Ch’ongjun YI (Corée du sud)
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Ch’ongjun YI (Corée du sud)
De : lacazavent (Message d'origine) Envoyé : 2008-12-16 03:03
« Les Gens du Sud » de Ch’ongjun YI
littérature coréenne
Actes Sud / 148 pages
4ème de couverture :
Un chanteur vagabond emmène avec lui deux enfants après la mort de leur mère. Il veut leur apprendre à pratiquer le chant et, ne parvenant pas à tuer cet homme qui n’est pas son vrai père, il choisit la fuite. Alors le vagabond rend aveugle sa propre fille, et en fait une chanteuse.
Trente ans plus tard, devenu adulte, le garçon est à la recherche de sa demi-sœur…
Accompagné par une excellente postface de Patrick Maurus, on part à la découverte du p’ansori, un très ancien chant incantatoire dont l’état d’esprit est tout à la fois empreint de douleur et d’un ressentiment absent de touts rancœur.
Ce sont cinq épisodes d’un même destin qui s’unissent sous une trame narrative simple, proche du conte. Tout y est lent, délicat, obsédant, tout contribue à recréer l’atmosphère se dégageant d’une mélopée envoûtante.
Un texte très agréable à lire, juste pour ceux qui aime rester un instant suspendu une fois la dernière page tourné.
Ce livre fut adapté au cinéma par le cinéaste Im Kwônt’aek pour son centième film sous le titre « Beyond the years » ( Par-delà les années).
Ma note : 4/5
« Les Gens du Sud » de Ch’ongjun YI
littérature coréenne
Actes Sud / 148 pages
4ème de couverture :
Un chanteur vagabond emmène avec lui deux enfants après la mort de leur mère. Il veut leur apprendre à pratiquer le chant et, ne parvenant pas à tuer cet homme qui n’est pas son vrai père, il choisit la fuite. Alors le vagabond rend aveugle sa propre fille, et en fait une chanteuse.
Trente ans plus tard, devenu adulte, le garçon est à la recherche de sa demi-sœur…
Accompagné par une excellente postface de Patrick Maurus, on part à la découverte du p’ansori, un très ancien chant incantatoire dont l’état d’esprit est tout à la fois empreint de douleur et d’un ressentiment absent de touts rancœur.
Ce sont cinq épisodes d’un même destin qui s’unissent sous une trame narrative simple, proche du conte. Tout y est lent, délicat, obsédant, tout contribue à recréer l’atmosphère se dégageant d’une mélopée envoûtante.
Un texte très agréable à lire, juste pour ceux qui aime rester un instant suspendu une fois la dernière page tourné.
Ce livre fut adapté au cinéma par le cinéaste Im Kwônt’aek pour son centième film sous le titre « Beyond the years » ( Par-delà les années).
Ma note : 4/5
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