Camilo José CELA (Espagne)
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Camilo José CELA (Espagne)
De : Le-réaliste-romantique (Message d'origine) Envoyé : 2007-10-29 12:46
Camilo José Cela
1916-2002
Écrivain espagnol
Son premier roman a été publié en 1942, sous la dictature de Franco. Il marque le renouveau de la littérature, car de nombreux écrivains avaient été tués, déportés ou emprisonnés depuis la guerre civile.
Son roman le pus célèbre est La Ruche, publié en 1953, qui raconte quelques jours dans la vie d’environ 300 Madrilènes. Il reçut le prix Nobel de 1989 pour l’ensemble de son œuvre, et le prix Cervantès en 1995.
Œuvres traduites en français
· Mrs. Caldwell parle à son fils, Denoël, 1968
· Office des ténèbres 5, A. Michel, 1978
· Nouvelles aventures et mésaventures de Lazarillo de Tormès, Gallimard, 1989
· Mazurka pour deux morts, Julliard, 1990
· Le Joli Crime du carabinier et autres anecdotes, Librairie générale française, 1991
· San Camilo 1936, Seuil, 1994
· La Ruche, Gallimard, 1996
· La Famille de Pascal Duarte, Seuil, 1997
· Onze histoires de football, Bartillat, 1998
--------------------------------------------------------------------------------
Toreros de salon
Farce accompagnée de clameurs et de fanfares
Court livre composé de brefs portraits de toreros de salon, des gens de tous milieux qui se battent contre des taureaux imaginaires, prestation qui nécessite beaucoup plus d’effort qu’une vraie corrida, car le torero doit jouer pour deux.
Les portraits sont sympathiques, mais heureusement que le livre n’est pas trop long, car il n’y a pas d’évolution; un amalgame sans direction. Amusant, mais à petites doses.
3/5
le réaliste-romantique
Camilo José Cela
1916-2002
Écrivain espagnol
Son premier roman a été publié en 1942, sous la dictature de Franco. Il marque le renouveau de la littérature, car de nombreux écrivains avaient été tués, déportés ou emprisonnés depuis la guerre civile.
Son roman le pus célèbre est La Ruche, publié en 1953, qui raconte quelques jours dans la vie d’environ 300 Madrilènes. Il reçut le prix Nobel de 1989 pour l’ensemble de son œuvre, et le prix Cervantès en 1995.
Œuvres traduites en français
· Mrs. Caldwell parle à son fils, Denoël, 1968
· Office des ténèbres 5, A. Michel, 1978
· Nouvelles aventures et mésaventures de Lazarillo de Tormès, Gallimard, 1989
· Mazurka pour deux morts, Julliard, 1990
· Le Joli Crime du carabinier et autres anecdotes, Librairie générale française, 1991
· San Camilo 1936, Seuil, 1994
· La Ruche, Gallimard, 1996
· La Famille de Pascal Duarte, Seuil, 1997
· Onze histoires de football, Bartillat, 1998
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Toreros de salon
Farce accompagnée de clameurs et de fanfares
Court livre composé de brefs portraits de toreros de salon, des gens de tous milieux qui se battent contre des taureaux imaginaires, prestation qui nécessite beaucoup plus d’effort qu’une vraie corrida, car le torero doit jouer pour deux.
Les portraits sont sympathiques, mais heureusement que le livre n’est pas trop long, car il n’y a pas d’évolution; un amalgame sans direction. Amusant, mais à petites doses.
3/5
le réaliste-romantique
Re: Camilo José CELA (Espagne)
La famille de Pascal Duarte de Camilo José Cela
Points Seuil / 160 pages
Quatrième de couverture :
Dans la prison de Badajoz, un condamné relate longuement sa vie et revient sur le sort funeste de sa femme, de ses enfants, de ses proches. A son contact, toutes les existences semblent s'être effritées - comme s'effrite la terre d'Espagne, tuée par le soleil, " le vent mauvais et perfide ". Semblable aux héros des grandes tragédies classiques, Pascal Duarte est " un modèle - un modèle qu'il ne faut pas imiter mais fuir ".
Une drôle de lecture dont on ne sait qu'en penser tant elle est empreinte de pessimisme. L' écriture est épurée, le propos de cet homme condamné est froid détaché. Il semble cependant revivre en racontant les crimes qu' il a commis. Un condensé de la misère humaine qui n' est certes pas fait pour remonter le moral mais dont je me souviendrai longtemps.
Une lecture qui me donne envie d'en apprendre plus sur le texte et son contexte comme sur son auteur.
Points Seuil / 160 pages
Quatrième de couverture :
Dans la prison de Badajoz, un condamné relate longuement sa vie et revient sur le sort funeste de sa femme, de ses enfants, de ses proches. A son contact, toutes les existences semblent s'être effritées - comme s'effrite la terre d'Espagne, tuée par le soleil, " le vent mauvais et perfide ". Semblable aux héros des grandes tragédies classiques, Pascal Duarte est " un modèle - un modèle qu'il ne faut pas imiter mais fuir ".
Une drôle de lecture dont on ne sait qu'en penser tant elle est empreinte de pessimisme. L' écriture est épurée, le propos de cet homme condamné est froid détaché. Il semble cependant revivre en racontant les crimes qu' il a commis. Un condensé de la misère humaine qui n' est certes pas fait pour remonter le moral mais dont je me souviendrai longtemps.
Une lecture qui me donne envie d'en apprendre plus sur le texte et son contexte comme sur son auteur.
4/5
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Lectures en cours : Indépendance de Richard Ford ([i]Frank Bascombe T2) $
Dernières lectures : L' Intérêt de l' enfant de Ian McEWAN (4/5), Un week-end dans le Michigan de Richard Ford (4,5/5)(Frank Bascombe T1), [/i]L' Homme du verger d' Amanda COPLIN (4/5), La Pyramide de glace J-F Parot (3,75/5)(T12)
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