Maurice CONSTANTIN-WEYER (France)
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Maurice CONSTANTIN-WEYER (France)
Franillon Ven 5 Fév 2010 - 17:50
Maurice CONSTANTIN-WEYER (France)
Ecrivain français né en 1881 à Bourbonne-les-Bains, mort à Vichy en 1964. Emigre au Canada en 1903 où il exerce divers métiers : fermier, cow-boy, bûcheron, marchand de chevaux, de fourrures, reporter, etc. Retour en France en 1914 à cause de la guerre. Après la guerre, se consacre à la littérature. Prix Goncourt en 1928 pour son roman Un homme se penche sur son passé. A total, une cinquantaine de livres, dont des biographies (Cavalier de la Salle, Shakespeare, Champlain, etc.), des essais historiques et géographiques, et de nombreux romans dont une douzaine sont situés au Canada.
Clairière – 1929 – Editions Stock – Collection Les livres de nature. 253 pages.
Livre de souvenir de son existence canadienne. Son installation dans une clairière au Manitoba, construction de sa maison, avec le métis Napoléon à la démarche sautillante… Ses randonnées à cheval ou à pied en forêt et dans les prairies, son élevage de bovins, ses chasses, ses observations nocturnes en haut d’un arbre pour surprendre les combats et les amours des cerfs, etc. La vie et la mort du rat musqué. Ses relations avec un jeune ourson qu’il avait recueilli. Ses vagabondages d’automne. Comme il le dit lui-même, en dédiant à Roland Dorgelès, « ce livre sans intrigue, où l’amour n’est représenté que par celui, si ardent que je porte à la Nature et aux êtres, bêtes et gens, qui luttent contre Elle ».
Mon avis : ce beau livre nous décrit la vie d’un jeune aventurier au début du vingtième siècle dans la forêt du Manitoba. Il est probable que les choses ont bien changé en un siècle mais c’est un témoignage intéressant sur cette époque.
Ma note : 4,5 / 5.
Ecrivain français né en 1881 à Bourbonne-les-Bains, mort à Vichy en 1964. Emigre au Canada en 1903 où il exerce divers métiers : fermier, cow-boy, bûcheron, marchand de chevaux, de fourrures, reporter, etc. Retour en France en 1914 à cause de la guerre. Après la guerre, se consacre à la littérature. Prix Goncourt en 1928 pour son roman Un homme se penche sur son passé. A total, une cinquantaine de livres, dont des biographies (Cavalier de la Salle, Shakespeare, Champlain, etc.), des essais historiques et géographiques, et de nombreux romans dont une douzaine sont situés au Canada.
Clairière – 1929 – Editions Stock – Collection Les livres de nature. 253 pages.
Livre de souvenir de son existence canadienne. Son installation dans une clairière au Manitoba, construction de sa maison, avec le métis Napoléon à la démarche sautillante… Ses randonnées à cheval ou à pied en forêt et dans les prairies, son élevage de bovins, ses chasses, ses observations nocturnes en haut d’un arbre pour surprendre les combats et les amours des cerfs, etc. La vie et la mort du rat musqué. Ses relations avec un jeune ourson qu’il avait recueilli. Ses vagabondages d’automne. Comme il le dit lui-même, en dédiant à Roland Dorgelès, « ce livre sans intrigue, où l’amour n’est représenté que par celui, si ardent que je porte à la Nature et aux êtres, bêtes et gens, qui luttent contre Elle ».
Mon avis : ce beau livre nous décrit la vie d’un jeune aventurier au début du vingtième siècle dans la forêt du Manitoba. Il est probable que les choses ont bien changé en un siècle mais c’est un témoignage intéressant sur cette époque.
Ma note : 4,5 / 5.
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