Strömberg Sara (Suède)

Stromberg Sara  
Mauvaise graine            
   Editions Harper Collins 13 mars 2024     
445 pages

Quatrième de couverture              
Dans la célèbre station de ski d’Åre, même si les touristes continuent de se montrer dans les restaurants de luxe, les locaux commencent à se préparer pour la période de chasse et l’obscurité des longs mois d’hiver...
Ancienne journaliste reconvertie en prof, tout juste larguée par son mari de longue date, Vera Bergström vit dans un trou à rats au-dessus de la vieille gare routière, aujourd’hui laissée à l’abandon. Elle lutte contre les saignements constants dus à la ménopause et contre le mirage d’une vie qui n'a jamais existé.
Lorsqu'une femme est retrouvée assassinée dans les bois à l'arrière d'Åreskutan, elle se laisse convaincre par son ancien patron de rédiger un article. Mais, en cours de route, elle devient de plus en plus obsédée par l'idée de découvrir qui était la victime, qui l'a assassinée, et pourquoi. Il ne faut pas longtemps avant que Vera elle-même ne soit en danger.
Mon avis
Une station de ski en Suède ou la période chasse hivernale se prépare. Véra Bergström passe une période éprouvante, elle vient de perdre son emploi de rédactrice en chef d’un journal local, elle a trouvé un emploi d’enseignante, mais son ancien patron lui demande d’ouvrir une enquête sur la mort d’une femme lacérée au couteau, retrouvée dans la forêt qui se situe près d’un petit village tranquille. Il faut dire avec raison, que les villageois ne sont pas seulement intrigués, ils ont peur pour leurs femmes et leurs enfants. Pendant l’évolution de l’enquête, L’autrice nous raconte l’histoire de Maria, une petite fille de 12 ans, de qui la mère a développé un comportement bizarre et imprévisible
allant jusqu’à l’inquiétude après la mort accidentelle de son mari. Alors suspense, comment ces 2 récits vont-ils se rejoindre après de nombreuses surprises et maints évènements ? Ce livre de 445 pages ne m’a pas trop emballée, ce qui ne veut pas dire qu’il n’est pas bien….

Bon, on passe... Il y a tellement à lire