Andrew RIDKER (États-Unis)
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Réaliste-romantique- Nombre de messages : 3274
Age : 48
Location : Outaouais, Québec
Date d'inscription : 30/12/2008
Re: Andrew RIDKER (États-Unis)
Les altruistes
Chronique d’une famille américaine de la bourgeoisie supérieure. Ils ont de l’argent, donc veulent faire le « bien » autour mais l’enfer est pavé de bonnes intentions. Ethan et Maggie, maintenant adultes, ont quitté St-Louis dans le Midwest pour la vie trépidante de New York. Cette ville est toutefois très chère et ne permet pas à tous de s’épanouir. On remonte aussi le passé, la jeunesse de Francine, leur mère, et comment elle a rencontré Arthur. Comment ce dernier, ingénieur ambitieux, a amené sa famille de Boston à St-Louis, quittant une firme pour enseigner les cours délaissés d’une université, jamais titularisé, luttant pour payer les traites de sa maison trop luxueuse.
Chronique qui éreinte cette famille. Aucun personnage n’est épargné, et seule la mère s’est méritée un peu de ma sympathie. On voyage entre la côte est et le Midwest. Entre la jeunesse et la période adulte des enfants qui ne trouvent pas leur place. Entre les parents qui ont des idéaux mais peinent à gérer le quotidien. On touche aussi un projet « humanitaire » pensé par des occidentaux qui nuit plus qu’il aide. Une bonne lecture acide.
4/5
RR
Chronique d’une famille américaine de la bourgeoisie supérieure. Ils ont de l’argent, donc veulent faire le « bien » autour mais l’enfer est pavé de bonnes intentions. Ethan et Maggie, maintenant adultes, ont quitté St-Louis dans le Midwest pour la vie trépidante de New York. Cette ville est toutefois très chère et ne permet pas à tous de s’épanouir. On remonte aussi le passé, la jeunesse de Francine, leur mère, et comment elle a rencontré Arthur. Comment ce dernier, ingénieur ambitieux, a amené sa famille de Boston à St-Louis, quittant une firme pour enseigner les cours délaissés d’une université, jamais titularisé, luttant pour payer les traites de sa maison trop luxueuse.
Chronique qui éreinte cette famille. Aucun personnage n’est épargné, et seule la mère s’est méritée un peu de ma sympathie. On voyage entre la côte est et le Midwest. Entre la jeunesse et la période adulte des enfants qui ne trouvent pas leur place. Entre les parents qui ont des idéaux mais peinent à gérer le quotidien. On touche aussi un projet « humanitaire » pensé par des occidentaux qui nuit plus qu’il aide. Une bonne lecture acide.
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