Inderjit BADHWAR (Inde)
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Inderjit BADHWAR (Inde)
De : pounette (Message d'origine) Envoyé : 2006-08-31 07:13
La Chambre aux parfums d'Inderjit Badhwar
Tan, émigré aux Etats-unis, revient en Inde à la mort de son père.
Il se remémore alors ses souvenirs d'enfance et plus particulièrement la chambre de son père, surnommée " la chambre aux parfums".
On découvre l'univers de ces enfants du baby-boom, pris entre modernité naissante et tradition indienne.
Puis, en suivant le parcours et les pensées du jeune homme, le monde occidental apparaît sous un angle différent.
C'est à la mort de son père que Tan se rendra compte du conflit qui l'agite, pris entre l'Orient et l'Occident. Il tentera alors de l'apaiser.
Ce livre m'a d'abord attiré par son titre enchanteur et un résumé intéressant.
Le libraire m'avait conseillé ce livre d'Inderjit Badhwar, surnommé le "Philip Roth indien".
Cependant, que de déception!!! je ne suis même pas allée au bout.
Je m'attendais à quelque chose d'assez poétique alors qu'en fait ce livre est très politique.
Bref, je n'est pas été tenue par l'histoire.
Ma note: 2,5/5
Pounette
De : Sahkti1 Envoyé : 2006-09-04 16:11
Inderjit BADHWAR, La chambre des parfums
Editions Le Cherche-Midi, ISBN 2749101956
Littérature indienne
Roman en grande partie autobiographique, "La Chambre des parfums" raconte la vie d’une famille dans la province indienne de Raïpur au milieu des années 1960. Tout au long du récit, une figure est là, marquante, permanente, celle du père. Un père malade, mourant, pour lequel Tan quitte les Etats-Unis afin de venir assister aux derniers fragments de vie paternelle. Ce père repose dans ce qu’on appelle la chambre des parfums. En le veillant, Tan repense à sa province natale, à sa culture indienne, à son départ pour les Etats-Unis où il ne s’intégrera jamais et sera toujours perçu comme un immigrant. Il réalise combien le fossé entre ses deux cultures est grand. Difficile de revendiquer la liberté sexuelle en vogue aux States alors que l’Inde ne vit que par un système de castes. Difficile de comprendre une sœur qui accepte un mariage arrangé mais prend des amants en cachette. Difficile de se retrouver un numéro au milieu de tant d’autres alors qu’il a cru devenir important en quittant sa famille. Ecartèlement permanent pour Tan qui doit apaiser des conflits profonds de personnalité.
L’écriture de Inderjit Badhwar est très belle, dépouillée, pudique, offrant une jolie porte de douceur aux monologues intérieurs du narrateur qui se cherche et n’arrive pas à trouver sa place et son identité.
C'est tout le dilemne des racines qui prend place dans ce livre, cette sensation de ne plus être vraiment chez soi. L'auteur raconte cela avec beaucoup de justesse.
Ma note: 4/5
De : Garanemsa Envoyé : 2008-08-23 14:40
LA CHAMBRE DES PARFUMS
Inderjit Badhwar
Voilà j’avais bien commencé, mais la seconde moitié je l’ai lue en diagonale
Certes un livre super bien écrit, avec force détails sur la vie en Inde entre autres.
Mais il semble être plus un documentaire
Il mérité bien une très bonne critique.
Mais ce n’est pas le genre que j’aime.
La quatrième de couverture :
Alors que son père se meurt, Tan quitte les Usa où il réside depuis de longues années pour revenir en Inde, dans sa province natale. Dans la chambre des parfums, où repose le corps de son père avant la crémation, il réalise combien il s’est éloigné de sa culture d’origine. Ecartelé entre hindouisme et christianisme, entre une société de castes et des sympathies d’extrême gauche, il devra apaiser le conflit intérieur qui, jusqu’alors, n’a cessé de le déchirer.
Qualifié de Philip Roth indien par la critique l’auteur conjugue avec une rare maîtrise lucidité, humour et émotion.
Premier roman en grande partie autobiographie, ce livre s’est classé, dès sa sortie en Inde, dans les meilleures ventes et a obtenu en France, le prix du premier roman étranger en 2004.
Comme je l’ai dit, je n’aime pas ce genre, je pensais à autre chose en lisant la couverture, mais pour le récit et la façon dont cela est fait je mettrais un 4/5
La Chambre aux parfums d'Inderjit Badhwar
Tan, émigré aux Etats-unis, revient en Inde à la mort de son père.
Il se remémore alors ses souvenirs d'enfance et plus particulièrement la chambre de son père, surnommée " la chambre aux parfums".
On découvre l'univers de ces enfants du baby-boom, pris entre modernité naissante et tradition indienne.
Puis, en suivant le parcours et les pensées du jeune homme, le monde occidental apparaît sous un angle différent.
C'est à la mort de son père que Tan se rendra compte du conflit qui l'agite, pris entre l'Orient et l'Occident. Il tentera alors de l'apaiser.
Ce livre m'a d'abord attiré par son titre enchanteur et un résumé intéressant.
Le libraire m'avait conseillé ce livre d'Inderjit Badhwar, surnommé le "Philip Roth indien".
Cependant, que de déception!!! je ne suis même pas allée au bout.
Je m'attendais à quelque chose d'assez poétique alors qu'en fait ce livre est très politique.
Bref, je n'est pas été tenue par l'histoire.
Ma note: 2,5/5
Pounette
De : Sahkti1 Envoyé : 2006-09-04 16:11
Inderjit BADHWAR, La chambre des parfums
Editions Le Cherche-Midi, ISBN 2749101956
Littérature indienne
Roman en grande partie autobiographique, "La Chambre des parfums" raconte la vie d’une famille dans la province indienne de Raïpur au milieu des années 1960. Tout au long du récit, une figure est là, marquante, permanente, celle du père. Un père malade, mourant, pour lequel Tan quitte les Etats-Unis afin de venir assister aux derniers fragments de vie paternelle. Ce père repose dans ce qu’on appelle la chambre des parfums. En le veillant, Tan repense à sa province natale, à sa culture indienne, à son départ pour les Etats-Unis où il ne s’intégrera jamais et sera toujours perçu comme un immigrant. Il réalise combien le fossé entre ses deux cultures est grand. Difficile de revendiquer la liberté sexuelle en vogue aux States alors que l’Inde ne vit que par un système de castes. Difficile de comprendre une sœur qui accepte un mariage arrangé mais prend des amants en cachette. Difficile de se retrouver un numéro au milieu de tant d’autres alors qu’il a cru devenir important en quittant sa famille. Ecartèlement permanent pour Tan qui doit apaiser des conflits profonds de personnalité.
L’écriture de Inderjit Badhwar est très belle, dépouillée, pudique, offrant une jolie porte de douceur aux monologues intérieurs du narrateur qui se cherche et n’arrive pas à trouver sa place et son identité.
C'est tout le dilemne des racines qui prend place dans ce livre, cette sensation de ne plus être vraiment chez soi. L'auteur raconte cela avec beaucoup de justesse.
Ma note: 4/5
De : Garanemsa Envoyé : 2008-08-23 14:40
LA CHAMBRE DES PARFUMS
Inderjit Badhwar
Voilà j’avais bien commencé, mais la seconde moitié je l’ai lue en diagonale
Certes un livre super bien écrit, avec force détails sur la vie en Inde entre autres.
Mais il semble être plus un documentaire
Il mérité bien une très bonne critique.
Mais ce n’est pas le genre que j’aime.
La quatrième de couverture :
Alors que son père se meurt, Tan quitte les Usa où il réside depuis de longues années pour revenir en Inde, dans sa province natale. Dans la chambre des parfums, où repose le corps de son père avant la crémation, il réalise combien il s’est éloigné de sa culture d’origine. Ecartelé entre hindouisme et christianisme, entre une société de castes et des sympathies d’extrême gauche, il devra apaiser le conflit intérieur qui, jusqu’alors, n’a cessé de le déchirer.
Qualifié de Philip Roth indien par la critique l’auteur conjugue avec une rare maîtrise lucidité, humour et émotion.
Premier roman en grande partie autobiographie, ce livre s’est classé, dès sa sortie en Inde, dans les meilleures ventes et a obtenu en France, le prix du premier roman étranger en 2004.
Comme je l’ai dit, je n’aime pas ce genre, je pensais à autre chose en lisant la couverture, mais pour le récit et la façon dont cela est fait je mettrais un 4/5
Re: Inderjit BADHWAR (Inde)
La chambres des parfums
Edition: le livre de poche
409 pages
Quatrième de couverture
Alors que son père se meurt, Tan quitte les Etats-Unis où il réside depuis de longues années pour revenir en Inde, dans sa province natale. Dans la chambre des parfums, où repose le corps de son père avant la crémation, Tan réalise combien il s'est éloigné de sa culture d'origine. Ecartelé entre hindouisme et christianisme, entre une société de castes et des sympathies d'extrême gauche, il devra apaiser le conflit intérieur qui, jusqu'alors, n'a cessé de le déchirer.
Mon avis: 2/5
Je n'ai même pas fini les 80 dernières pages! Je met 2 par respect pour l'auteur et pour la beauté de l'écriture. Je n'ai pas du adhéré au style, ce n'est que des anecdotes décousues qui ne sont même pas chronologiques. En plus, il y a beaucoup de blabla que je trouve inutile.
Edition: le livre de poche
409 pages
Quatrième de couverture
Alors que son père se meurt, Tan quitte les Etats-Unis où il réside depuis de longues années pour revenir en Inde, dans sa province natale. Dans la chambre des parfums, où repose le corps de son père avant la crémation, Tan réalise combien il s'est éloigné de sa culture d'origine. Ecartelé entre hindouisme et christianisme, entre une société de castes et des sympathies d'extrême gauche, il devra apaiser le conflit intérieur qui, jusqu'alors, n'a cessé de le déchirer.
Mon avis: 2/5
Je n'ai même pas fini les 80 dernières pages! Je met 2 par respect pour l'auteur et pour la beauté de l'écriture. Je n'ai pas du adhéré au style, ce n'est que des anecdotes décousues qui ne sont même pas chronologiques. En plus, il y a beaucoup de blabla que je trouve inutile.
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