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David DAVIDAR (Inde)

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David DAVIDAR (Inde) Empty David DAVIDAR (Inde)

Message  gallo Jeu 6 Aoû 2009 - 9:08

David Davidar a eu sa formation à Madras, (nommé mainteant Chennai) et l'université de Harvard, où il a obtenu un diplôme d'éditeur. IL s'est installé en tant que journaliste et éditeur à New Delhi.
Il est en 1985 cofondateur de Penguin books en Inde. Il a édité entre autres Kiran Desai, Arundhati Roy, Vikram Seth, Vikram Chandra, Rohinton Mistry, Salman Rushdie, Upamanyu Chatterjee, Khushwant Singh, R.K. Narayan, Shobhaa De, Romila Thapar, Shashi Tharoor, Suketu Mehta, William Dalrymple, Mohsin Hamid et Ramachandra Guha.
En 2004 il a été transféré au Penguin Books au Canada, où il a publié entre autres Philip Roth, Khaled Hosseini, John le Carré, Alice Munro (paperback), Stuart McLean, Margaret Macmillan, Joseph Boyden, Zadie Smith, Hisham Matar, Adrienne Clarkson, Michael Ignatieff et John Ralston Saul.

Il a publié son premier roman en 2001, La maison aux mangues bleues, qui a été traduit de suite en 16 langues. (Celui qui est le plus proche du feu se chauffe le mieux....)

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David Davidar: La maison aux mangues bleues (2001)
Traduit par Jean Guiloineau, Fayard 2002, LP 2004, 699 pg.
(Le livre avec des caractères un peu grands pour un pocket est moins grand que le nombre de pages fait penser)

Le titre doit exprimer qu'il s'agit d'une saga familial. Le roman est composé de trois "livres": trois générations d'Indiens catholiques. La prèmiere génération: un chef de village, qui sera tué dans une querelle de castes; la deuxième génération: deux fils, dont un devient révolutionaire et terminera sa vie en prison; et le deuxième fils, intellectuel, chassé par le père pour son peu d'envie de se battre, deviendra pharmacien et médecin, fondateur d'une usine de crème pour blanchir la peau. Ce nouveau riche va rassembler sa famille pour fonder une colonie dans son village natal. La troisième génération est axé sur le petit-fils qui va être planteur de thé et tente d'être à égalité avec les planteurs anglais, ce qui ne réussit pas et il retournera au village de l'ancêtre pour y prendre une importance sociale.
Les trois générations se situent dans trois périodes importantantes dans l'histoire de l'Inde: les revoltrs des castes, la naissance du mouvement d'Indépendance; et la deuxième guerre mondiale précurseur de l'Indépendance.

À un quart de la lecture, j'ai écrit: "Je bute un peu sur le style de ce roman historique sur l'Inde. Une style sans élégance, ennuyeux comme un essai et avec des fausses images: "comme un virus" en 1899 ??? Malgré la louangeuse 4ème de couverture, je doute de la valeur littéraire de ce premier roman. "

Oui, le style est sans élégance; peut-être partiellement à cause de la traduction. Mais l'ennui diminue à mesure que l'on avance dans la lecture. Ma note 3,5/5.

Le troisième chapitre fait un peu penser à "Ouroug"= "Le Lac noir" de l'auteure Hella S. HAASSE (Pays-Bas) sur un jeune indonésien, mais le livre de Davidar manque l'intimité du livre de Haasse. La comparaison des deux livres me fait encore plus être conscient de la faiblesse du style de Davidar, qui n'est vraiment pas un conteur-né.

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