Emmanuel FLESCH (France)
Page 1 sur 1
Emmanuel FLESCH (France)
Un empire et des poussières
Emmanuel FLESCH
Editions Kyklos 2 novembre 2014
504 pages
Présentation de l'éditeur
La veille de l'assaut sur Falloujah, deux Marines se sont juré de déserter l'enfer irakien à la faveur de leur prochaine permission. Dans une cité de Seine-Saint-Denis, une famille d'origine maghrébine se déchire ; le père attend son procès, la mère rêve de divorce, leur fille d'une fugue. Un jeune coursier parisien se demande dans quelle impasse s'égare son existence, depuis que celle d'un collègue s'est achevée sous les roues d'un poids lourd. Autant de destins lancés à plein régime sur des routes incertaines, et fuyant avec la même rage les fantômes du passé. Irak, Paris, New York, Cleveland, Beyrouth, Bombay... Les roulements de tambour des années Bush rythment cette alternance de trajectoires où se répondent, comme un jeu de miroir, têtes de gondoles et arrière-cours de la globalisation. Mais passé le fracas de la rencontre, reste à ces personnages en rupture de ban le constat qu'il était peut-être plus facile d'embrasser la cavale, que lui trouver une issue. Entre collisions intimes et choc des civilisations, Un empire et des poussières nous emporte dans les tumultes d une époque qui n'a pas encore cessé d'être la nôtre.
Mon avis
Des destins dont je vais avoir difficile d’en dire quelque chose de concret, oui il est certain que c’est un roman qui surprend et cela dans tous les domaines. Je dirai que je ne suis pas tout à fait d’accord avec ce qui est écrit en quatrième de couverture, car j’imaginais retrouver les personnages regroupés dans la dernière partie, et bien non….. Certaines parties du roman sont atroces, me donnant l’idée de lâcher ce livre, de ne pas aller plus loin. Mais voila ma curiosité m’a poussée à continuer, on voyage beaucoup avec les personnages et pour certains j’ai ressenti de l’empathie ce qui ne veut pas dire que j’ai aimé ce livre qui n’est pas mon genre de lecture habituel. Peut-être est-ce pour cela que je ne l’ai pas apprécié bien que le style soit bon et le suspense perdurant pendant tout ce roman moderne et réaliste, je suis déçue par les deux derniers chapitres 59 et 60 trop simplistes, faisant suite à l’horreur qui pourtant est encore réelle de nos jours. Je suis désolée de n’avoir pas aimé un Empire et des poussières mais c’est mon ressenti et je suis persuadée que les lecteurs plus jeunes l’apprécieront….. 3/5
Emmanuel FLESCH
Editions Kyklos 2 novembre 2014
504 pages
Présentation de l'éditeur
La veille de l'assaut sur Falloujah, deux Marines se sont juré de déserter l'enfer irakien à la faveur de leur prochaine permission. Dans une cité de Seine-Saint-Denis, une famille d'origine maghrébine se déchire ; le père attend son procès, la mère rêve de divorce, leur fille d'une fugue. Un jeune coursier parisien se demande dans quelle impasse s'égare son existence, depuis que celle d'un collègue s'est achevée sous les roues d'un poids lourd. Autant de destins lancés à plein régime sur des routes incertaines, et fuyant avec la même rage les fantômes du passé. Irak, Paris, New York, Cleveland, Beyrouth, Bombay... Les roulements de tambour des années Bush rythment cette alternance de trajectoires où se répondent, comme un jeu de miroir, têtes de gondoles et arrière-cours de la globalisation. Mais passé le fracas de la rencontre, reste à ces personnages en rupture de ban le constat qu'il était peut-être plus facile d'embrasser la cavale, que lui trouver une issue. Entre collisions intimes et choc des civilisations, Un empire et des poussières nous emporte dans les tumultes d une époque qui n'a pas encore cessé d'être la nôtre.
Mon avis
Des destins dont je vais avoir difficile d’en dire quelque chose de concret, oui il est certain que c’est un roman qui surprend et cela dans tous les domaines. Je dirai que je ne suis pas tout à fait d’accord avec ce qui est écrit en quatrième de couverture, car j’imaginais retrouver les personnages regroupés dans la dernière partie, et bien non….. Certaines parties du roman sont atroces, me donnant l’idée de lâcher ce livre, de ne pas aller plus loin. Mais voila ma curiosité m’a poussée à continuer, on voyage beaucoup avec les personnages et pour certains j’ai ressenti de l’empathie ce qui ne veut pas dire que j’ai aimé ce livre qui n’est pas mon genre de lecture habituel. Peut-être est-ce pour cela que je ne l’ai pas apprécié bien que le style soit bon et le suspense perdurant pendant tout ce roman moderne et réaliste, je suis déçue par les deux derniers chapitres 59 et 60 trop simplistes, faisant suite à l’horreur qui pourtant est encore réelle de nos jours. Je suis désolée de n’avoir pas aimé un Empire et des poussières mais c’est mon ressenti et je suis persuadée que les lecteurs plus jeunes l’apprécieront….. 3/5
lalyre- Nombre de messages : 5794
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Emmanuel FLESCH (France)
Gazoline
Editions Calmann Lévy 4 janvier 2023
448 pages
Quatrième de couverture
"Le soleil lui chauffe la nuque. L’été ne veut pas finir. Sans prévenir, les cloches de l’église se mettent en branle, quatre coups amples, tonitruants, répercutés dans le ciel de la vallée."
Automne 1988. Il y a le clocher, la place du village, des vignes à perte de vue. Près de la cabine téléphonique, assis sur leurs mobylettes, des jeunes s’ennuient.
Les gosses ont repris le chemin de l’école. Les anciens s’inquiètent de la météo, des vendanges. Un monde en apparence immuable ;un monde pourtant proche de sa fin.
Survient l’incendie. Une grange part en fumée. Accident ? Acte criminel ? Les esprits s’échauffent, de vieilles rancunes e réveillent, les rumeurs courent. Tous les regards se portent sur Gildas, le mauvais garçon, le marginal.
Gazoline, c’est le roman d’un village, d’une époque, dans lequel une poignée de filles et de garçons brûlent, sous l’oeil de leurs aînés, d’un farouche désir de grandir.
Automne 1988. Il y a le clocher, la place du village, des vignes à perte de vue. Près de la cabine téléphonique, assis sur leurs mobylettes, des jeunes s’ennuient.
Les gosses ont repris le chemin de l’école. Les anciens s’inquiètent de la météo, des vendanges. Un monde en apparence immuable ;un monde pourtant proche de sa fin.
Survient l’incendie. Une grange part en fumée. Accident ? Acte criminel ? Les esprits s’échauffent, de vieilles rancunes e réveillent, les rumeurs courent. Tous les regards se portent sur Gildas, le mauvais garçon, le marginal.
Gazoline, c’est le roman d’un village, d’une époque, dans lequel une poignée de filles et de garçons brûlent, sous l’oeil de leurs aînés, d’un farouche désir de grandir.
Mon avis
Nous sommes dans un petit village rural, ou le quotidien des gens est perturbé par l’incendie d’une grange, est-ce un incendie volontaire ou bien un accident ? Il est certain que cet incendie va réveiller les rancoeurs de certains villageois. C’est alors que l’on peut faire l’analyse du quotidien des paysans, chacun va analyser la situation et les secrets familiaux vont ressurgirent et pourtant…..Bien sûr, pour eux il doit y avoir un coupable et justement le petit Samuël, dix ans n’ose raconter qu’il a vu Gildas, un adolescent considéré comme voyou par les villageois, aux abord de la grange. Serait lui l’incendiaire, il est soupçonné mais l’enquête va se diriger vers d’autres suspects, et là je laisse les prochains lecteurs se poser la question, qui est le ou la coupable ? Y en a t-il réellement ? Un beau roman avec une écriture simple et de courts chapitres pour nous décrire les péripéties passionnantes qui se passent dans ce petit village….4/5
lalyre- Nombre de messages : 5794
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|