Robert LUDLUM (Etats-Unis)

De : Curyos22 (Message d'origine) Envoyé : 2003-06-23 08:43

Les veilleurs de l'Apocalypse
(Pocket 4219 - 645 pages)

Outre un espion désireux de venger son frère, une belle rongée par la disparition de son compagnon, CIA, DST, MI5, MI6, Opérations consulaires sont les héros de ce roman à suspense face au renouveau du IIIe Reich prêt à détruire l'Occident pour le reconquérir. Opérations secrètes mais d'envergure, manipulations mentales, physiques et politiques sont décrites dans ce superbe livre. Pénétrez dans la " taupinière " : pas une page d'ennui sur 645 !

Note : 5/5

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De : Curyos22 Envoyé : 2003-06-23 08:51
Le duel des gémeaux
(Pocket 4218 - 601 pages)

Un autre Ludlum pour les vacances qui approchent. Ne vous jetez pas nécessairement sur le dernier best-seller à la mode mais pensez à ce livre ci. Vous y trouverez le mystère, le suspense, des personnages attachants, le tout bien écrit pour vous conter les périples palpitants pour retrouver et mettre à l'abri un secret qui pourrait changer la face du Monde.

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De : Curyos22 Envoyé : 2003-06-29 05:22

L'illusion Scorpio
(Pocket 4217 - 634 pages)

Amaya Bajaratt, une mercenaire à la solde du terrorisme, dont le credo est Muerte a toda autoridad ! projette, parmi ses désirs de vengeance, l'assassinat du président des Etats Unis.
L'intrigue aurait pu être belle. Toutefois, j'ai abandonné ce livre à sa moitié. Habitué à la réalité tangible des précédents Ludlum, j'ai eu l'impression que celui-ci me plongeait dans un film de James Bond tant les situations sont extravagantes et dès lors peu crédibles (lisez la description de la villa du padrone truffée de gadgets à la 007 : on n'est pas loin de la base du Dr No). Cependant si vous recherchez le charme désuet d'un Ian Fleming à la sauce "fin XXe", ce livre pourrait vous plaire.

Cote : 1,5/5

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De : Lyreek14 Envoyé : 2008-05-27 03:01

La mémoire dans la peau
Le livre de poche - 666 pages

Résumé : Un homme, grievemment blessé par balles, est retrouvé en mer au large de Marseille. Pris en charge par un medecin, l'homme survit à ses blessures. Mais il a tout oublié de son passé. Seul indice, un étrange tatouage qui le conduit dans une banque à Zurich à la recherche de son identité.

Mon avis : Un excellent roman policier sans temps mort et avec une intrigue bien ficelée. Le personnage de Jason Bourne est fascinant dans sa quete de son passé, faisant preuve d'un certain talent pour échapper à ses poursuivants tout en glanant des informations sur son ancienne vie. Tout aussi intéressant, ses doutes et ses interrogations sur le genre d'homme qu'il a été avant l'accident et sur celui qu'il est actuellement. J'ai aussi particulièrement apprécié le personnage de Marie qui m'a semblé bien plus riche que dans le film, dans l'aide qu'elle apporte à Jason et dans ses sentiments à son égard. Seul petit bémol pour moi, il est parfois difficile de s'y retrouver parmi les nombreux personnages, mieux vaut donc être assez attentif. Mais pour les amateurs de polar et de mystère, c'est un très bon roman, bien écrit et captivant du début à la fin.

Note : 4/5

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De : il_pleut_toujours Envoyé : 2008-10-04 17:22

L'alerte Ambler, Robert Ludlum
Grasset

Résumé du livre
Bienvenue à Parrish Island, petite île paisible au loin des côtes de Virginie... à quelques encablures de Langley, le QG de la CIA. Parrish Island : son musée local, sa faune, sa flore... et son centre psychiatrique top-secret, où végètent, drogués et torturés, d'anciens espions américains devenus fous. A moins qu'ils n'aient été enfermés là par leur propre gouvernement, parce qu'ils représentaient une menace... Hal Ambler est l'un de ces prisonniers. Une chose est sûre, c'est qu'il n'est pas fou. Mais pour le reste, mystère. Lui-même ne sait pas pourquoi il s'est retrouvé là, ni pourquoi, lorsqu'il se regarde dans la glace, il ne reconnaît pas son propre visage... Ambler parvient à s'évader et la mort aux trousses, se lance à la poursuite de lui-même. Mais il semblerait que 'Hal Ambler' n'existe pas. Personne ne le reconnaît, personne n'a jamais entendu parler de lui - et pourtant, tout le monde paraît déterminé à le supprimer. Pourquoi ? C'est ce qu'il devra découvrir, au péril de sa vie - et de celle de millions d'autres personnes.

Un livre divertissant, sans plus. Rien à voir avec les aventures de Bourne. Ou peut etre est-ce exactement parce qu il y a certaines similiraités avec les aventures de Bourne dans le concept de Alerte Ambler que j ai trouve le livre ordinaire. Comme si j etais decu que l auteur n ait pas imagine quelque chose de different. J'ai de loin prefere des livres comme Objectif Paris, du meme auteur.

Point interessant par contre, j ai bien aime qu une partie de l aventure se deroule dans ma ville, Montreal. Les descriptions des lieux sont rigoureusemen exactes, ce qui m enchante dans la mesure ou dorenavant, je sais que les autres lieux decrits par Ludlum sont pareils a la realite.

Note : 3/5

De: Michelle

Robert Ludlum - La mémoire dans la peau
(LGF - Livre de Poche, 1983, 666 pages)

Très très bon. Ça m'a pris beaucoup de temps parce que je lisais d'autres livres plus faciles en même temps et celui-ci quand je voulais le lire je voulais au moins une couple d'heures à lui réserver. C'est pas que c'est difficile à lire mais ça demande une bonne concentration car sinon je devenais toute mêlée dans l'intrigue.

L'intrigue est bonne, très enlevante, ça bouge, c'est crédible. C'est l'histoire d'un type repêché, blessé qui a perdu la mémoire, son seul indice est un microfilm qui est comme ancré dans sa peau, à partir de ça il essaie de retrouver qui il est, mais là on essaie de le tuer, il voit des images terribles qui lui font penser qu'il est quelqu'un d'horrible, etc. Il y a une fille qui s'ajoute à ça à un moment donné, mais l'histoire d'amour ça j'y ai moins cru!

Note : 4/5

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De: Mousseliine

Robert Ludlum - La mémoire dans la peau

J'ai lu ce livre, que j'ai beaucoup aimé comme la plupart des romans de Robert Ludlum. Voilà bien longtemps il était l'un de mes auteurs favoris, mais depuis "L'agenda Icare" je n'ai rien lu d'autres. Et là j'ai le goût de m'y remettre et ainsi lire ses dernières oeuvres.

Je garde un souvenir impérissable de "Le Cercle bleu de Matarèse", "L'agende Icare" et "La mosaïque Parsifal", sinon j'ai rarement été déçue par un roman de Robert Ludlum mis à part "Le pacte Holcroft".

(Mousseline)
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Robert Ludlum est né en 1927, à New York. Après une brillante carrière en tant que producteur et acteur de théâtre, à quarante ans, il abandonne tout et se met à écrire des romans d'action, riches en suspense. Il a publié son premier livre en 1971, "L'Héritage Scarlatti". Ce best-seller a été suivi d'une vingtaine d'autres romans. Les secrets d'État et la corruption sont des thèmes récurrents dans les romans d'espionnage de Ludlum, réputés pour leurs innombrables rebondissements et leur suspense parfait. Il est décédé en 2001, à l'âge de 73 ans.

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De: Pisty

Robert Ludlum - La mosaïque Parsifal
(LGF - Livre de Poche, 1994, 827 pages)

Un roman d'espionnage dont l'action se passe en pleine guerre froide, alors que les Américains et les Soviétiques sont tous obsédés par la menace nucléaire. Un agent américain, tchèque d'origine et ayant vécu une enfance des plus traumatisantes (bien que ça on ne le sait pas en commençant la lecture) se retrouve obligé d'orchestrer le meutre de la femme de sa vie, dont il a des preuves irréfutables qu'elle est un agent double soviétique. Après cette épreuve, il prend sa "retraite" pour se retrouver nez à nez avec ELLE sur un quai de gare, à Rome. Il redevient actif, pour la retrouver, pour démêler un écheveau qui implique beaucoup plus que leurs deux vies, pour reconstituer une mosaïque incroyable, et effrayante!

J'ai aimé! Ça déboule un peu à la fin, mais l'ensemble reste fascinant. Les morceaux se placent, se déplacent et le suspense demeure. Les questions "géo-politiques" sont peut-être un peu dépassées, mais la morale profonde demeure valide, du moins à mon avis! Trop de pouvoir entre les mains d'un seul homme, trop de pression, et le fragile équilibre peut basculer vers la folie absolue!

Note : 4/5
Pisty

Quelqu'un a lu entièrement la triologie des aventures de Jason Bourne?

Oui moi... mais ça fait de nombreuses années. J'ai fait la connaissance avec Robert Ludlum il y a une vingtaine d'années et à l'époque j'avais lu plusieurs de ses romans.

Robert LUDLUM



Le manuscrit Chancellor (The Chancellor Manuscript)


Pocket - 1977 - 348 pages


Résumé :

La thèse de doctorat d'histoire, présentée par Peter Chancellor est refusée, il lui est reproché de trop remettre en cause une période noire de l'histoire, la période allemande de l'après République de Weimar et la montée au pouvoir du parti nazi, qui aurait profité d'aides industrielles des Etats-Unis.
Il demande appui au tout puissant Munro St Claire, ancien sous-secrétaire d'état, professeur épisodique à l'université de Park Forest. St Claire atteste ne pouvoir infléchir une décision du conseil de l'université, conteste le bien fondé de la thèse de Chancellor et lui conseille de publier un roman.
Le roman a un vif succès, en amène un autre, tout autant controversé sur l'ingérence de la CIA sur le territoire américain, puis un troisième qui fait de Chancellor un auteur reconnu et riche.
Chancellor est victime d'un accident de voiture qui coûte la vie à sa future femme et lui vaut de passer une longue période à l'hôpital. Il préparait un livre sur le procès de Nuremberg.
Abattu, il se donne à la boisson et déprimé passe ses journées à ne rien faire. Son agent littéraire et son éditeur n'arrivent pas à lui insuffler du courage, à leur grand dam. Chancellor est, alors, contacté par un ancien agent du FBI, juste après la mort de Edgard Hoover, directeur perpétuel du bureau, qui propose des renseignements devant permettre la rédaction d'un livre sur les manigances et les exactions du FBI.
Remis en selle par ce projet, Chancellor fera l'objet d'une traque sans merci, au péril de sa vie, d'ennemis dont il ignore le visage et les motivations.

Mon avis :

Ludlum n'est jamais aussi bon que lorsque ses livres se passent sur le territoire des Etats-Unis, car il se livre à la délivrance d'un message, tendant à dénoncer soit un service, soit un ministère, soit le système ou des injustices.
Il le prouve avec ce roman, qui est un remarquable document sur le FBI et notamment sur Hoover, autant que Ellroy dans sa trilogie Underworld USA.
La controverse sur la mort du Directeur du FBI, ennemi juré de trois présidents, Kennedy, Johnson et Nixon, est laissée à l'appréciation du lecteur, cependant pour avoir lu et relu à ce sujet, je dois dire que Ludlum ne doit pas être loin de la vérité. L'intrigue, à laquelle l'auteur ajoute un mystérieux organisme redresseur de torts, sans vocation officielle, brouillant les pistes, est, indéniablement, diaboliquement montée et tellement vraisemblable que le lecteur, déboussolé, se laisse guider par Ludlum comme un petit chien par son maître.
Le pauvre Chancellor risque, à tout moment, d'y laisser sa raison et son enquête, motivée par son statut de romancier en pleine écriture, déraille complétement, tant il y a de fils à suivre et que le mélange des bons-mauvais, des mauvais-bons, des bons-bons et des mauvais-mauvais, à tel point réussi que le pauvre écrivain ne sait plus à quel saint se vouer ni vers qui se tourner, les plus proches étant, aussi, sujets à caution.
Comme chacun le sait, Hoover possédait entre cinq et six mille dossiers sur toute personnalité américaine influente où ayant joué un rôle à un moment donné. Il avait installé des micros partout y compris dans le bureau de son ministre de tutelle, Robert F. Kennedy, ainsi que dans les chambres d'hôtel, de chaque état, où descendait J.F.K.
Il a refusé plusieurs fois le poste de ministre de la justice (Attorney General), car disait-il, là où un ministre se jette comme un Kleenex, un directeur reste. L'histoire lui donna raison.
Cette plongée dans le monde du FBI, des magouilles politico-policières est parfaitement servie et rendue par un Ludlum au sommet de sa forme. Comme c'est un monde qu'il connait bien ou qu'il décrit bien, il nous livre un roman impeccable et absolument fascinant, agrémenté par des dialogues tranchants comme une lame de rasoir, dans un style enthousiaste.
Une lecture de bon aloi, vivante et passionnante.

4,75/5

B

Quelle coincidence, je viens de finir un autre Ludlum, mon premier de cet auteur, dont le genre ne m'a jamais tenté. Mais le livre était parmi le tas gratuit obtenu vendredi dernier.

Ludlum - The road to Gandolfo. (1975)
Lu en néerlandais, trad. Mariette Herlé, Ed. Veen, 1987, 256 pg.

Ce roman raconte, dans un language musclé, comment un ancien général, agent international qui fait penser légèrement à un James Bond américain, organise le kidnapping du pape. Aidé d'un avocat naïef (qui doit subir pas mal de rigolades de caleçon) il fait chanter quatre grands criminels pour 4 fois 10 million, argent nécessaire pour organiser un commando de 12 spécialistes pour le kidnapping. En plus de ce commando, il se lasisse assister par ses quatres ex-femmes qui n'ont pas peur de s'acoquiner avec l'avocat naïef. Et... le kidnapping réussit. Seulement, le pape est plus astucieux, c'est pourquoi le kidnapping donne au général - pas les 400 millions de rançon prévue - mais un fou rire imprévu. Roman léger, à lire un jour de pluie (comme c'était hier) ou à laisser. Ma note 3/5.

J'ai lu Sur la route de Castel-Gandolfo et, ma foi, j'avais bien ri. Il y a son pendant américain, toujours de Ludlum : La route d'Omaha, avec les mêmes protagonistes, un territoire octroyé, au 18ème aux indiens et utilisé à notre époque par la NASA. C'est le général qui s'y colle pour défendre le droit des indiens. C'est aussi très drôle.

B

Une invitation pour Matlock (The Matlock Paper)


Robert Laffont - 1973 - 353 pages


Résumé :

James Matlock un universitaire, professeur d'anglais, docteur en littérature élizabéthaine, enseigne à l'université de Carlyle. Il est choisi par le ministère américain de la justice pour assumer une mission relative aux déviances qui sévissent dans les campus, drogue, prostitution, jeu et d'autres.
Le système universitaire est proche de l'implosion. A Washington on craint qu'une intervention du FBI ne se termine en bain de sang. De source sûre, le ministère, a connaissance d'une réunion secrète, aux alentours de Carlyle, organisée par un mystérieux Nemrod. Homme ou organisation, nul ne le sait et c'est ce que Matlock devra découvrir, s'il accepte la mission, ce qu'il fait (sinon il n'y aurait pas de livre), afin d'éviter à cette jeunesse de ce détruire tout comme son frère cadet, décédé d'une overdose.

Mon avis :

Grosse déception. Deux à la suite.
Comme je l'écris, par ailleurs, Ludlum ne situe ses romans sur le territoire américain que lorsqu'il s'érige en redresseur de torts et en dénonciateur du système. Ici de même, sauf que c'est raté. L'histoire est tirée par les cheveux, les situations grotesques : initiation vaudoue dans un local réservé aux étudiants noirs et dont, lui, seul blanc est convié. Il trouve le rite barbare, il se fâche, on lui casse la figure. Qu'à cela ne tienne, un Mars et ça repart.
Ludlum a profité des remous universitaires pour en tirer un bouquin, dénoncer le laxisme fédéral à ce sujet, l'absence de dialogue et la renonciation, voire la complicité des présidents et des doyens d'université. Cela part d'un bon sentiment, mais que l'histoire est tarte, qu'elle est invraisemblable. Comment cet homme peut-il se jouer de la mafia des jeux, démanteler un réseau de prostitution universitaire, se sortir de situations perdues d'avance, avec comme seul atout sa rage, sa culpabilité fraternelle et ses petites mains ?
Je ne suis pas fâché contre Ludlum, dont je reconnais le talent et sa volonté de montrer les Etats-Unis tels qu'ils sont et leur glissade vertigineuse vers l'enfer, simplement, ici, c'est un ratage.
Dommage

2,5/5
B

L'histoire : Dans les coulisses de l'Histoire, les Etats-Unis et l'Allemagne nazie ont passé un accord pour un échange machiavélique. Organisé par Albert Speer, les nazis donneraient les plans d'un gyroscope permettant aux bombardiers alliés de voler plus haut tandis que les américains échangeraient des diamants qui permettraient aux nazis de continuer leur production d'armes à Pennemünde. Les américains envoient un de leur meilleurs agents : David Spaulding. Celui-ci va découvrir qu'on lui a caché des éléments de l'échange.

Ce que j'en pense : J'ai en vie de dire que quand on a lu un roman de Ludlum on les a tous lu, même si la trilogie Bourne sort du lot.

Mais quand même ce n'est pas loin de la vérité. On a toujours droit au même type d'intrigue, aux mêmes types de personnages, à la même histoire d'amour entre le héros et la femme fragile, veuve dans le cas présent.

Le héros est un homme qui ne se destinait pas à devenir un agent secret, mais lorsqu’il le devient il est le meilleur. Cela fait presque de lui un surhomme.

Le méchant a la particularité paradoxale d'être à la fois nazi et juif. Ben oui on a bien le droit de s'enrichir par n'importe quel moyen. Ce qui donne malgré tout une ambiance d'antisémitisme feutré : le juif court après l'argent même s'il doit faire partie commune avec les ennemis de son peuple.

Le récit n'est pas très dynamique, le suspense est anesthésié lorsque l'on comprend que le héros s'en sortira, même blessé par balle, mordu par un doberman, à tous les coups.Puis Ludlum a une manière de compliquer son intrigue sans la rendre plus claire.

Une chose est sûre, même pour me distraire, je crois que je ne me tournerai plus vers un thriller de Ludlum.

Merci Patience. Je l'avais trouvé sympa celui-là;

B

Non, non, ils sont dans ma Pal, mais j'en ai lu beaucoup de cet auteur que j'aime bien, malgré que ses oeuvres ne soient pas de qualité égale.  

B

LE CHOIX JANSON


Paul Garrisson, d’après Robert Ludlum


Grasset – 352 pages – 2015




Note de l’éditeur :


Paul Janson a quitté le service de renseignement clandestin du Département d'Etat pour laisser derrière lui les assassinats commandités et "approuvés". Froid, détaché, jamais tourmenté par le remord ou un quelconque sentiment de culpabilité, son passé a pourtant fini par le rattraper. Désormais à la tête d'une société privée de consultants en sécurité, il choisit ses missions et cherche la rédemption. Lorsque Kingsman Helms, un des présidents de la compagnie pétrolière ASC, le supplie de venir en aide à son épouse, enlevée par des pirates somaliens en plein océan Indien, Janson et Jessica Kincaid, sa partenaire, y voient l'occasion d'infiltrer ASC et de mettre un terme aux agissements du PDG de la firme, qui a des visées sur les pays d'Afrique de l'Est, gangrénés par la corruption. Mais une fois en Somalie, Janson et Kincaid découvrent que les pirates sont peut-être la moindre des menaces. Allegra Helms ne serait-elle qu'un pion dans les mains de son mari et son enlèvement un leurre, qui permettrait à Kingsman d'affermir son contrôle sur le pays ? Paul et Jessica se retrouvent au cour d'un vaste complot, où chacun entend bien duper l'autre. Et c'est l'équilibre de toute la région qui est bientôt menacé.




Mon avis :


Lecture d’été sans pour autant m’en défendre.
Ludlum avait, avant sa mort, commencé une série avec Paul Janson et Jessica Kencaid comme personnages principaux comme pour la série Jason Bourne. De la même façon P. Garrisson assure la suite.
Ce n’est pas mauvais, c’est très mauvais.
La femme que l’on veut sauver, kidnappée avec d’autres, environ une dizaine, restera, bien sûr, quand tous les autres auront été tués et s’en sortira saine et sauve.
Youpie !
Son mari et quelques faiseurs d’histoires ayant la tentation de déstabiliser la Somalie, voir l’Afrique de l’est finiront «ad patres ».
Des morts comme s’il en pleuvait.
Des bombes à tous les coins de rue.
Des méchants, des véreux, des politiciens, des politiciens méchants et véreux, bref que du beau linge, en veux-tu, en voilà, sans intérêt.


J’aimais et j’aime toujours bien Robert Ludlum, là, le pauvre doit faire la girouette dans sa tombe..


Même l’écriture (ou la traduction) est nulle, c’est dire !


0,5/5 pour l’encre