Olivier BENYAHYA (France)
3 participants
Page 1 sur 1
Olivier BENYAHYA (France)
Zimmer (2010)
70 pages
Résumé (Dialogues) : "Zimmer" est un monologue signé Olivier Benyahya, un écrivain de 36 ans
qui avait déjà autopublié ce texte en 2007 aux Editions Tsadik sous le
pseudonyme de Louis Bloch. Il s'agit d'une rumination cinglée, hantée
par la folie, la paranoïa et le meurtre, d'un survivant d'Auschwitz qui a
laissé là-bas sa raison et toute illusion sur l'humanité.
mon avis : Je suis ravie d'avoir fini ce livre. Les 70 pages étaient soporifiques, sans intérêt. Et je me demandais vraiment ou l'auteur voulait en venir. J'ai du passer à côté, car en lisant ensuite de nombreuses critiques sur le net, je tombais souvent sur le terme "chef d'œuvre" pour en parler. Mais tout ce que j'ai vu c'est du vide.
note : 0/5
70 pages
Résumé (Dialogues) : "Zimmer" est un monologue signé Olivier Benyahya, un écrivain de 36 ans
qui avait déjà autopublié ce texte en 2007 aux Editions Tsadik sous le
pseudonyme de Louis Bloch. Il s'agit d'une rumination cinglée, hantée
par la folie, la paranoïa et le meurtre, d'un survivant d'Auschwitz qui a
laissé là-bas sa raison et toute illusion sur l'humanité.
mon avis : Je suis ravie d'avoir fini ce livre. Les 70 pages étaient soporifiques, sans intérêt. Et je me demandais vraiment ou l'auteur voulait en venir. J'ai du passer à côté, car en lisant ensuite de nombreuses critiques sur le net, je tombais souvent sur le terme "chef d'œuvre" pour en parler. Mais tout ce que j'ai vu c'est du vide.
note : 0/5
_________________
livres lus PAL : 10/47
DM29- Nombre de messages : 675
Age : 36
Location : Breizh
Date d'inscription : 21/06/2009
Re: Olivier BENYAHYA (France)
Merci DM29, nous éviterons donc, sagement, ce "chef d'oeuvre".
B
B
Bernard- Nombre de messages : 3697
Age : 79
Location : 94160 Saint-Mandé
Date d'inscription : 28/10/2009
Re: Olivier BENYAHYA (France)
Si le froid est rude
quatrième de couverture:
Tandis qu’il accompagne son père au bout du bout, Joseph, le narrateur, arpente les ruines d’une rupture amoureuse, tiraillé entre la banalité du tragique et le brouillage de ses hiérarchies. Si le froid est rude, pourtant, n’est pas un roman endeuillé. Joseph a beau y enterrer un père et une histoire d’amour, ce qui porte et l’emporte ici, c’est la lumière, l’énergie, les rythmes et les contrastes. Autour de Joseph et de son ex-petite amie, les êtres – proches, famille, passants – habitent la vie avec une drôlerie désenchantée. Et sur la distance d’un sprint, le lecteur partage avec ces personnages une authentique expérience des montagnes russes existentielles.
Il y a dans l’écriture précise et vivante d’Olivier Benyahya un mélange tendu et bouleversant d’effi - cacité et d’éthique, qui trouve le parfait équilibre entre le comique du désespoir et le cinglant du chagrin. Et qui touche, avec l’instantanéité et la persistance d’une chanson pop.
Contrairement à DM29 qui a détesté Zimmer, j'ai adoré ce petit ouvrage.
Il se dévore et est à mon sens très juste dans le ton et dans le récit de tout ce qui peut traverser l'esprit dans les moments les plus difficiles.
Bref, peut-être que Zimmer était mortellement ennuyeux, mais ce "si le froid est rude" est un petit bijou.
En sus, c'est court, donc vite lu, et très bien écrit.
Bref, tenterai autre chose de Benyahya, pas Zimnmer après ce que j'en ai lu, mais il y en aura d'autres, non? Il est jeune Benyahya!
5/5
- Poche: 83 pages
- Editeur : Actes Sud Editions (7 mai 2014)
- Collection : Domaine français
- Langue : Français
- ISBN-10: 2330031890
- ISBN-13: 978-2330031893
quatrième de couverture:
Tandis qu’il accompagne son père au bout du bout, Joseph, le narrateur, arpente les ruines d’une rupture amoureuse, tiraillé entre la banalité du tragique et le brouillage de ses hiérarchies. Si le froid est rude, pourtant, n’est pas un roman endeuillé. Joseph a beau y enterrer un père et une histoire d’amour, ce qui porte et l’emporte ici, c’est la lumière, l’énergie, les rythmes et les contrastes. Autour de Joseph et de son ex-petite amie, les êtres – proches, famille, passants – habitent la vie avec une drôlerie désenchantée. Et sur la distance d’un sprint, le lecteur partage avec ces personnages une authentique expérience des montagnes russes existentielles.
Il y a dans l’écriture précise et vivante d’Olivier Benyahya un mélange tendu et bouleversant d’effi - cacité et d’éthique, qui trouve le parfait équilibre entre le comique du désespoir et le cinglant du chagrin. Et qui touche, avec l’instantanéité et la persistance d’une chanson pop.
Contrairement à DM29 qui a détesté Zimmer, j'ai adoré ce petit ouvrage.
Il se dévore et est à mon sens très juste dans le ton et dans le récit de tout ce qui peut traverser l'esprit dans les moments les plus difficiles.
Bref, peut-être que Zimmer était mortellement ennuyeux, mais ce "si le froid est rude" est un petit bijou.
En sus, c'est court, donc vite lu, et très bien écrit.
Bref, tenterai autre chose de Benyahya, pas Zimnmer après ce que j'en ai lu, mais il y en aura d'autres, non? Il est jeune Benyahya!
5/5
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|