Caleb CARR (Etats-Unis)
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Re: Caleb CARR (Etats-Unis)
L' aliéniste de Caleb Carr
Pocket, Policier / 574 pages
New York 1896... Un meurtrier auprès duquel jack l'Éventreur fait piètre figure sème aux quatre coins du Lower East Side les cadavres d'adolescents atrocement mutilés sans provoquer la moindre réaction des pouvoirs publics... Révolté par tant d'indifférence, Theodore Roosevelt, alors préfet, fait appel à ses amis John Schuyler Moore, chroniqueur criminel, et Laszlo Kreizler, aliéniste spécialiste des maladies mentales -, pour élucider cette énigme terrifiante. Leurs procédés sont révolutionnaires ! En étudiant les crimes, ils pensent pouvoir brosser le portrait psychologique de l'assassin, l'identifier et l'arrêter. Ils ont peu de temps : le meurtrier continue à frapper. Les obstacles se multiplient mais rien ne pourra les arrêter...
Une bonne chose de faite si l' on considère le nombre d'année durant lesquelles ce livre a séjourné sur mes étagères sans être ouvert. Peut-être y avais placé trop d'attente mais j'ai été quelque peu déçu, j' ai trouvé l' histoire cousu de fil blanc, la narration très laborieuse. Ce n'est pas le rythme plutôt lent qui m' a gênée mais plus la façon qu' il a de raconter son histoire, j' ai eu le même sentiment en lisant un autre de ses ouvrages "Le Diable blanc". Caleb Carr me laisse en dehors de ses récits, il se disperse, tous les ressorts qu' il prend pourtant du temps à mettre en place ne sont pas utilisés à leur plein potentiel. Ce n'est pas une mauvaise lecture simplement un peu brouillonne, enfin c'est un avis qui n' engage que moi.
Dans la même veine, sur la création de la police New Yorkaise, la fameuse NYPD : Le Dieu de New York de Lyndsay Faye
Pocket, Policier / 574 pages
New York 1896... Un meurtrier auprès duquel jack l'Éventreur fait piètre figure sème aux quatre coins du Lower East Side les cadavres d'adolescents atrocement mutilés sans provoquer la moindre réaction des pouvoirs publics... Révolté par tant d'indifférence, Theodore Roosevelt, alors préfet, fait appel à ses amis John Schuyler Moore, chroniqueur criminel, et Laszlo Kreizler, aliéniste spécialiste des maladies mentales -, pour élucider cette énigme terrifiante. Leurs procédés sont révolutionnaires ! En étudiant les crimes, ils pensent pouvoir brosser le portrait psychologique de l'assassin, l'identifier et l'arrêter. Ils ont peu de temps : le meurtrier continue à frapper. Les obstacles se multiplient mais rien ne pourra les arrêter...
Une bonne chose de faite si l' on considère le nombre d'année durant lesquelles ce livre a séjourné sur mes étagères sans être ouvert. Peut-être y avais placé trop d'attente mais j'ai été quelque peu déçu, j' ai trouvé l' histoire cousu de fil blanc, la narration très laborieuse. Ce n'est pas le rythme plutôt lent qui m' a gênée mais plus la façon qu' il a de raconter son histoire, j' ai eu le même sentiment en lisant un autre de ses ouvrages "Le Diable blanc". Caleb Carr me laisse en dehors de ses récits, il se disperse, tous les ressorts qu' il prend pourtant du temps à mettre en place ne sont pas utilisés à leur plein potentiel. Ce n'est pas une mauvaise lecture simplement un peu brouillonne, enfin c'est un avis qui n' engage que moi.
3,75/5
Dans la même veine, sur la création de la police New Yorkaise, la fameuse NYPD : Le Dieu de New York de Lyndsay Faye
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Lectures en cours : Indépendance de Richard Ford ([i]Frank Bascombe T2) $
Dernières lectures : L' Intérêt de l' enfant de Ian McEWAN (4/5), Un week-end dans le Michigan de Richard Ford (4,5/5)(Frank Bascombe T1), [/i]L' Homme du verger d' Amanda COPLIN (4/5), La Pyramide de glace J-F Parot (3,75/5)(T12)
Re: Caleb CARR (Etats-Unis)
Ah! alors merci Lacazavent pour ton commentaire! Celui-là, je le zyeute depuis un bon bout de temps sans jamais me décider à l'acheter; je le feuillette, mais à chaque fois quelque chose d'indéfinissable me retient de le prendre. Je voulais malgré tout le tenter pour le thème, mais finalement, je laisse tomber!
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géromino- Nombre de messages : 5613
Age : 59
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Date d'inscription : 07/11/2008
Re: Caleb CARR (Etats-Unis)
L'ALIENISTE
Presses de la cité 489 pages
Ma note : 4/5
Le résumé a déjà été fait plusieurs fois.
Mon avis : Ce policier m'a beaucoup plu. Un groupe d'enquêteurs recherche l'assassin en essayant d'établir un profil psychologique. C'est tout nouveau pour la période à laquelle se déroule le roman, et pas très bien perçu par les autorités. Le reste n'a rien d'exceptionnel et la fin est un peu longue, mais ça se lit assez bien.
Presses de la cité 489 pages
Ma note : 4/5
Le résumé a déjà été fait plusieurs fois.
Mon avis : Ce policier m'a beaucoup plu. Un groupe d'enquêteurs recherche l'assassin en essayant d'établir un profil psychologique. C'est tout nouveau pour la période à laquelle se déroule le roman, et pas très bien perçu par les autorités. Le reste n'a rien d'exceptionnel et la fin est un peu longue, mais ça se lit assez bien.
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Lecture en cours : La guerre de la faille I : Magicien - L'apprenti de Raymond E. Feist
PAL : 571
Livres lus depuis le début de l'année : 17 (7478 pages)
Re: Caleb CARR (Etats-Unis)
Tiens, ça me fait penser que je n'ai pas encore terminé ce livre.... Je dois en être au 3/4, j'avais trouvé l'écriture un peu simpliste et l'histoire cousue de fil blanc comme le dit Lacazavent... je m'ennuyais un peu, pas déplaisant mais bof... il faudrait que je le termine tout de même !
petitemartine- Admin
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Re: Caleb CARR (Etats-Unis)
L'ANGE DES TÉNÈBRES
Pocket 725 pages
Ma note : 3,5/5
Quatrième de couverture : New York, juin 1897. L'épouse éplorée d'un diplomate espagnol engage la détective Miss Sara Howard pour lui venir en aide : sa petite fille a disparu...
Immédiatement, l'équipe de Lazlo Kreizler se reconstitue autour de Sara, et de déductions en analyses, le profil psychologique du kidnappeur apparaît peu à peu sur leur grand tableau noir.
Se dresse progressivement le portrait d'un être dont les mobiles ne sont pas politiques, d'une personnalité en proie à une étrange perversion, d'un tueur d'enfants ayant toutes les apparences de la normalité.
Mon avis : J'ai lu l'aliéniste il y a longtemps, mais je n'en ai pas beaucoup de souvenirs, à part que j'avais apprécié. Je me suis donc de nouveau plongée dans cette ambiance de New York de la fin du XIXème siècle.
Les enquêtes dans cette ambiance, j'adore. On y voit toutes le fondations des méthodes modernes d'enquêtes, une réflexion basée sur la silence, une prise de conscience de tout un monde de découvertes qui s'ouvre à l'humanité. C'est aussi une époque de travaux sur la psychologie. En effet, c'est bien ce qu'il se passe ici, on cherche à établir le profil psychologique du kidnappeur pour mieux le comprendre et le stopper plus vite. C'est une période riche et qui donne toujours de bonnes histoires pour moi.
C'est encore le cas ici. Un enlèvement, des suppositions, des remises en question, des certitudes qui s'effondrent et une réalité qui ne cesse de nous surprendre au fur et à mesure que les pages se tournent.
Malgré tout, ce fut long. Certains passages n'en finissent pas. Selon moi, il y a au moins 200 pages de trop, même si j'ai globalement aimé.
Pocket 725 pages
Ma note : 3,5/5
Quatrième de couverture : New York, juin 1897. L'épouse éplorée d'un diplomate espagnol engage la détective Miss Sara Howard pour lui venir en aide : sa petite fille a disparu...
Immédiatement, l'équipe de Lazlo Kreizler se reconstitue autour de Sara, et de déductions en analyses, le profil psychologique du kidnappeur apparaît peu à peu sur leur grand tableau noir.
Se dresse progressivement le portrait d'un être dont les mobiles ne sont pas politiques, d'une personnalité en proie à une étrange perversion, d'un tueur d'enfants ayant toutes les apparences de la normalité.
Mon avis : J'ai lu l'aliéniste il y a longtemps, mais je n'en ai pas beaucoup de souvenirs, à part que j'avais apprécié. Je me suis donc de nouveau plongée dans cette ambiance de New York de la fin du XIXème siècle.
Les enquêtes dans cette ambiance, j'adore. On y voit toutes le fondations des méthodes modernes d'enquêtes, une réflexion basée sur la silence, une prise de conscience de tout un monde de découvertes qui s'ouvre à l'humanité. C'est aussi une époque de travaux sur la psychologie. En effet, c'est bien ce qu'il se passe ici, on cherche à établir le profil psychologique du kidnappeur pour mieux le comprendre et le stopper plus vite. C'est une période riche et qui donne toujours de bonnes histoires pour moi.
C'est encore le cas ici. Un enlèvement, des suppositions, des remises en question, des certitudes qui s'effondrent et une réalité qui ne cesse de nous surprendre au fur et à mesure que les pages se tournent.
Malgré tout, ce fut long. Certains passages n'en finissent pas. Selon moi, il y a au moins 200 pages de trop, même si j'ai globalement aimé.
Dernière édition par Patience le Sam 9 Oct 2021 - 16:57, édité 1 fois
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Re: Caleb CARR (Etats-Unis)
Patience , tu ne te serais pas trompée de titre ? L’aliéniste ? Tu l’as lu en 2015 ... et ce n’est pas cette histoire là
petitemartine- Admin
- Nombre de messages : 4747
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Date d'inscription : 04/01/2009
Re: Caleb CARR (Etats-Unis)
En effet PetiteMartine, c'est une erreur d'inattention. C'est corrigé, merci
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