Caryl FEREY (France)
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Re: Caryl FEREY (France)
Zulu
Ce livre est très dur, avec des scènes très violentes, à déconseiller aux personnes sensibles. Mais très intéressant à lire car derrière les histoires de meurtres, on regarde une Afrique du Sud qui veut sortir de l’Apartheid.
La couleur de peau des personnages est très importante, et j’avoue m’y perdre parfois, ce qui a faussé ma compréhension de certains passages. Dans un clan, comme dans l’autre (police et bas fond), la couleur ne donne pas les même droits, et le passé de ce pays ne facilite pas l’enquête. Il ne faut pas s’attendre à trouver un coupable, c’est plus compliqué de ça. Pour le lecteur, ce n’est pas toujours évident mais très enrichissant.
Le plus grande partie de l’histoire, alors qu’Ali et Epkeen enquêtent, n’est que découverte de cadavres et scènes des plus macabres. Personne n’est épargné, même la police en fait les frais , car elle ose s’aventurer dans des quartiers où la pauvreté et la misère entraînent ses occupants à survivre par tous les moyens.
C’est un roman policier qui nous fait voir le coté le plus hard de l’Afrique.
Ce livre est très dur, avec des scènes très violentes, à déconseiller aux personnes sensibles. Mais très intéressant à lire car derrière les histoires de meurtres, on regarde une Afrique du Sud qui veut sortir de l’Apartheid.
La couleur de peau des personnages est très importante, et j’avoue m’y perdre parfois, ce qui a faussé ma compréhension de certains passages. Dans un clan, comme dans l’autre (police et bas fond), la couleur ne donne pas les même droits, et le passé de ce pays ne facilite pas l’enquête. Il ne faut pas s’attendre à trouver un coupable, c’est plus compliqué de ça. Pour le lecteur, ce n’est pas toujours évident mais très enrichissant.
Le plus grande partie de l’histoire, alors qu’Ali et Epkeen enquêtent, n’est que découverte de cadavres et scènes des plus macabres. Personne n’est épargné, même la police en fait les frais , car elle ose s’aventurer dans des quartiers où la pauvreté et la misère entraînent ses occupants à survivre par tous les moyens.
C’est un roman policier qui nous fait voir le coté le plus hard de l’Afrique.
Re: Caryl FEREY (France)
Nouveau monde inc. de Caryl Férey
Note : 3/5
A la suite d’un accident de voiture, Marie ressort seule survivante de ce cauchemar. Elle rencontre un diplomate, l’attaché culturel de Tchétchénie qui la guide à travers divers lieux pour lui parler de la Terre qui avance à l’envers. Des dialogues surprenants et percutants sur les différents problèmes qui nous touchent. Le bruit, la retraite, le racisme… Assez dérangeant, trop court mais assez vrai. Faisons-nous vraiment partie d’un tel monde ?
Note : 3/5
Shan_Ze- Admin
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Re: Caryl FEREY (France)
MAPUCHE
(photo du livre et résumé ci-dessus)
Mon avis:
C'est un bon livre qui m'a beaucoup plu. Pour moi le meilleur de C. Férey. Jana est Mapuche qui a perdu tous les siens exécutés par des blancs, paumée, seule avec un travesti pour ami. Ruben a vécu dans un camp, torturé pour, uniquement, être le fils d'un poète. Sa soeur perdra la vie, son père ne reviendra pas et sa mère tournera tous les jeudis sur la place de mai.
On essaie de faire payer les tortures à ces ordures qui balancent encore des innocents d'avions en vol, au risque de sa propre vie. Ruben, Jana, s'aimeront contre vents et marées et l'amour triomphera, mais à quel prix.
Lors de l'inauguration de la nouvelle maison de la radio, je suis allé voir Jacques Higelin lire un texte de F. G. Lorca sur le duende (coup de génie), or Férey, en écrivant sur le père de Ruben, dit qu'il avait le duende. Coïncidence, si on y croit!
4,5/5
B
(photo du livre et résumé ci-dessus)
Mon avis:
C'est un bon livre qui m'a beaucoup plu. Pour moi le meilleur de C. Férey. Jana est Mapuche qui a perdu tous les siens exécutés par des blancs, paumée, seule avec un travesti pour ami. Ruben a vécu dans un camp, torturé pour, uniquement, être le fils d'un poète. Sa soeur perdra la vie, son père ne reviendra pas et sa mère tournera tous les jeudis sur la place de mai.
On essaie de faire payer les tortures à ces ordures qui balancent encore des innocents d'avions en vol, au risque de sa propre vie. Ruben, Jana, s'aimeront contre vents et marées et l'amour triomphera, mais à quel prix.
Lors de l'inauguration de la nouvelle maison de la radio, je suis allé voir Jacques Higelin lire un texte de F. G. Lorca sur le duende (coup de génie), or Férey, en écrivant sur le père de Ruben, dit qu'il avait le duende. Coïncidence, si on y croit!
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B
Bernard- Nombre de messages : 3697
Age : 79
Location : 94160 Saint-Mandé
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Re: Caryl FEREY (France)
Zulu
Note : 5/5
Résumé : En Afrique du Sud, dans un pays toujours profondément marqué par l’Apartheid et la ségrégation, un peu avant la Coupe du Monde de 2010, Ali Neuman et Brian Epkeen, policiers, enquêtent sur le meurtre d’une jeune fille, blanche. Ils découvrent rapidement qu’elle était défoncée à une nouvelle drogue sur le marché, le tik. Leur enquête va les mener dans les bas-fonds des townships, là où règnent la violence, la pauvreté et la maladie.
Critique : J’ai vraiment adoré ce livre. Un véritable coup de cœur. Premier livre que je lis de cet auteur. J’avais vu le film adapté de ce livre quand il est sorti au cinéma il y a 2 ou 3 ans, avec Forest Withacker et Orlando Bloom dans les rôles principaux. Donc je n’ai pas vraiment eu de grosses surprises en lisant le livre par rapport à l’histoire en elle-même. Elle peut sembler un peu embrouillée par moment, on s’éloigne beaucoup de ce que l’on pense à première vue. Par ailleurs, le récit est très violent, sordide, presque barbare. Personnellement, ça ne m’a pas plus dérangée que ça mais je comprends que ça puisse choquer certaines personnes plus sensibles. Les personnages sont tous bien travaillés, en particulier Neuman. La partie sur le Project Coast est très intéressante et après quelques recherches effectuées par ci par là, je me suis rendue compte que tout ce qui est dit dans le livre sur ce sujet s’est vraiment passé. C’est assez incroyable et carrément horrible. Le final est haletant, je n’arrivais pas à lâcher le livre. L’auteur (qui est français au passage et pas sud-africain comme je l’avais cru) s’est remarquablement bien documenté sur l’Afrique du Sud. Il en dresse un portrait très précis, minutieux, pleins de détails et finalement assez terrifiant. Par contre, parfois, je me perdais un peu dans le dialecte sud-africain – zoulou. Il manquait peut-être une traduction. Malgré ça, j’ai vraiment adoré lire ce livre. Une belle découverte.
cookie610- Nombre de messages : 5559
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Re: Caryl FEREY (France)
Condor
Gallimard (2016)
Il y a des romans qui vous happe dès les premières lignes et que vous ne pouvez pas lâcher. Condor est un de ces romans addictifs où la tension est palpable à chaque page, chaque ligne et chaque mot.
D'une écriture à la fois tranchante et onirique, Caryl Férey dresse le portrait d'un pays, le Chili, en proie à la violence et qui ne s'est pas remis du régime de Pinochet.
Gabriella, jeune vidéaste et révolutionnaire, cherche à lever la vérité sur les morts mystérieuses de jeunes du bidonville "La Victoria" de Santiago. Aidée d'un avocat "spécialiste des causes perdues", elle va devoir renouer avec ses origines Mapuche et accepter enfin son destin.
C'est un roman fort, puissant, poignant qui comme beaucoup de romans de cet auteur vous laisse l'effet d'un uppercut. Un très très beau roman qui, cela va sans dire, ne vous laisse pas indifférent.
Ma note: 5/5
Re: Caryl FEREY (France)
Utu
Note : 3/5
Résumé : Paul Osborne reprend du service au sein de la police d’Auckland à la suite du suicide de son ami et mentor Fitzgerald. Il ne croit pas à la thèse officielle et est persuadé que sa disparition a un lien avec sa dernière enquête où il avait découvert un charnier de corps tué selon un rituel. Paul replonge dans les bas-quartiers de la ville où les tensions raciales entre blanc et maori sont exacerbées.
Critique : Je suis assez septique sur cette lecture. Il s’agit de la suite du livre Haka que je n’ai pas lu et qui a priori présentaient les personnages principaux. Bon la préface précise qu’on peut très bien lire le 2nd sans avoir lu le premier. Ça ne gêne pas la compréhension globale de l’histoire mais il y a surement deux trois points qui nous passent au-dessus. Déjà, on est en plein dans les clichés du polar avec un flic tourmenté par son passé, alcoolique, drogué, en rébellion avec la hiérarchie, etc. Rien ne nous est épargné. L’histoire est confuse, pas claire, j’ai eu beaucoup de mal à comprendre le pourquoi du comment ce qui est dommage dans un policier. Quelques grosses ficelles n’arrangent en rien la crédibilité de l’histoire. Ce que j’apprécie dans les livres de cet auteur c’est le contexte. Comme dans l’Afrique du Sud postapartheid de Zulu, ici, il arrive parfaitement à nous faire revivre la Nouvelle-Zélande et les tensions raciales entre les blancs et les maoris. Sur cet aspect, je trouve que l’auteur s’en sort bien. Mais c’est dommage que l’histoire en elle-même soit si complexe et peu crédible. Bref, je retenterais peut-être ma chance avec cet auteur sur un autre livre (j’avais adoré Zulu) mais celui-là ne me laissera pas un souvenir indélébile.
cookie610- Nombre de messages : 5559
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Re: Caryl FEREY (France)
LA JAMBE GAUCHE DE JOE STRUMMER
Caryl Férey
Folio Policier – 2007 – 256 pages
Le mot de l’éditeur :
Mc Cash, s'il n'est plus flic, reste borgne et dévoré par une colère aussi vieille que son premier concert des Clash, à Belfast, avant les grèves de la faim de Bobby Sand et les victimes du Bloody Sunday... Plus de femme, pas d'avenir, des illusions perdues... Un ophtalmologue l'informe que s'il persiste à soigner par la destruction tout ce qui l'entoure, il sera vite et définitivement aveugle. Belle raison pour en finir d'une lumineuse balle dans la tête ! L'étincelle pourtant viendra d'ailleurs. Une lettre lui révèle qu'il est le père d'Alice. La mère est morte et c'est à lui désormais qu'il revient de veiller sur la petite... A peine Mc Cash est-il arrivé dans le village de sa fille qu'il trouve une autre fillette noyée. Alice vient le voir. Elle est le témoin qui dérange. Lorsque tombent les morts, Mc Cash redécouvre la peur et l'espoir mêlés. Lui qui voulait mourir mesure de plein fouet la valeur d'une vie. Celle de son enfant...
Mon avis ou ce que j’en pense :
Je le reconnais, j’aime bien Caryl Férey et pas seulement à cause de ce bouquin, non, non, avant aussi, vrai de vrai. Il est attachant Férey, il nous promène au gré de ses voyages et pas n’importe où s’il vous plaît, parfois c’est au bout du monde. Ici c’est un peu l’Irlande de par le personnage principal, Mc Cash mais c’est aussi la Bretagne et le Maroc, là où se passe l’intrigue. Mc Cash est borgne et il porte un bandeau façon Moshe Dayan pour ceux qui connaissent ou Barbe quelque chose dans pirates des caraïbes. Remarquez il l’ôte aussi son bandeau, des fois, pour faire peur sans doute.
Là ou ici, au choix, il devient papa sans le savoir ni le vouloir, tu penses un gars qui veut en finir avec lui même c’est pas un avenir pour une gamine. Aussi il ne lui dit rien mais elle est finaude la Alice, elle devinera que c’est son papa, enfin pas tout de suite. Bref quand il arrive, patatras, il repêche une gamine dans la Meu. Si, vous savez cette jolie p’tite rivière (on dit un bec en Normandie) qui coule vers Rennes. Il a maille à partir avec les gendarmes qui pensent que c’est sinon un voyeur, au moins un pervers responsable de la noyade.
Il faut à Mc Cash prouver son innocence aussi il va s’y coller et mener l’enquête à sa façon, tout sauf en douceur et, au bout du compte, il y aura quand même quelques cadavres ça et là au fil de ses allers et venues.
Requins, rabatteurs, trafic d’enfants, dessous de table, concurrence déloyale, parties fines, cocufiages et malversations sont les ingrédients choisis par l’auteur pour nous conter cette histoire.
La petite Alice, le calme revenu, offrira à son papa retrouvé un disque ou CD, je sais plus, des Clash qu’aime tant Mc Cash (Férey aussi puisque chaque chapitre a pour titre une chanson des Clash).
Joe Strummer étant le chanteur de ce groupe.
Il y a du punch dans le style de Férey, pas autant, encore, que lors de bouquins importants comme Zulu, Mapuche ou Haka, mais ce n’est plus un débutant dans son métier et, franchement on ne voit pas le temps passer comme on dit au ciné d’un bon film. De livre en livre Férey s’affirme pour notre plaisir (le mien?) et son écriture est souple, aérée, ample, juste et agréable. Les dialogues sont adaptables en fonction du moment et des intervenants. Ils sont percutants, solides dans leur mélodie pour compléter le récit qui va son bonhomme de chemin avec deçà delà un soupçon d’humour bienvenu et libérateur dans les situations difficiles où Férey reste d’une précision métronomique.
Quand à savoir le pourquoi de la jambe gauche de Joe Strummer, il faudra lire le livre.
J’ai vraiment bien aimé.
4,5/5
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; }
Bernard- Nombre de messages : 3697
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Re: Caryl FEREY (France)
Condor
Note : 4/5
Résumé : A Santiago au Chili, dans les bas quartiers, une drogue mystérieuse fait des ravages. Gabriela, une jeune étudiante en cinéma va enquêter sur ces drames et va s'allier avec Esteban, un avocat spécialiste des causes perdues issu des beaux quartiers. Mais la dictature de Pinochet des années 1970 a laissé des traces dans la société. Et ils vont s'enfoncer dans un système bien plus pourri qu'ils ne pensaient.
Critique : j'ai beaucoup aimé cette lecture. Je partais un peu sur mes gardes. De mes deux précédentes lectures de cet auteur, il y avait eu un coup de cœur et une déception. Mais là, j'ai embarqué dès le premier chapitre. On a un peu de mal à voir au début où on va et comment les différents personnages vont s'imbriquer mais on est dedans. L'histoire policière est bien ficelée malgré quelques facilités. Je n'ai pas vraiment cru à la romance entre les deux personnages principaux mais bon. J'ai surtout appris énormément de chose sur l'histoire du Chili, le socialisme d'Allende, la dictature de Pinochet, l'après Pinochet, les minorités Mapuche, etc. C'est ce qui fait toute la richesse de l'histoire. C'est extrêmement bien documenté. Un livre qui ne peut pas laisser indifférent. Je relirais volontiers un livre de cet auteur du coup !
Note : 4/5
Résumé : A Santiago au Chili, dans les bas quartiers, une drogue mystérieuse fait des ravages. Gabriela, une jeune étudiante en cinéma va enquêter sur ces drames et va s'allier avec Esteban, un avocat spécialiste des causes perdues issu des beaux quartiers. Mais la dictature de Pinochet des années 1970 a laissé des traces dans la société. Et ils vont s'enfoncer dans un système bien plus pourri qu'ils ne pensaient.
Critique : j'ai beaucoup aimé cette lecture. Je partais un peu sur mes gardes. De mes deux précédentes lectures de cet auteur, il y avait eu un coup de cœur et une déception. Mais là, j'ai embarqué dès le premier chapitre. On a un peu de mal à voir au début où on va et comment les différents personnages vont s'imbriquer mais on est dedans. L'histoire policière est bien ficelée malgré quelques facilités. Je n'ai pas vraiment cru à la romance entre les deux personnages principaux mais bon. J'ai surtout appris énormément de chose sur l'histoire du Chili, le socialisme d'Allende, la dictature de Pinochet, l'après Pinochet, les minorités Mapuche, etc. C'est ce qui fait toute la richesse de l'histoire. C'est extrêmement bien documenté. Un livre qui ne peut pas laisser indifférent. Je relirais volontiers un livre de cet auteur du coup !
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Re: Caryl FEREY (France)
Mapuche
Note : 4.5/5
Lé résumé a déjà été fait ci-dessus
Critique : j'ai beaucoup aimé cette lecture. C'est violent, percutant, il faut avoir l'estomac accroché pour lire ce livre. J'ai appris plein de choses sur l'Argentine, la minorité Mapuche (qui pourrait presque être plus développée dans le roman), la dictature militaire et les disparus, les vols de la mort, les bébés volés, les mères et grands-mères de la place de mai. On rentre dès les premières pages dans l'histoire et les pages défilent toutes seules, bien qu'il y ait quelques ficelles un peu facile dans l'enquête. Malgré la foule de personnages, on n'est pas perdus. Par contre, je me suis fait la même remarque que pour Condor, mais je n'arrivais pas à croire à la romance entre les deux personnages. Bref, j'ai vraiment apprécié ce roman coup de poing qui va me marquer.
Note : 4.5/5
Lé résumé a déjà été fait ci-dessus
Critique : j'ai beaucoup aimé cette lecture. C'est violent, percutant, il faut avoir l'estomac accroché pour lire ce livre. J'ai appris plein de choses sur l'Argentine, la minorité Mapuche (qui pourrait presque être plus développée dans le roman), la dictature militaire et les disparus, les vols de la mort, les bébés volés, les mères et grands-mères de la place de mai. On rentre dès les premières pages dans l'histoire et les pages défilent toutes seules, bien qu'il y ait quelques ficelles un peu facile dans l'enquête. Malgré la foule de personnages, on n'est pas perdus. Par contre, je me suis fait la même remarque que pour Condor, mais je n'arrivais pas à croire à la romance entre les deux personnages. Bref, j'ai vraiment apprécié ce roman coup de poing qui va me marquer.
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