David Zukerman (France)
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David Zukerman (France)
Zukerman David
San Perdido
Editions Calmann-Lévy janvier 2019
471 pages
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Quatrième de couverture
Qu’est-ce qu’un héros, sinon un homme
qui réalise un jour les rêves secrets
de tout un peuple ?
Un matin de printemps, dans la décharge à ciel ouvert de San Perdido, petite ville côtière du Panama aussi impitoyable que colorée, apparaît un enfant noir aux yeux bleus. Un orphelin muet qui n’a pour seul talent apparent qu’une force singulière dans les mains.
Dans le Panama de l’année 1940, c’est à San Perdido que l’histoire se passe, parmi de nombreux personnages, l’attention du lecteur est principalement attirée par un jeune garçon muet, à la peau noire et aux yeux bleus glaçants et des mains énormes, ce garçon pourrait bien changer la situation de certains, dès qu’il apparaît sur l’énorme décharge ou pullulent des gens affamés, les oiseaux s’envolent, les chiens errants et les rats s’enfuient. Félicia, une femme âgée de septante ans habite dans une vieille cabane au pied de la décharge, elle décide d’appeler l’enfant ( La Langosta). D’autres personnages apparaissent telle la petite Hissa vendue à neuf ans à Madame qui tient une maison close de luxe, un médecin aussi qui s’occupe de la santé des filles de Madame, un gouverneur et son associé qui sont des hommes pourris, une jeune femme surnommé la Gazelle par son amant, et bien d’autres gens honnêtes et certains sans scrupule habitent les pages. Dans ce roman ou l’on pourrait détecter un conte, une fable sociale mais surtout du réalisme car dans cette intrigue bien écrite, on partage l’histoire de la ville avec son côté pauvre ou les gens affamés vivent et fouillent dans la décharge et la ville haute ou vivent les hommes politiques corrompus, les riches trafiquants américains, c’est cette faune qui règne sur le marché noir et la corruption. Un roman qui peut-être cruel lorsque La Lagosta intervient grâce à sa force pour changer les abus de pouvoir et les inégalités, ce qui permet d’espérer en un monde meilleur. Une première publication qui certes ne se laissera pas oublier et qui ne saurait être qu’un gros coup de coeur….5/5
San Perdido
Editions Calmann-Lévy janvier 2019
471 pages
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Quatrième de couverture
Qu’est-ce qu’un héros, sinon un homme
qui réalise un jour les rêves secrets
de tout un peuple ?
Un matin de printemps, dans la décharge à ciel ouvert de San Perdido, petite ville côtière du Panama aussi impitoyable que colorée, apparaît un enfant noir aux yeux bleus. Un orphelin muet qui n’a pour seul talent apparent qu’une force singulière dans les mains.
Il va pourtant survivre et devenir une légende. Venu de nulle part, cet enfant mystérieux au regard magnétique endossera le rôle de justicier silencieux au service des femmes et des opprimés et deviendra le héros d’une population jusque-là oubliée de Dieu.
Mon avisDans le Panama de l’année 1940, c’est à San Perdido que l’histoire se passe, parmi de nombreux personnages, l’attention du lecteur est principalement attirée par un jeune garçon muet, à la peau noire et aux yeux bleus glaçants et des mains énormes, ce garçon pourrait bien changer la situation de certains, dès qu’il apparaît sur l’énorme décharge ou pullulent des gens affamés, les oiseaux s’envolent, les chiens errants et les rats s’enfuient. Félicia, une femme âgée de septante ans habite dans une vieille cabane au pied de la décharge, elle décide d’appeler l’enfant ( La Langosta). D’autres personnages apparaissent telle la petite Hissa vendue à neuf ans à Madame qui tient une maison close de luxe, un médecin aussi qui s’occupe de la santé des filles de Madame, un gouverneur et son associé qui sont des hommes pourris, une jeune femme surnommé la Gazelle par son amant, et bien d’autres gens honnêtes et certains sans scrupule habitent les pages. Dans ce roman ou l’on pourrait détecter un conte, une fable sociale mais surtout du réalisme car dans cette intrigue bien écrite, on partage l’histoire de la ville avec son côté pauvre ou les gens affamés vivent et fouillent dans la décharge et la ville haute ou vivent les hommes politiques corrompus, les riches trafiquants américains, c’est cette faune qui règne sur le marché noir et la corruption. Un roman qui peut-être cruel lorsque La Lagosta intervient grâce à sa force pour changer les abus de pouvoir et les inégalités, ce qui permet d’espérer en un monde meilleur. Une première publication qui certes ne se laissera pas oublier et qui ne saurait être qu’un gros coup de coeur….5/5
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