre de messages : 3216
Location : France
Date d'inscription : 22/12/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Je n'ai jamais lu cet auteur, c'est un des préférés de ma mère. Je vais lire prochainement Dalva pour enfin le découvrir.
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Challenge US : 29/51
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Comme Cyrielle, je n'ai encore jamais lu cet auteur, mais en ai envie depuis bien longtemps. Beaucoup de personnes ne jurent que par lui, et j'aime beaucoup l'homme, avant même de l'avoir lu.
Mandarine- Nombre de messages : 3340
Age : 38
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Moi non plus je n'ai jamais lu cet auteur malgré toutes le recommandations de Clarize: il va falloir que j'y remédie!
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Et notre Mousseline aussi était une grande fan! J'avais beaucoup aimé les carnets de route de François Busnel sur Jim Harrison.
On pourrait se faire une lecture commune... mais je m'étais juré de ne plus acheter de livres avant un bon moment... Que faire
On pourrait se faire une lecture commune... mais je m'étais juré de ne plus acheter de livres avant un bon moment... Que faire
Mandarine- Nombre de messages : 3340
Age : 38
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Un grand auteur que je n'ai lu qu'un petit livre quand il était auteur du mois. J'en lirai bien d'autres, Dalva entre autres m'intéresse bien...
Shan_Ze- Admin
- Nombre de messages : 9243
Age : 40
Location : Lyon/France
Date d'inscription : 26/10/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Découvert Jim Harrison avec trois de ses livres ("Dalva", "Retour en terre" et "Légendes d'automne"); des lectures où les amérindiens et la nature sont souvent au premier plan. Portraits d'âmes et descriptions d'une certaine Amérique; difficile de rester insensible à sa plume.
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Challenge "Book around the States": 20/50
géromino- Nombre de messages : 5568
Age : 59
Location : Finistère, FRANCE
Date d'inscription : 07/11/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Coïncidence, la semaine dernière j'ai sorti de ma PAL l'odyssée américaine. Un grand auteur qui disparait...
petitemartine- Admin
- Nombre de messages : 4719
Age : 53
Location : Morbihan /France
Date d'inscription : 04/01/2009
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Jamais lu cet auteur non plus, pourtant j'ai Légendes d'automne dans ma PAL depuis un moment.
Faut que je le remonte en haut de ma pile.
Faut que je le remonte en haut de ma pile.
cookie610- Nombre de messages : 5559
Age : 33
Location : Lyon
Date d'inscription : 28/07/2009
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Dalva
Ce livre est assez connu, et je n'ai pas l'art d'écrire de jolies critiques, donc je me contente d'un bref avis, juste pour, je l'espère, vous donner envie de le lire.
J'ai vraiment tout aimé dans ce livre. Les personnages, tout d'abord: Dalva, touchante par sa liberté, son indépendance, et sa profondeur. Michael, qui est attachant malgré tous ses défauts; le grand-père, fort, intelligent et secret; le vieux Northridge, dont la vie extraordinaire ne peut nous laisser indifférents; etc.
Les journaux du vieux Northridge nous offrent une plongée dans la fin du XIXè siècle et le crépuscule des civilisations indiennes. On apprend énormément de choses, révoltantes, on se demande comment on a pu en arriver là...
L'histoire de Dalva à la recherche de son fils, ainsi que son histoire d'amour avec Duane sont également très touchantes, bien écrites, prenantes!
C'est une lecture dont je me souviendrai longtemps. J'ai presque envie de le relire tout de suite
J'ai également hâte de lire la "suite", à savoir : "La route du retour"
5/5
Ce livre est assez connu, et je n'ai pas l'art d'écrire de jolies critiques, donc je me contente d'un bref avis, juste pour, je l'espère, vous donner envie de le lire.
J'ai vraiment tout aimé dans ce livre. Les personnages, tout d'abord: Dalva, touchante par sa liberté, son indépendance, et sa profondeur. Michael, qui est attachant malgré tous ses défauts; le grand-père, fort, intelligent et secret; le vieux Northridge, dont la vie extraordinaire ne peut nous laisser indifférents; etc.
Les journaux du vieux Northridge nous offrent une plongée dans la fin du XIXè siècle et le crépuscule des civilisations indiennes. On apprend énormément de choses, révoltantes, on se demande comment on a pu en arriver là...
L'histoire de Dalva à la recherche de son fils, ainsi que son histoire d'amour avec Duane sont également très touchantes, bien écrites, prenantes!
C'est une lecture dont je me souviendrai longtemps. J'ai presque envie de le relire tout de suite
J'ai également hâte de lire la "suite", à savoir : "La route du retour"
5/5
Mandarine- Nombre de messages : 3340
Age : 38
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Lu deux fois et autant apprécié que toi, un des "piliers" de ma bibliothèque.
Chantal- Nombre de messages : 3216
Location : France
Date d'inscription : 22/12/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
"La femme aux lucioles" 10/18 2001 315 pages
Trois nouvelles:
*Chien brun*, la quarantaine, est un marginal aux origines floues (il se dit de sang indien); fouilleur d'épaves, il découvre lors d'une plongée au fond du lac Michigan, un chef indien noyé, bien conservé. Son objectif est de lui rendre une sépulture digne et pour cela, monte une opération risquée, avec vol de camion frigo pour acheminer le corps! En parallèle, sa compagne Shelley tente de lui soutirer la localisation d'un cimetière indien...
Par rapport à ce que j'ai déjà lu de lui, j'ai retrouvé ici la patte d'Harrison: ce sont les indiens, l'impertinence, le vocabulaire parfois cru et la présence de cette nature sauvage à l'américaine qui participent à une lecture attrayante et savoureuse.
*Sunset limited* un ancien groupuscule de militants extrémistes se remobilise pour tenter de faire libérer l'un des leurs qui n'a pas abandonné complètement la lutte. La tâche est délicate, leur ami étant emprisonné à proximité de la frontière, côté mexicain...
Cette nouvelle -la plus longue- cadre moins avec l'univers que je connais de l'auteur. Si il fouille toujours autant la vie et le portrait de ses personnages, j'ai eu plus l'impression de suivre une sorte de roman d'espionnage qui traîne trop en longueur. J'ai moins aimé.
*La femme aux lucioles* Claire, la cinquantaine, ne supporte plus l'existence auprès de son mari égoïste, pour qui ne compte que les programmes boursiers. Elle profite d'un arrêt sur une aire de repos pour s'enfuir dans les champs...
Ici, j'ai plus apprécié ce portrait de femme qui veut fuir une vie qui lui échappe. Une écriture qui dégage sensibilité et émotion. C'est touchant.
Note (pour l'ensemble) 4/5
Trois nouvelles:
*Chien brun*, la quarantaine, est un marginal aux origines floues (il se dit de sang indien); fouilleur d'épaves, il découvre lors d'une plongée au fond du lac Michigan, un chef indien noyé, bien conservé. Son objectif est de lui rendre une sépulture digne et pour cela, monte une opération risquée, avec vol de camion frigo pour acheminer le corps! En parallèle, sa compagne Shelley tente de lui soutirer la localisation d'un cimetière indien...
Par rapport à ce que j'ai déjà lu de lui, j'ai retrouvé ici la patte d'Harrison: ce sont les indiens, l'impertinence, le vocabulaire parfois cru et la présence de cette nature sauvage à l'américaine qui participent à une lecture attrayante et savoureuse.
*Sunset limited* un ancien groupuscule de militants extrémistes se remobilise pour tenter de faire libérer l'un des leurs qui n'a pas abandonné complètement la lutte. La tâche est délicate, leur ami étant emprisonné à proximité de la frontière, côté mexicain...
Cette nouvelle -la plus longue- cadre moins avec l'univers que je connais de l'auteur. Si il fouille toujours autant la vie et le portrait de ses personnages, j'ai eu plus l'impression de suivre une sorte de roman d'espionnage qui traîne trop en longueur. J'ai moins aimé.
*La femme aux lucioles* Claire, la cinquantaine, ne supporte plus l'existence auprès de son mari égoïste, pour qui ne compte que les programmes boursiers. Elle profite d'un arrêt sur une aire de repos pour s'enfuir dans les champs...
Ici, j'ai plus apprécié ce portrait de femme qui veut fuir une vie qui lui échappe. Une écriture qui dégage sensibilité et émotion. C'est touchant.
Note (pour l'ensemble) 4/5
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géromino- Nombre de messages : 5568
Age : 59
Location : Finistère, FRANCE
Date d'inscription : 07/11/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Dalva
Arrivée à un tournant de sa vie Dalva décide de retourner dans son ranch familial du Nebraska. Elle est accompagnée d'un historien Mickaël qui aura le privilège de pouvoir lire les carnets écrits par l'arrière grand-père de Dalva: un missionnaire qui avait pris fait et cause pour le peuple sioux au moment de son extermination par les Américains.
Jim Harrison nous dévoile tour à tour l'histoire personnelle tourmentée de Dalva et la vie du "héros" que fut son grand-père tout en nous immergeant dans les paysages magnifiques du Nebraska.
Je vais certainement aller à contre-courant de la plupart des critiques mais j'avoue humblement que ce roman ne m'a pas emballée. Je n'ai pas accroché du tout au style de l'auteur. Je ne me suis pas attachée aux personnages pourtant bien sympathiques. Bref je me suis ennuyée.....
Ma note 2,5/5
Arrivée à un tournant de sa vie Dalva décide de retourner dans son ranch familial du Nebraska. Elle est accompagnée d'un historien Mickaël qui aura le privilège de pouvoir lire les carnets écrits par l'arrière grand-père de Dalva: un missionnaire qui avait pris fait et cause pour le peuple sioux au moment de son extermination par les Américains.
Jim Harrison nous dévoile tour à tour l'histoire personnelle tourmentée de Dalva et la vie du "héros" que fut son grand-père tout en nous immergeant dans les paysages magnifiques du Nebraska.
Je vais certainement aller à contre-courant de la plupart des critiques mais j'avoue humblement que ce roman ne m'a pas emballée. Je n'ai pas accroché du tout au style de l'auteur. Je ne me suis pas attachée aux personnages pourtant bien sympathiques. Bref je me suis ennuyée.....
Ma note 2,5/5
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Légendes d'automne - Jim Harrison
10/18 - 320 pages
Quatrième de couverture
Au fil de ces trois novelas puissantes et sauvages, Jim Harrison compose une tragédie moderne où la violence, la rédemption et l’amour vibrent à chaque page. De Cochran, l’ancien militaire laissé pour mort, à Tristan Ludlow, parti pour le front de 1914, la vengeance, immuable, est au cœur de leur destin.
Mon avis
Cette lecture m’a laissé un peu perplexe. On ne peut pas dire que je n’ai pas aimé mais on ne peut pas dire non plus que j’ai été emballée. Notamment pour la deuxième histoire qui m’a franchement ennuyée et où je n’ai pas compris le personnage, qui se remet à la danse après sa séparation d’avec sa femme.
La première histoire m’a davantage intéressée malgré sa violence, quant à la troisième, c’est de loin ma préférée. Peut-être parce que j’ai beaucoup aimé le film qui en a été tiré. Plus d’ailleurs que le livre qui est, à mon goût, bien trop court pour qu’on puisse réellement connaitre et s’attacher aux personnages.
C’est d’ailleurs ce qui fait que je n’ai pas tellement accroché à ces histoires. L’auteur est trop distant avec ses personnages et avec les épreuves qu’ils traversent. Et surtout, la brièveté des histoires ne permet de bien développer leurs émotions et leurs caractères.
Par contre, Jim Harrison évoque très bien la nature et nous fait voyager aussi bien au Mexique qu’au fin fond du Montana.
Bref, bilan un peu en demi-teinte, j’avais déjà lu Jim Harrison avec Dalva, que j’avais aimé. Je pense que je relirai Harrison mais en choisissant plutôt un roman, car définitivement, les nouvelles ne sont pas ma tasse de thé.
3/5
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Lecture en cours : Astrid et Veronika - Linda Olsson
"Lire est le seul moyen de vivre plusieurs fois"
Lyreek- Nombre de messages : 3099
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Date d'inscription : 26/10/2008
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
La route du retour
Il m'est un peu difficile de parler de ce livre, tellement j'ai aimé et suis triste de quitter ces personnages. J'ai l'impression qu'ils font partie de mon entourage, de mes amis, de ma famille...
J'ai adoré retrouver les personnages de "Dalva"; on en apprend plus sur la vie du fameux grand-père, puis sur la vie du fils de Dalva. Naomi, cette mère discrète, et Paul, ont également la parole pendant un moment, avant de céder la place à la sublime Dalva. J'ai aimé avoir d'autres points de vue, approfondir des personnages tous très typés. On retrouve bien sûr des thèmes tels que l'amour de la nature, les amérindiens, mais aussi l'amour des voyages, des oiseaux, de la bonne chère, bref de la vie!
La fin est magnifique, et je dois dire que j'ai terminé cette lecture avec une larme au coin des yeux...
Je ne mets pas la note maximale, tout simplement parce qu'il m'a un peu moins embarquée que "Dalva", à cause d'une certaine longueur vers le milieu du livre (qui en fait est peut-être subjective et liée à mon état au moment où je lisais ce passage, qui sait...!)
4.5/5
Il m'est un peu difficile de parler de ce livre, tellement j'ai aimé et suis triste de quitter ces personnages. J'ai l'impression qu'ils font partie de mon entourage, de mes amis, de ma famille...
J'ai adoré retrouver les personnages de "Dalva"; on en apprend plus sur la vie du fameux grand-père, puis sur la vie du fils de Dalva. Naomi, cette mère discrète, et Paul, ont également la parole pendant un moment, avant de céder la place à la sublime Dalva. J'ai aimé avoir d'autres points de vue, approfondir des personnages tous très typés. On retrouve bien sûr des thèmes tels que l'amour de la nature, les amérindiens, mais aussi l'amour des voyages, des oiseaux, de la bonne chère, bref de la vie!
La fin est magnifique, et je dois dire que j'ai terminé cette lecture avec une larme au coin des yeux...
Je ne mets pas la note maximale, tout simplement parce qu'il m'a un peu moins embarquée que "Dalva", à cause d'une certaine longueur vers le milieu du livre (qui en fait est peut-être subjective et liée à mon état au moment où je lisais ce passage, qui sait...!)
4.5/5
Mandarine- Nombre de messages : 3340
Age : 38
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
DALVA
Christian Bourgeois éditeur 472 pages
Ma note : 3/5
Mon avis : Encore une fois je sors déçue d'un grand classique que la plupart ont aimé. Je dois peut-être avoir un problème !
Ce n'est pas que je n'ai pas aimé, car l'écriture est vraiment magnifique. Mais j'ai trouvé l'histoire particulièrement fouillie. On fait des sauts dans le temps, des années 50-60 aux années 80, en passant par les lettres de l'arrière grand-père datant du XIXème siècle. On ne sait jamais trop sur quel pied danser. Et malgré cette écriture que j'ai beaucoup apprécié, les personnages ne m'int pas touchée.
Je retenterais bien de lire cet auteur pour confirmer ou non cet avis.
Christian Bourgeois éditeur 472 pages
Ma note : 3/5
Mon avis : Encore une fois je sors déçue d'un grand classique que la plupart ont aimé. Je dois peut-être avoir un problème !
Ce n'est pas que je n'ai pas aimé, car l'écriture est vraiment magnifique. Mais j'ai trouvé l'histoire particulièrement fouillie. On fait des sauts dans le temps, des années 50-60 aux années 80, en passant par les lettres de l'arrière grand-père datant du XIXème siècle. On ne sait jamais trop sur quel pied danser. Et malgré cette écriture que j'ai beaucoup apprécié, les personnages ne m'int pas touchée.
Je retenterais bien de lire cet auteur pour confirmer ou non cet avis.
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Lecture en cours : La guerre de la faille I : Magicien - L'apprenti de Raymond E. Feist
PAL : 571
Livres lus depuis le début de l'année : 17 (7478 pages)
Re: Jim HARRISON (Etats-Unis)
Tu n'es pas toute seule Patience : moi non plus je n'ai pas du tout accroché.....
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