De mai à août 2020: La billebaude

     Lu une centaine de pages. Henri Vincenot raconte son enfance au seuil des années vingt. Il est élevé par ses grands-parents, dans un petit village bourguignon. C'est encore la campagne de l'ancien temps. La vie est celle, simple mais rude, de l'époque après-guerre, où le progrès n'a pas encore bouleversé l'existence des gens. C'est une lecture agréable, mise en relief par la plume magnifique de Vincenot, défendeur de la nature et des traditions. 

J'ai quitté ce livre avec regrets tellement je m'étais attaché à cette vie simple des campagnes. Voici mon commentaire ICI

Je viens de l'attaquer. J'ai lu un quart du livre environ. 
J'aime bien, le côté très rural et terroir est vraiment superbement dépeint par Henri Vincenot. C'était il y a pile 100 ans et c'est incroyable de voir comment le monde a évolué depuis.

Me réjouis de lire, je l'ai commandé chez mon fils

Fini ! C'est très "terroir", très différent de ce que je lis habituellement mais j'ai beaucoup aimé cette lecture. Je vous le recommande

Voici cette lecture achevée. Suis assez mitigé.
Remarquablement narrée, cette évocation de la campagne Bourguignonne dans les années 1920 tourne essentiellement sur des faits de chasse, ne laissant que trop peu de place à plein d'autres choses qui auraient mérité d'être développées.

Lu une centaine de pages 
C'est vrai il est beaucoup  question de la chasse mais je pense qu'à l'époque cela avait une grande importance car ils ne devaient pas aller chez le boucher . Quand il parle du lièvre à la royale avec purée de morille il dit que c'est un plat de pauvre .
J'ai bien aimé aussi ses passages sur la famille . Tout le monde vit ensemble , les grands mères les tantes il n'y a pas de frais de crèche ou de maison de retraite ! C'est vraiment une façon de vivre que nous avons perdu . Bon honnêtement je ne me serais pas vu vivre avec mes beaux parents ou mon père et ma belle mère lol !

Moi j'ai arrêté à la page 67. Il y avait effectivement beaucoup de chasse, ce qui ne m'intéresse pas particulièrement, et ensuite je n'étais pas assez intéressé par le terroir bourguignon pour continuer sur près de 400 pages. Peut-être si je prévoyais, ou était allé, me promener dans ces contrées ou quelque chose y ressemblant, mais cette année en ne pouvant pas voyager, l'effet était plombant plutôt que propice au rêve. Peut-être dans quelques années, après que j'ai voyagé au coeur de la France?

Lu et un