Michael WEAVER (Etats-Unis)

De : Muriel13B (Message d'origine) Envoyé : 2005-02-17 10:55
Obsession mortelle:
4ème de couverture:
Les Garret forment un couple uni et amoureux. Paul, célèbre journaliste au New York Times, et sa femme Emily ont déniché la maison de leurs rêves à moins de deux heures de Manhattan dans les Appalaches. Lors d'un week-end de détente, un randonneur de passage se propose aimablement pour quelques travaux de menuiserie.
En quelques minutes, la situation bascule dans l'épouvante. Meade, le séduisant jeune homme, fait feu sur Paul, viole et assassine Emily sous ses yeux. Lorsque le journaliste émerge du coma, c'est avec l'obsession de se venger de ce psychopathe récemment libéré de prison, lequel se révèle très vite être un monstre d'intelligence et de perversité.
Commence alors une chasse à l'homme haletante et un terrifiant voyage au coeur du mal, car jour après jour, Meade informe Garret des nouveaux carnages qu'il s'apprête à commettre.
(Pocket, 465 pages)

Thriller d'une redoutable efficacité, "Obsession Mortelle" a été un best-seller dès sa parution aux USA. La critique, unanime, a immédiatement vu en Michael Weaver le digne émule de Thomas Harris et Stephen King.

Mon avis : 5/5

Un livre que je n'ai pas pu poser jusqu'à avoir tourné la dernière page. Un super thriller qui m'a tenu en haleine jusqu'au bout. Pour les amateurs du genre, sans hésiter. Un des meilleurs livres que j'ai jamais lu !


De : SisterCici Envoyé : 2005-03-18 09:26
Voici ma critique de "Obsession mortelle" de Michael WEAVER:

Paul Garret, célèbre journaliste new-yorkais, passe un week-end paisible avec son épouse Emily dans leur maison nichée au coeur des Appalaches.Survient un jeune randonneur qui sympathise avec le couple et le roman bascule dans l'horreur.Car le randonneur, dans une scène d'une voilence inouïe, tire sur Garret, viole et assassine Emily puis disparaît dans la nature.Lorsque, après plusieurs jours de coma, le journaliste réussit à survivre, une pensée le tourmente : se venger!!
Commence alors une extraordinaire chasse à l'homme, à laquelle Garret se raccroche comme une dernière chance de redonnere un sens à sa vie, et qui le mettra aux prises d'un tueur d'une intelligence diabolique et aux réactions soudaines, entretenant avec le journaliste de perverses relations téléphoniques dans lesquelles il l'informe de chaque crime qu'il commet...
J'ai vraiment bien aimant ce livre car il est bien écrit.
J'ai été captivée jusqu'à la dernière page, ce roman mené à un rythme hors d'haleine réunit tous les ingrédients d'un précieux thriller : un suspens parfaitement entretenu qui sera plus d'une fois confrontés à d'obscures cas de conscience; enfin une intrigue où violence et érotisme se mêlent étroitement, composant un ouvrage d'une remarquable efficacité.
Ma cote : 5/5


De : Mousseliine Envoyé : 2005-09-23 16:51
Une critique que j'ai reçue par courriel :

Obsession mortelle

William Meade, violeur et assassin, vient d'être mis en liberté
conditionnelle. Pendant quelques mois, il semble contrôler ses pulsions
jusqu'au jour où il s'approche de la maison des Garret. Il viole et tue
Emily en présence de son mari Paul qui survivra miraculeusement à deux
balles reçues en pleine tête. Ce dernier, journaliste au New York Times
n'aura de cesse de retrouver Meade après l'avoir identifier. Il s'en prendra
également au système judiciaire américain qu'il accuse de laisser sortir
arbitrairement des assassins notoires et potentiellement récidivistes. Meade
en cavale noue des liens avec Paul Garret en l'informant des crimes qu'il
vient de commettre. Sa préoccupation première ne semble pas être la
notoriété que lui confère les articles de Paul, cette relation est motivée
par des désirs bien plus malsains...

L' écriture n'est certes pas inoubliable mais le suspens fonctionne bien. le
serial killer est bien dépeint, tantôt fou, tantôt diaboliquement logique et
réfléchi. Il arrive même parfois à nous apparaître comme une victime. On
croit qu'il peut être magnanime et se racheter. Le personnage du mari
vengeur est un peu plus terne, il ressemble beaucoup trop, à mon goût, aux
héros malgré eux des films américains les plus conventionnels. Cependant,
cela reste un polar très fréquentable.

(Nateva)