Nathan HILL (Etats-Unis)

Les fantômes du vieux pays de Nathan Hill
(Gallimard, 705 pages)




Note : 4.75/5

Merci Shan_Ze!! C'est un pavé, mais il a l'air d'en valoir la peine! 

Je le note aussi !!!!

C'est un livre de la rentrée dont on va entendre parler !

N'hésitez pas il vaut vraiment le coup ! :-D

Si certain(e)s sont intéressé(e)s, je peux le faire voyager. :-)

J'ai mis du temps à entrer dans le roman presque 250 pages  mais une fois dedans les pages ont défilées. J'ai trouvé le personnage de Faye un peu ambigu très appliquée dans ces études c'est le modèle de la petite fille sage qui se retrouve malgré elle dans des situations impossibles.Si je peux comprendre son choix de quitter Henry pour plus de liberté je n'ai pas compris celui de ne plus avoir de contact avec son fils .
Quand à l'espact historique du roman les manifestations de 68 nous amène à l'actualité de 2018 nous sommes en plein dedans !. Une bonne lecture  même si il y a quelques longueurs
4/5

LES FANTOMES DU VIEUX PAYS
Nathan HILL
Folio 950 Pages
 
Résumé (4° de couverture)
 
Scandale aux États-Unis : le gouverneur Packer, candidat à la présidentielle, a été agressé en public par une femme de soixante et un ans qui devient une sensation médiatique. Samuel Anderson, professeur d’anglais à l’Université de Chicago, reconnaît alors à la télévision sa mère, qui l’a abandonné à l’âge de onze ans. Et voilà que l’éditeur de Samuel, qui lui avait versé une avance rondelette pour un roman qu’il n’a jamais écrit, menace de le poursuivre en justice. En désespoir de cause, le jeune homme promet un livre révélation sur cette mère dont il ne sait presque rien et se lance ainsi dans la reconstitution minutieuse de sa vie, à la découverte des secrets qui hantent sa famille depuis des décennies.
 
Mon avis
 
Et bien voici un bon roman Américain comme je les aime. De la même veine de ceux de Jonathan Frantzen, Richard Russo ou encore Jonathan Tropper, ce roman retrace avec beaucoup d’énergie la vie de Samuel Anderson qui ne joue rien de plus que le rôle d’observateur de 2 époques. Celle des années 60 à travers l’histoire de sa mère et celle de ce début de siècle. Si la 1° est faite de rêves et d’illusions la seconde marque la naissance du virtuelle.
Bien sûr avec ses 950 pages ce roman est fait d’histoireS. De nombreux personnages, je pourrais même dire de nombreuses victimes,  interviennent  dans leur époque et ses particularités. C’est 50 ans d’histoire des Etats-Unis que l’on traverse sous forme d’un divertissement sérieux. Jamais on ne s’ennuie tant l’écriture, sans être légère, est alerte et sémillante.
Le fait d’avoir lu, par hasard, ce roman en période électorale Américaine a ajouté un intérêt pétillant à cette lecture sous forme d’une référence réelle. D’un exercice pratique en quelque sorte.
 
Belle découverte !!
 
Ma note 4.5 / 5

C'est un roman qui fait à peu près l'unanimité. Je réalise que je n'ai pas posté mon avis...

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