Martine DELVAUX (Québec/Canada)

Romancière, poète, essayiste et professeur d'Université née en 1968.

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Blanc dehors

 
La narratrice ne connaît pas son père. Née en 1968, le père est parti et la mère n’a pas voulu mettre son nom sur la déclaration de naissance. Ceci crée un vide que la narratrice tente de remplir par ce livre, comme les jeux pour enfants dans lesquels on sépare des zones de dessins en reliant des points numérotés.
 
L’auteure exprime bien la douleur et la peine d’une fille à laquelle il manque un parent. Le récit m’est toutefois apparu comme l’histoire : un non-récit, car, une fois le récit de la situation difficile de sa mère en 1968, chassée de la maison familiale, il ne se passe plus grand chose. La narratrice ne sait pas si elle veut vraiment mener ses recherches à terme ou demeurer dans l’incertitude. C’est plutôt un non-récit sur un une absence de père. Je n’ai pas tellement aimé.
 
3/5

Réaliste-romantique