Pierre PERRET (France)
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Pierre PERRET (France)
De : Mousseliine (Message d'origine) Envoyé : 24/09/2005 16:19
Une critique que j'ai reçue par courriel :
Le café du pont
C'est une autobiographie qui raconte la vie de l'enfant Pierre Perret ainsi
que de ses proches de 1934 jusqu'au début des années 50. Le récit n'est pas
toujours chronologique, il est parfois régit par l'irruption des souvenirs.
Les années d'occupation s'y font la part belle ainsi que les vacances
scolaires, comme si les souvenirs importants étaient ceux de la semaine des
quatre jeudis. Il s'achève sur ses débuts en tant qu'artiste.
Il y a dans ce livre une vraie fraîcheur, les mots d'adulte et le regard
d'enfant y font bon ménage et on voit que Monsieur Pierrot a bien grandi
sans se perdre dans l'artifice. J'ai eu le bonheur de voir surgir mes
propres souvenirs de colos, ceux de l'avant salle de bain, quelques
expressions qu' utilisait ma grand-mère, bref le sentiment de venir du même
monde avec un léger décalage horaire puisque la guerre n'a existé pour moi
que dans ce qu'on m'a raconté (des histoires cocasses en faisant l'impasse
sur les atrocités). De "j'irai pas chez ma tante" en passant par "les jolies
colonies de vacances" et "Lily", je suis contente d'avoir chanté les
louanges de Pierrot à mes enfants (ma fille de 9 ans chantent fièrement ses
classiques!), dans ce livre l'homme ne m'a pas déçue. J'ai été moins
conquise par les chapitres sur ses débuts artistiques, je préfère et de loin
les potins de comptoirs.
4.25/5
Nateva
Une critique que j'ai reçue par courriel :
Le café du pont
C'est une autobiographie qui raconte la vie de l'enfant Pierre Perret ainsi
que de ses proches de 1934 jusqu'au début des années 50. Le récit n'est pas
toujours chronologique, il est parfois régit par l'irruption des souvenirs.
Les années d'occupation s'y font la part belle ainsi que les vacances
scolaires, comme si les souvenirs importants étaient ceux de la semaine des
quatre jeudis. Il s'achève sur ses débuts en tant qu'artiste.
Il y a dans ce livre une vraie fraîcheur, les mots d'adulte et le regard
d'enfant y font bon ménage et on voit que Monsieur Pierrot a bien grandi
sans se perdre dans l'artifice. J'ai eu le bonheur de voir surgir mes
propres souvenirs de colos, ceux de l'avant salle de bain, quelques
expressions qu' utilisait ma grand-mère, bref le sentiment de venir du même
monde avec un léger décalage horaire puisque la guerre n'a existé pour moi
que dans ce qu'on m'a raconté (des histoires cocasses en faisant l'impasse
sur les atrocités). De "j'irai pas chez ma tante" en passant par "les jolies
colonies de vacances" et "Lily", je suis contente d'avoir chanté les
louanges de Pierrot à mes enfants (ma fille de 9 ans chantent fièrement ses
classiques!), dans ce livre l'homme ne m'a pas déçue. J'ai été moins
conquise par les chapitres sur ses débuts artistiques, je préfère et de loin
les potins de comptoirs.
4.25/5
Nateva
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