Guy DES CARS (France)

L’INSOLENCE DE SA BEAUTE

Guy des Cars

Un Guy des Cars habituel mais pour les vacances c’est facile et agréable à lire

4^ème de couverture

Uête belle, plaire, voir dans les yeux des hommes briller des lueurs de désir, dans ceux des femmes une lueur d’envie, se donner tout entière à l’amour : tel es le rêve de Sylvie.

Mais elle est laide, intelligente et énergique, elle gagne largement sa vie dans un magasin de prêt-à-porter mais elle n’a connu de l’amour que des étreintes sordides jusqu’au jour où elle découvre le plaisir dans les bras de Patrice un brillant promoteur.

Alors, pour se faire aimer de l’homme qu’elle aime, elle sacrifiant toutes ses économies décide d’entreprendre le plus surprenant de voyages : celui de la beauté par la chirurgie esthétique.

Ce ne peut être qu’une réussite que si les efforts des chirurgiens sont stimulés par la force morale de la patiente. Heureusement la volonté de Sylvie est implacable.



Bien je vais mettre un 3/5

Mais pour se détendre sans se poser de question, sur la plage ou au soleil dans son jardin.

Je ne connais pas cet auteur mais il y a un mystère que j'aimerais bien percer, peut-être peux-tu m'aider Garanemsa. Pourquoi je trouve toujours des dizaines de livre de Guy des Cars dans les brocantes??? Est-ce que ses livres sont mauvais (je vois que tu n'as pas mis des notes très hautes) ou au contraire est-ce parce qu'il a écrit de très bons livres, que beaucoup de monde a acheté et qui, inévitablement, finissent par se retrouver dans les brocantes...

Je n'en ai jamais acheté car j'ai été septique en voyant qu'il y en avait autant?!?

Si tu as une réponse à me proposer... merci

Hello Nathalire, Je pense que Garanemsa va te répondre, mais pour avoir lu un ou deux ouvrages de cet auteur dans mon adolescence, à l'époque où il sévissait en littérature, si je puis dire (littérature me semble un mot trop précieux pour les ouvrages qu'il écrivait), je te copie cette phrase amusante qu'on trouve à son propos dans Wikipédia, et qui résume bien ce qu'il en est :
"Rattachant ses œuvres à la catégorie du « roman de gare », ouvrage distrayant et superficiel, certains critiques littéraires l'avaient surnommé « Guy des Gares »."
Et je rajoute : très très superficiel.

ma foi Guy des Cars, j'ai mis une tite note oui mais :
il a été un auteur que j'aimais beaucoup, j'avais toute sa collection (manque de place, j'ai dû diminuer aussi)
il a écrit énormément et j'ai toujours pris plaisir à le lire
même des livres historiques sur les reines
je ne me souviens plus de toutes sa bibliographie, j'aime vraiment bien, mais celui-là je ne le connaissais pas et bof
sinon, tu peux franchement en prendre sur les marchés aux puces, c'est toujours un suspense, un rebondissement avec une histoire proche des gens, je crois que cela plait
sang d'afrique en deux volumes m'avait plu si je me souviens bien
voilà ce que l'on trouve sur wikipédia : j'espère que tu passeras de bons moments à lire :

Guy des Cars a fait ses études chez les Jésuites, où il entre à l'âge de 7 ans ; il n'en ressort qu'à 16. Entre-temps, il est renvoyé six fois. Ses maîtres disent de lui « Brillant esprit, mauvais élève »^[1]. À 19 ans, il part pour le Chili pour mettre fin à une aventure galante et, lors de son retour en France, il écrit une comédie de boulevard, la Croisière pour dames seules^[2]. Il embrasse alors la carrière de journaliste. A 28 ans, il est rédacteur en chef du Jour.
Lieutenant d'infanterie, il reçoit la croix de guerre pour sa conduite au front. Après la défaite de 1940, il se retire dans le Midi, où il écrit son premier roman L’Officier sans nom, un livre de guerre. Il a écrit de nombreux romans qui ont eu un grand succès, dont L’Impure, La Brute, La Dame du cirque, Le Château du clown, Les Filles de joie, Le Faussaire, L’Envoûteuse, La Justicière, L’Entremetteuse, La Maudite.
En 1962, il fut élu directeur de l'Académie du Maine. En 1974, il publia un récit en forme de confession autobiographique, à diffusion nettement plus confidentielle sans doute, mais non dénué d'intérêt documentaire, sous le titre : J'ose.
Guy des Cars fut également un grand amoureux des arts du cirque.
Rattachant ses œuvres à la catégorie du « roman de gare », ouvrage distrayant et superficiel, certains critiques littéraires l'avaient surnommé « Guy des Gares ».

Bibliographie [modifier]

1946 : L'Impure 1948 : La Demoiselle d'opéra 1951 : La Brute 1952 : La Corruptrice 1953 : L'amour s'en va en guerre 1954 : La Maudite 1955 : L'Officier sans nom 1956 : Amour de ma vie 1956 : La Cathédrale de haine 1957 : La Tricheuse 1958 : Le Château de la juive 1959 : Les Filles de joie 1960 : Cette Étrange Tendresse 1961 : Le Grand Monde 1962 : La Dame du cirque 1963 : Sang d'Afrique 1964 : Les Sept Femmes 1965 : De cape et de plume 1966 : L'Habitude d'amour 1967 : Un faussaire 1968 : La Révoltée 1969 : La Vipère

1970 : L'Entremetteuse 1971 : Une certaine dame 1972 : L'Insolence de sa beauté 1973 : La Vie secrète de Dorothée Gindt 1973 : Le Donneur 1974 : J'ose, récit autobiographique 1974 : Le Mage et la Boule de cristal 1975 : L'Envouteuse 1976 : Le Mage et les Lignes de la main 1977 : Le Château du clown 1977 : Le Mage et la Bonne aventure 1978 : Le Mage et la Graphologie 1979 : La Femme qui en savait trop 1979 : Les Reines de cœur de Roumanie 1981 : La Femme sans frontière 1982 : La Vengeresse 1983 : Le Crime de Mathilde 1984 : Le Faiseur de morts 1984 : La Voleuse 1985 : Je t'aimerai éternellement 1990 : La Femme d'argent

Autres livres parus aux mêmes éditions mais dont la date est inconnue :

• La coupable
  
• La femme objet
  
• La justicière
  
• La mère porteuse
  
• La visiteuse
  
• Le boulevard des illusions
  
• Le mage et le pendule : ce livre fait partie d'une suite. Il est precédé par Le mage et la boule de cristal, écrit en 1974 et suivi du Mage et les lignes de la main, écrit en 1976. On peut supposer que Le mage et le pendule a été écrit en 1975
  
• Le train du Père Noël
  
• L'homme au double visage
  

Adaptations de certaines de ses œuvres [modifier]

• 1987 : La Brute de Claude Guillemot.
  
• 1991 : L'Impure (téléfilm) de Paul Vecchiali.
  
• 1994 : La Corruptrice (téléfilm) de Bernard Stora.
  

J'ai aussi lu un ou deux de ces romans à l''adolescence. Vraiment Guy des Cars... c'est du gnagna à l'extrême. Il écrit encore ?

c'est marrant Guy des gares!

Bon merci Zeta et Garanemsa, ça m'aiclaire sur le genre littéraire de ce monsieur. Je devrait peut-être en prendre un un jours pour voir...

J'en ai lu beaucoup dans les années 60 ,j'aimais bien à l'époque mais maintenant ça ne me dit plus rien ,c'est bizarre comme les goûts changent

Lalyre

roman de gare...
un peu au dessus de la collection harlequin quand même non ?
je ne pense pas en avoir lu ...mais ma grand mère aimait bien
moi j'ai lu DELLY quand j'avais 15 ans ...

LA VIPERE

Guy des Cars



Pendant longtemps j’ai été fan de des Cars et achetait au fur et à mesure des sorties

Celui-ci, je ne m’en souvenais pas.

Je l’ai lu d’un bout à l’autre car il m’intéressait.

Un détail, une minutie dans les explications font que vous vous attachez à ce livre

On y découvre Macao et Hong Kong, au moment de la révolution culturelle de Mao en Chine.

Le livre commence par l’arrivée d’un agent secret français à Macao, déguisé en vieux mandarin handicapé, que la Chine rejetait avec tous les déchets, soi-disant inutilisables pour la révolution. C’est le parcours de cet agent secret, d’autres anglais, etc….. et fatalement un super histoire.

Jusqu’au bout il sait tenir son lecteur pour toujours dans chacun de ses romans finir en apothéose.



4/5

Je déterre cette discussion, mais je suis content d'appris pourquoi cet auteur se retrouve partout où il y a des livres d'occasion à vendre
Guy des Gares m'a bien fait rire !

L’HABITUDE D’AMOUR

Guy des Cars



J’ai pratiquement lu l’entièreté de l’œuvre de Guy des Cars, mais franchement j’ai été terriblement déçue par celui-ci.



Quatrième de couverture :

L’histoire d’Alain, le géant blond et de Khadija la musulmane qui se sont rencontrés au hasard d’une rue et tentent de vivre en commun un grand amour.

Chaque année, ils accomplissent un étrange pélérinage au lieu même où ils sont devenus amants.

Là, Khadija, éternelle rêveuse sortie des Mille et une nuits, invente mille et un conte pour séduire et retenir son amant.

Mais lui, européen matérialiste et blasé, s’éloigne peu à peu d’elle.

Dans ce long chant d’amour, dans ce heurt des deux héros, c’est tout l’Orient, idéalisé par une amoureuse qui se dresse face à l’Occident.



Eh bien moi j’ai rien vu de tel.

Juste une longue suite de mots d’amour, d’essais pour récupérer l’autre.

Mais mortel ennui de lecture.



Un petit 2/5

c'est vrai que c'est facile à lire, mais dans la masse de livres qu'il a écrits, il s'en trouve tout de même quelques uns qui sont vraiment très bien et qui tient en haleine. mais là ceux qui viennent de me passer par les mains, pas terrible. avant il est vrai j'aimais assez, mais j'avais beaucoup moins de temps pour lire, c'est peut-être cela
bisous