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Steven CARROLL (Australie)

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Steven CARROLL (Australie) Empty Steven CARROLL (Australie)

Message  Mousseline Sam 08 Nov 2008, 14:32

De : 2550Chimère (Message d'origine) Envoyé : 2006-08-09 02:03

DE L'ART DE CONDUIRE SA MACHINE de Steven CARROLL
Ed Phebus/232p
Trad : Philippe Gerval

Résumé : En Australie, dans les années 50 un couple et leur enfant se rend à une fête de fiançaille. Vic est conducteur de locomotive et boit trop, Rita en a assez de son mariage, Michael voudrait bien être une famille comme les autres.Un accident de train va tout bouleversé.

Mon avis : Il peut s'en passer des choses dans une soirée...du moment où tout le monde est sont en marche vers la fête et jusqu'au retour, le monde aura changé. Entretemps, on aura fait connaissance de Vic, Rita et Michael et de ce qui se passe dans leur tête pendant tout ce temps mais aussi de leuirs voisins et de ce qu'il y a dans la leur de tête. Lentement, mais surement, l'auteur nous entraîne dans la monotonie d'une vie de banlieu, dans les déceptions du mariage et les espoirs de l'enfance. Tout en non dit, on y trouve un couple qui se déchire sous les yeux de leur enfant, une fiancée qui regrette son engagement, une femme seule qui s'ennuie, un amant éconduit...et pour eux aussi la vie leur réserve des surprises. L'auteur décortique un instant dans la vie de ses personnages, un intervalle qui tel un maître du destin va changer les choses radicalement pour certains d'entre eux.

Ma note : 3/5
Mousseline
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Message  Lacazavent Jeu 03 Juin 2010, 11:07

Un long adieu de Steven Carroll
Édition Phébus / 267 pages




Présentation de l'éditeur :
Octobre 1960, Michael mène la banale existence d'un adolescent de la banlieue de Melbourne, qui aspire à devenir un jour un des plus grands joueurs de cricket au monde. Mais en l'espace de quelques mois, ces cinq mois qui voient se dérouler le tournoi d'Australie, Michael va perdre toutes ses illusions et découvrir que les rêves ne se réalisent pas toujours. Il lui faudra accepter de vivre, en dépit des désenchantements, des renoncements et des deuils, et qui sait, peut-êtrene ressemblera-t-il jamais à son père, alcoolique invétéré, incapable de communiquer avec sa femme et son fils...


C'est un roman dont l'histoire progresse lentement distillant de la mélancolie, des joies toujours brèves sous le couvert d' une intrigue simple basé sur les rapports humains. Ce sont des personnages banals, une description de leur vie quotidienne. Ordinaire est bien le mot qui peut le mieux rendre compte de ce que j'ai ressentit en le lisant. J'ai souvent frôlé l'ennui sauvé de justesse par l'histoire du "lancé parfait" dont l'étrangeté m'interpellait.
Ce livre peut plaire mais n'était pas fait pour moi bien trop lent.

3/5 (parce que l'écriture est vraiment belle)
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