Colleen McCULLOUGH ( Australie )
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Colleen McCULLOUGH ( Australie )
Les dames de Missalonghi
Colleen McCulough
Belfond
215 pages
4ème de couverture
A trente-trois ans, sans beauté ni fortune, Missy connaîtra-t-elle jamais la caresse d'un regard d'homme ? Car elle ignore tout de la vie, de la vraie vie. Entre sa mère, sa tante et leurs sages travaux d'aiguille, elle traîne des jours ternes et mesquins à l'image de ses éternelles robes marron,une vie simple provinciale comme à la mode d'antan......avec ses commérages et ses petits scandales et voici qu'une chance s'offre à elle, la dernière peut-être. C'est un homme qui s'appelle John Smith, on ne sait rien de lui, mais c'est bien l'homme le plus séduisant qu'on ait vu en ville depuis longtemps.
Missy, jusqu'alors si soumise, n'entend pas laisser échapper ce premier clin d'oeil du destin. Pour cela, rompant avec les conventions, à quel subterfuge tout à fait inhabituel aura-t-elle recours ? Tendre et fantasque Missy, une nouvelle race de femmes dans l'imaginaire de Colleen McCullough
Mon avis :Un roman tout simple ,un peu histoire rose que j'ai lu parce que je me suis très vite attachée aux trois femmes ,Missy,sa mère et sa tante vivant ensemble ,faisant de la couture et de la broderie pour survivre car la misère est proche,des femmes qui pourraient vivre à l'aise mais sont honteusement exploitées par leurs frères .Quand à Missy trente-quatre ans ,qui rêve à l'amour ,empruntant des livres à la bibliothèque en cachette de sa mère et de sa tante,qui lors d'une rencontre se dit que l'on a beau être laide et pauvre,elle décide à ce moment de tout faire pour que le bonheur frappe à sa porte.....3,5/5
Colleen McCulough
Belfond
215 pages
4ème de couverture
A trente-trois ans, sans beauté ni fortune, Missy connaîtra-t-elle jamais la caresse d'un regard d'homme ? Car elle ignore tout de la vie, de la vraie vie. Entre sa mère, sa tante et leurs sages travaux d'aiguille, elle traîne des jours ternes et mesquins à l'image de ses éternelles robes marron,une vie simple provinciale comme à la mode d'antan......avec ses commérages et ses petits scandales et voici qu'une chance s'offre à elle, la dernière peut-être. C'est un homme qui s'appelle John Smith, on ne sait rien de lui, mais c'est bien l'homme le plus séduisant qu'on ait vu en ville depuis longtemps.
Missy, jusqu'alors si soumise, n'entend pas laisser échapper ce premier clin d'oeil du destin. Pour cela, rompant avec les conventions, à quel subterfuge tout à fait inhabituel aura-t-elle recours ? Tendre et fantasque Missy, une nouvelle race de femmes dans l'imaginaire de Colleen McCullough
Mon avis :Un roman tout simple ,un peu histoire rose que j'ai lu parce que je me suis très vite attachée aux trois femmes ,Missy,sa mère et sa tante vivant ensemble ,faisant de la couture et de la broderie pour survivre car la misère est proche,des femmes qui pourraient vivre à l'aise mais sont honteusement exploitées par leurs frères .Quand à Missy trente-quatre ans ,qui rêve à l'amour ,empruntant des livres à la bibliothèque en cachette de sa mère et de sa tante,qui lors d'une rencontre se dit que l'on a beau être laide et pauvre,elle décide à ce moment de tout faire pour que le bonheur frappe à sa porte.....3,5/5
lalyre- Nombre de messages : 5794
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Colleen McCULLOUGH ( Australie )
Les oiseaux se cachent pour mourir
Note : 4/5
Résumé : Saga familiale australienne, ce livre décrit l’hsitoire d’un amour impossible entre le père Ralph de Bricassart et Meggie Cleary, fille d’un éleveur de moutons.
Critique : j’ai adoré cette histoire, une grande saga familiale sur trois générations. Les portraits des trois femmes de cette famille (Fiona, Meggie et Justine) sont saisissants de réalisme. Colleen McCullough parvient à décrire l’ensemble des sentiments des personnages. C’est dommage par contre que certains personnages ne soient pas assez exploités (les frères de Meggie notamment). Il y a un petit passage à vide au milieu du roman qui est un peu long. Les descriptions des paysages australiens sont magnifiques (par moment, ça me faisait penser à La mort d’un lac d’Arthur Upfield : il y a en plus les même problèmes avec les lapins !).
Note : 4/5
Résumé : Saga familiale australienne, ce livre décrit l’hsitoire d’un amour impossible entre le père Ralph de Bricassart et Meggie Cleary, fille d’un éleveur de moutons.
Critique : j’ai adoré cette histoire, une grande saga familiale sur trois générations. Les portraits des trois femmes de cette famille (Fiona, Meggie et Justine) sont saisissants de réalisme. Colleen McCullough parvient à décrire l’ensemble des sentiments des personnages. C’est dommage par contre que certains personnages ne soient pas assez exploités (les frères de Meggie notamment). Il y a un petit passage à vide au milieu du roman qui est un peu long. Les descriptions des paysages australiens sont magnifiques (par moment, ça me faisait penser à La mort d’un lac d’Arthur Upfield : il y a en plus les même problèmes avec les lapins !).
- Spoiler:
- Par contre, c’est dommage qu’il n’y ait pas une scène type "grosse explication" entre Ralph et Meggie lorsqu’il apprend que Dane est son fils. Je m’étais fait à l’idée que ça ne se terminait pas bien (c’était écrit sur la 4ème de couverture) mais la fin aurait pu être plus appronfondie. Les sentiments de Ralph ne sont pas assez approfondis à ce moment, alors qu'au début du roman, on en a des pages et des pages.
cookie610- Nombre de messages : 5559
Age : 33
Location : Lyon
Date d'inscription : 28/07/2009
Re: Colleen McCULLOUGH ( Australie )
Colleen McCullough
Titre: Le temps de l'amour
2004, éd. France Loisir
663 pages
4/5
Une autre belle Saga. Décidémment, toutes mes lectures Australiennes ou presque auront été des Sagas. Il faut croire que ce coin du monde s'y prête bien.
Le temps de l'amour, n'est pas vraiment une histoire d'amour...En anglais, il porte le nom de "The Touch" qui est plus approrprié dans le sens ou il raconte l'histoire d'un homme qui construit son empire industriel en suivant son intuition. L'histoire se déroule pricipalement en Australie de 1872 à 1900, mais au cours des voyages des personnages, on découvre aussi d'autres pints du globe. Le personnage principal est Alexander Kinross, un homme d'une grande intelligence, ambitieux et qui a le "pif" pour transformer tout ce qu'il touche en or. Organisé, avec lui, rien n'est laissé au hasard. Alors, le jour venu de fonder une famille, il fait venir d'écosse une cousine qu'il épouse sur le champs. Bien qu'Alexander puisse éprouver une certaine forme d'amour pour Elizabeth, Celle-ci, ne l'aime pas... Il entretient donc, tout au long de sa vie, une relation extra-conjuguale avec Ruby, une tenentière de bordel. Au fil de l'histoire s'ajoutent les enfants d'Alexander et leurs prorpes aventures. On touche aussi par la bande la naissance des mouvements de syndicalisation et l'émergence des technologies et leur apport dans le monde industriel. On pourrait tout résumer comme ceci: La vie d'un homme à qui tout réussi en affaire et de sa femme qui ne l'aimera jamais!
Une bon moment de lecture même si j'ai trouvé le personnage d'Elizateh sans contenance en comparaison à la force du personnage d'Alexander. Tout de même, je le recommande.
Titre: Le temps de l'amour
2004, éd. France Loisir
663 pages
4/5
Une autre belle Saga. Décidémment, toutes mes lectures Australiennes ou presque auront été des Sagas. Il faut croire que ce coin du monde s'y prête bien.
Le temps de l'amour, n'est pas vraiment une histoire d'amour...En anglais, il porte le nom de "The Touch" qui est plus approrprié dans le sens ou il raconte l'histoire d'un homme qui construit son empire industriel en suivant son intuition. L'histoire se déroule pricipalement en Australie de 1872 à 1900, mais au cours des voyages des personnages, on découvre aussi d'autres pints du globe. Le personnage principal est Alexander Kinross, un homme d'une grande intelligence, ambitieux et qui a le "pif" pour transformer tout ce qu'il touche en or. Organisé, avec lui, rien n'est laissé au hasard. Alors, le jour venu de fonder une famille, il fait venir d'écosse une cousine qu'il épouse sur le champs. Bien qu'Alexander puisse éprouver une certaine forme d'amour pour Elizabeth, Celle-ci, ne l'aime pas... Il entretient donc, tout au long de sa vie, une relation extra-conjuguale avec Ruby, une tenentière de bordel. Au fil de l'histoire s'ajoutent les enfants d'Alexander et leurs prorpes aventures. On touche aussi par la bande la naissance des mouvements de syndicalisation et l'émergence des technologies et leur apport dans le monde industriel. On pourrait tout résumer comme ceci: La vie d'un homme à qui tout réussi en affaire et de sa femme qui ne l'aimera jamais!
Une bon moment de lecture même si j'ai trouvé le personnage d'Elizateh sans contenance en comparaison à la force du personnage d'Alexander. Tout de même, je le recommande.
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Re: Colleen McCULLOUGH ( Australie )
" Le temps de l'amour" de Colleen mac CULLOUGH
Le résumé a été très bien fait par Isaby.
Je suis d'accord sur le fait que Elizabeth est fade à côté du personnage d'Alexander.
"the touch" quel beau titre!! Beaucoup plus à propos et moins mièvre que le titre
français.
Décidément, les traductions françaises des livres de Colleen mac Cullough sont
particulièrement ratées. Comme "l'espoir est une terre lointaine" qui correspond
au titre français de "Morgan's run" anglais. Ce livre raconte l'histoire de Richard Morgan
anglais qui fut déporté en Australie avec les premiers forçats. Le titre anglais est 100
fois meilleur.
Mon avis:
C'est encore une très belle lecture. J'ai adoré, comme tous les autres livres de cette
auteure que j'ai déjà lu.
C'est romanesque, haut en couleur, bien documenté, jamais insipide, avec beaucoup de personnages.
Un bonheur.
Ma note: 5/5
Le résumé a été très bien fait par Isaby.
Je suis d'accord sur le fait que Elizabeth est fade à côté du personnage d'Alexander.
"the touch" quel beau titre!! Beaucoup plus à propos et moins mièvre que le titre
français.
Décidément, les traductions françaises des livres de Colleen mac Cullough sont
particulièrement ratées. Comme "l'espoir est une terre lointaine" qui correspond
au titre français de "Morgan's run" anglais. Ce livre raconte l'histoire de Richard Morgan
anglais qui fut déporté en Australie avec les premiers forçats. Le titre anglais est 100
fois meilleur.
Mon avis:
C'est encore une très belle lecture. J'ai adoré, comme tous les autres livres de cette
auteure que j'ai déjà lu.
C'est romanesque, haut en couleur, bien documenté, jamais insipide, avec beaucoup de personnages.
Un bonheur.
Ma note: 5/5
Invité- Invité
Re: Colleen McCULLOUGH ( Australie )
Les caprices de miss Mary
Colleen McCullough
Archipoche mai 2011
472 pages
Quatrième de couverture
Au décès de sa mère, Mary, la troisième des cinq soeurs Bennet, découvre la liberté. À trente-sept ans, elle qui n'a vécu que pour les autres est bien décidée à ne plus accepter d'entrave à la réalisation de ses rêves.Et surtout pas le triste chaperon que ses beaux-frères souhaitent lui imposer. Sa décision est prise : comme le journaliste dont elle dévore les articles incendiaires, elle enquêtera sur les conditions de vie misérables des ouvriers du Nord. Alors que sa famille craint qu'elle y perde sa réputation, Mary se lance avec fougue dans l'aventure. Mais son enthousiasme se heurte à la réalité de l'Angleterre en ce début de XIXe siècle... Vingt ans après la fin d'Orgueil et Préjugés, ce roman - une suite du chef-d'oeuvre de Jane Austen - brosse le portrait d'une femme à l'esprit libre, féministe avant l'heure, qui n'hésite pas à braver les interdits pour faire triompher ses convictions
Mon avis
Ce roman se base sur le destin de cinq sœurs dont Mary restée célibataire pour s’occuper de sa mère. C’est à partir du décès de celle-ci que Mary décide de vivre enfin son indépendance, au grand dam du reste de la famille, car n’oublions que nous sommes au début du XlXème siècle. Mais cette soudaine liberté va l’entraîner vers maintes aventures, elle veut voyager seule mais la famille craint pour sa réputation, car voyager sans chaperon est impensable, mais elle n’en fait qu’à sa tête, elle veut traverser l’Angleterre et écrire un livre sur la misère du monde. Mal lui en prend car les ennuis ne sont pas loin, sa disparition va mettre une entrave à ses rêves de liberté (de ce sujet, je n’en dis pas plus ). Ce que je dirai c’est que l’auteure a brossé un très beau portrait de femme à l’esprit féministe avant l’heure. Et voila Mary qui sera confrontée à l’amour, elle qui voulait rester libre, comme une chose ne vient pas sans l’autre, elle va pouvoir réaliser l’un de ses rêves. Un roman simple, pas besoin de se casser la tête pour comprendre, des personnages attachants, un peu de suspense, une histoire de fratrie et de l’amour. Que demander de plus pour un bon roman de vacances ? 4/5
Colleen McCullough
Archipoche mai 2011
472 pages
Quatrième de couverture
Au décès de sa mère, Mary, la troisième des cinq soeurs Bennet, découvre la liberté. À trente-sept ans, elle qui n'a vécu que pour les autres est bien décidée à ne plus accepter d'entrave à la réalisation de ses rêves.Et surtout pas le triste chaperon que ses beaux-frères souhaitent lui imposer. Sa décision est prise : comme le journaliste dont elle dévore les articles incendiaires, elle enquêtera sur les conditions de vie misérables des ouvriers du Nord. Alors que sa famille craint qu'elle y perde sa réputation, Mary se lance avec fougue dans l'aventure. Mais son enthousiasme se heurte à la réalité de l'Angleterre en ce début de XIXe siècle... Vingt ans après la fin d'Orgueil et Préjugés, ce roman - une suite du chef-d'oeuvre de Jane Austen - brosse le portrait d'une femme à l'esprit libre, féministe avant l'heure, qui n'hésite pas à braver les interdits pour faire triompher ses convictions
Mon avis
Ce roman se base sur le destin de cinq sœurs dont Mary restée célibataire pour s’occuper de sa mère. C’est à partir du décès de celle-ci que Mary décide de vivre enfin son indépendance, au grand dam du reste de la famille, car n’oublions que nous sommes au début du XlXème siècle. Mais cette soudaine liberté va l’entraîner vers maintes aventures, elle veut voyager seule mais la famille craint pour sa réputation, car voyager sans chaperon est impensable, mais elle n’en fait qu’à sa tête, elle veut traverser l’Angleterre et écrire un livre sur la misère du monde. Mal lui en prend car les ennuis ne sont pas loin, sa disparition va mettre une entrave à ses rêves de liberté (de ce sujet, je n’en dis pas plus ). Ce que je dirai c’est que l’auteure a brossé un très beau portrait de femme à l’esprit féministe avant l’heure. Et voila Mary qui sera confrontée à l’amour, elle qui voulait rester libre, comme une chose ne vient pas sans l’autre, elle va pouvoir réaliser l’un de ses rêves. Un roman simple, pas besoin de se casser la tête pour comprendre, des personnages attachants, un peu de suspense, une histoire de fratrie et de l’amour. Que demander de plus pour un bon roman de vacances ? 4/5
lalyre- Nombre de messages : 5794
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Colleen McCULLOUGH ( Australie )
Corps manquants
Ce roman policier change des dernières lectures de ce genre que j'ai lu, même si on a à faire, à un tueur en série, cette histoire est assez "soft".
Nous sommes dans les années 60, la police est plus modeste et moins équipée que dans les policiers modernes qui sont plus proches des séries policières télévisées.
Carmine, l'enquèteur se trouve en présence de plusieurs cadavres de jeune fille décapitée, l'affaire tourne autour d'une institut de recherche médicale, tout pense à croire que le meurtrier est un docteur.
Mais nos policiers pataugent, le lecteur est aussi sur aucune piste, nous faisons connaissance avec les familles de chaque suspect, chacun a ses manies et secrets, mais rien de compromettant. C'est le hazard qui va permettre à la police de découvrir le tueur.
Malgré que nous sommes en présence d'un tueur en série sanguinaire, ce policier n'est pas trop dure à lire, il n'y a pas de scènes trop descriptifs, la police fait son travail, on suit leurs recherches, leurs interrogatoirse, nous somme témoins de scènes privées chez les suspects afin de bien connaitre les personnages ; les meurtres ne sont jamais relaté de façon direct.
J'ai passé un bon moment à lire ce policier poussée par la curiosité, car on ne voit rien venir.
Ce roman policier change des dernières lectures de ce genre que j'ai lu, même si on a à faire, à un tueur en série, cette histoire est assez "soft".
Nous sommes dans les années 60, la police est plus modeste et moins équipée que dans les policiers modernes qui sont plus proches des séries policières télévisées.
Carmine, l'enquèteur se trouve en présence de plusieurs cadavres de jeune fille décapitée, l'affaire tourne autour d'une institut de recherche médicale, tout pense à croire que le meurtrier est un docteur.
Mais nos policiers pataugent, le lecteur est aussi sur aucune piste, nous faisons connaissance avec les familles de chaque suspect, chacun a ses manies et secrets, mais rien de compromettant. C'est le hazard qui va permettre à la police de découvrir le tueur.
Malgré que nous sommes en présence d'un tueur en série sanguinaire, ce policier n'est pas trop dure à lire, il n'y a pas de scènes trop descriptifs, la police fait son travail, on suit leurs recherches, leurs interrogatoirse, nous somme témoins de scènes privées chez les suspects afin de bien connaitre les personnages ; les meurtres ne sont jamais relaté de façon direct.
J'ai passé un bon moment à lire ce policier poussée par la curiosité, car on ne voit rien venir.
Re: Colleen McCULLOUGH ( Australie )
Les oiseaux se cachent pour mourir
Saga familiale en Australie. Tout à commencé par l'arrachement à la ferme natale quand les Cleary et leurs huit enfants ont quitté la Nouvelle-Zélande pour cette dure terre d'Australie. Et à Drogheda, l'immense domaine aux troupeaux sans nombre où son père est régisseur, la petite Meghie peine à la ferme, veille sur ses jeunes frères. Elle a neuf ans seulement quand elle rencontre celui qui va marquer toute sa vie : Ralph de Bricassart, un jeune prêtre, beau comme un prince, doux comme un frère. Plus tard, Ralph s'éloignera, fidèle à sa vocation.
Au-delà de la romance, c'est une superbe description de l'Australie, pays si grand et si peu peuplé, et aussi un roman historique de 1920 à 1960. J'ai emprunté le DVD du feuilleton pour voir comment ce grand roman a été adapté à la télé.
Note : 4/5
Saga familiale en Australie. Tout à commencé par l'arrachement à la ferme natale quand les Cleary et leurs huit enfants ont quitté la Nouvelle-Zélande pour cette dure terre d'Australie. Et à Drogheda, l'immense domaine aux troupeaux sans nombre où son père est régisseur, la petite Meghie peine à la ferme, veille sur ses jeunes frères. Elle a neuf ans seulement quand elle rencontre celui qui va marquer toute sa vie : Ralph de Bricassart, un jeune prêtre, beau comme un prince, doux comme un frère. Plus tard, Ralph s'éloignera, fidèle à sa vocation.
Au-delà de la romance, c'est une superbe description de l'Australie, pays si grand et si peu peuplé, et aussi un roman historique de 1920 à 1960. J'ai emprunté le DVD du feuilleton pour voir comment ce grand roman a été adapté à la télé.
Note : 4/5
Le petit montagnard- Nombre de messages : 1323
Location : Toulouse - France
Date d'inscription : 13/01/2011
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