Stephen KING (Etats-Unis)
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Dome * et ** de Stephen King
Résumé déja fait dans ce topic donc je passe
Mon avis : J'ai lu ce livre un peu en discontinu par manque de temps je dirai aussi et un peu par lassitude peut être. L'idée de départ est super et le premier tome se lit très rapidement. On découvre la vie de cette petite communauté des plus basiques qui se retrouve face à un évènement imprévisible. On entre alors dans un huis clos où la face des personnages se dévoilent peu à peu. La mise en place de ce huis clos et les luttes de pouvoir est parfaitement illustré par l'évolution de la communauté et des différents personnages.
J'ai par contre plusieurs critiques sur de nombreuses redondances, cette manie de donner des détails sanglants et glauques qui n'apporte que très peu de choses à l'histoire finalement et surtout cette fin que j'ai trouvé complètement baclée à titre personnel et qui m' a réellement déçu. Pour faire simple sans dévoiler la fin à ceux qui ne l'ont pas lu, il me manque une sorte d'épilogue je dirai.
Voila voila cela reste tout de même une belle découverte, je suis pressé de voir la suite de l'adaption TV en série qui a complétement modifié l'histoire et le rôle des personnages en ne gardant que l'idée de départ je dirai.
Ma note: 4/5
Résumé déja fait dans ce topic donc je passe
Mon avis : J'ai lu ce livre un peu en discontinu par manque de temps je dirai aussi et un peu par lassitude peut être. L'idée de départ est super et le premier tome se lit très rapidement. On découvre la vie de cette petite communauté des plus basiques qui se retrouve face à un évènement imprévisible. On entre alors dans un huis clos où la face des personnages se dévoilent peu à peu. La mise en place de ce huis clos et les luttes de pouvoir est parfaitement illustré par l'évolution de la communauté et des différents personnages.
J'ai par contre plusieurs critiques sur de nombreuses redondances, cette manie de donner des détails sanglants et glauques qui n'apporte que très peu de choses à l'histoire finalement et surtout cette fin que j'ai trouvé complètement baclée à titre personnel et qui m' a réellement déçu. Pour faire simple sans dévoiler la fin à ceux qui ne l'ont pas lu, il me manque une sorte d'épilogue je dirai.
Voila voila cela reste tout de même une belle découverte, je suis pressé de voir la suite de l'adaption TV en série qui a complétement modifié l'histoire et le rôle des personnages en ne gardant que l'idée de départ je dirai.
Ma note: 4/5
matw25- Nombre de messages : 865
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Date d'inscription : 10/01/2011
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
DOME TOME 2
Mon avis: 4/5
J'ai été moins emballée par ce second tome, sans doute passé la surprise de la découverte de l'histoire et du contexte, l'action devient plus lente, on tourne parfois un peu en rond.
C'est délicat de détaillé mon ressentie sans trop en révéler...
Comment réagirait on en cas d'enfermement? Je me suis posée cette question tout au long de la lecture, j'espère ne jamais avoir à répondre à cette question...
En refermant ce livre je me suis dis que l'on était bien peu de chose sur Terre et qu'il fallait profiter de chaque instant...
_________________
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Cellulaire
2006
Le premier octobre 2005, à 15h03, les téléphones cellulaires se mettent à émettre un signal qui bousillent le cerveau des utilisateurs et les transforment en brutes décérébrées et sanguinaires. Ces dérangés utilisent parfois des instruments pour tuer les normaux (et aussi des dérangés, ils ne sont pas difficiles), par exemple les conducteurs foncent dans la foule avec leur véhicule, les pilotes écrasent leurs avions, etc. Il y a peu de rescapés, même après quelques minutes, car quel est le réflexe lorsque l’inattendu survient ? Prendre son téléphone et loger un appel. À la fin de la journée, les normaux survivants sont surtout des personnes d’un certain âge et des marginaux, car ceux-ci n’ont plus souvent pas de téléphone cellulaire. Mais ce n’est pas simplement une histoire de zombies, les dérangés ne restent pas tel quel, ils évoluent. La situation se transforment rapidement en une guerre entre les dérangés et les normaux, mais ces derniers peinent à combattre un ennemi qu’ils ne comprennent pas.
L’idée de départ est pleine de potentiel, car bon nombre d’utilisateurs de téléphone cellulaire sont déjà des zombies sans même que leur téléphone se détraque. Mais passé le choc apocalyptique initiale, la destruction de la ville de Boston, le livre décline : perte de puissance jusqu’à ne plus obtenir de barre d’intérêt sur la jauge de mon téléphone. L’histoire a une ressemblance avec Le fléau, sauf que Stephen King l’a déjà écrit ce livre, en mieux, il y a plusieurs décennies. De plus, il y a eu une pléthore de livres apocalyptiques écrits depuis, incluant des chefs-d’œuvre comme La route, et Stephen King ne semble plus être à la hauteur de ce sous-genre. En plus, les « méchants » deviennent tellement puissants que c’est difficile à suivre : télépathie, lecture des pensées, lévitation, télékinésie… La liste de leurs pouvoirs se rallonge à chaque jour. Ah oui, toutes ces merveilles sont possibles parce que les dérangés utilisent la totalité de leur cerveau, pas seulement le 10% utilisé par les normaux. C’est une légende urbaine tellement grosse qu’elle a sa propre entrée Wikipédia. On peut ne pas être au courant que c’est un mythe, mais un auteur se doit de faire quelques recherches avant d’intégrer ça dans une œuvre.
2,5/5
le réaliste-romantique
2006
Le premier octobre 2005, à 15h03, les téléphones cellulaires se mettent à émettre un signal qui bousillent le cerveau des utilisateurs et les transforment en brutes décérébrées et sanguinaires. Ces dérangés utilisent parfois des instruments pour tuer les normaux (et aussi des dérangés, ils ne sont pas difficiles), par exemple les conducteurs foncent dans la foule avec leur véhicule, les pilotes écrasent leurs avions, etc. Il y a peu de rescapés, même après quelques minutes, car quel est le réflexe lorsque l’inattendu survient ? Prendre son téléphone et loger un appel. À la fin de la journée, les normaux survivants sont surtout des personnes d’un certain âge et des marginaux, car ceux-ci n’ont plus souvent pas de téléphone cellulaire. Mais ce n’est pas simplement une histoire de zombies, les dérangés ne restent pas tel quel, ils évoluent. La situation se transforment rapidement en une guerre entre les dérangés et les normaux, mais ces derniers peinent à combattre un ennemi qu’ils ne comprennent pas.
L’idée de départ est pleine de potentiel, car bon nombre d’utilisateurs de téléphone cellulaire sont déjà des zombies sans même que leur téléphone se détraque. Mais passé le choc apocalyptique initiale, la destruction de la ville de Boston, le livre décline : perte de puissance jusqu’à ne plus obtenir de barre d’intérêt sur la jauge de mon téléphone. L’histoire a une ressemblance avec Le fléau, sauf que Stephen King l’a déjà écrit ce livre, en mieux, il y a plusieurs décennies. De plus, il y a eu une pléthore de livres apocalyptiques écrits depuis, incluant des chefs-d’œuvre comme La route, et Stephen King ne semble plus être à la hauteur de ce sous-genre. En plus, les « méchants » deviennent tellement puissants que c’est difficile à suivre : télépathie, lecture des pensées, lévitation, télékinésie… La liste de leurs pouvoirs se rallonge à chaque jour. Ah oui, toutes ces merveilles sont possibles parce que les dérangés utilisent la totalité de leur cerveau, pas seulement le 10% utilisé par les normaux. C’est une légende urbaine tellement grosse qu’elle a sa propre entrée Wikipédia. On peut ne pas être au courant que c’est un mythe, mais un auteur se doit de faire quelques recherches avant d’intégrer ça dans une œuvre.
2,5/5
le réaliste-romantique
Réaliste-romantique- Nombre de messages : 3246
Age : 48
Location : Outaouais, Québec
Date d'inscription : 30/12/2008
Plein Gaz
Stephen King et Joe Hill (son fils)
éd. JC Lattès
110 pages
note: 2/5
Un groupe de motard fuit les lieux d'une tuerie liée au trafic de drogue. Dans cette "Tribu", des sales types, vétérans de guerre ou pas, amis depuis longtemps, un père et son fils aux relations tendues et pas tendres. Ils s'arrêtent dans un bar, discutent et voilà qu'en repartant, ils sont poursuivit par un gros camion qui joue aux quilles avec eux, plein gaz sur la route.
Cette nouvelle est un hommage à Richard Matheson mais surtout, un support de pub pour le dernier roman de Joe Hill (les 15 dernières pages du livre sont les premières de Nosfera2). La nouvelle de Matheson Duel est bien au dessus de Plein Gaz, qui est sans grand intérêt. La relation père-fils en arrière plan sauve la nouvelle du naufrage. J'ai toujours eu du mal avec Stephen King dont les romans et nouvelles sont plein de promesses et de bonnes idées mais dont la lecture est souvent décevante. Pourtant j'y reviens régulièrement, mais, la preuve, encore une déception!
Extraits:
"Plusieurs lettres étaient peintes au pochoir sur le flanc du poids lourd. Il crut d'abord lire MASSACRE. Mais non. Il s'agissait de MARRADE.[...] le chauffeur, assis dans la cabine, laissait pendre son bras par la vitre. Une cigarette se consumait entre l'index et le majeur. Sur son avant-bras, on distinguait un tatouage décoloré: "La mort plutôt que le déshonneur".
"TUUT!TUUT! TUUT-TUUT-TUUT!" et sa variante "TUT-TUT! TUUT! TUT-TUT-TUT!" (bon, d'accord, j’exagère, mais les lettres capitales, ça attire l’œil!)
éd. JC Lattès
110 pages
note: 2/5
Un groupe de motard fuit les lieux d'une tuerie liée au trafic de drogue. Dans cette "Tribu", des sales types, vétérans de guerre ou pas, amis depuis longtemps, un père et son fils aux relations tendues et pas tendres. Ils s'arrêtent dans un bar, discutent et voilà qu'en repartant, ils sont poursuivit par un gros camion qui joue aux quilles avec eux, plein gaz sur la route.
Cette nouvelle est un hommage à Richard Matheson mais surtout, un support de pub pour le dernier roman de Joe Hill (les 15 dernières pages du livre sont les premières de Nosfera2). La nouvelle de Matheson Duel est bien au dessus de Plein Gaz, qui est sans grand intérêt. La relation père-fils en arrière plan sauve la nouvelle du naufrage. J'ai toujours eu du mal avec Stephen King dont les romans et nouvelles sont plein de promesses et de bonnes idées mais dont la lecture est souvent décevante. Pourtant j'y reviens régulièrement, mais, la preuve, encore une déception!
Extraits:
"Plusieurs lettres étaient peintes au pochoir sur le flanc du poids lourd. Il crut d'abord lire MASSACRE. Mais non. Il s'agissait de MARRADE.[...] le chauffeur, assis dans la cabine, laissait pendre son bras par la vitre. Une cigarette se consumait entre l'index et le majeur. Sur son avant-bras, on distinguait un tatouage décoloré: "La mort plutôt que le déshonneur".
"TUUT!TUUT! TUUT-TUUT-TUUT!" et sa variante "TUT-TUT! TUUT! TUT-TUT-TUT!" (bon, d'accord, j’exagère, mais les lettres capitales, ça attire l’œil!)
Ondine- Nombre de messages : 86
Date d'inscription : 02/08/2009
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
SHINING
Quatrième de couverture : Situé dans les montagnes Rocheuses, l’Overlook Palace passe pour être l’un des plus beaux lieux du monde. Confort, luxe, volupté…
L’hiver, l’hôtel est fermé.
Coupé du monde par le froid et la neige. Alors, seul l’habite un gardien.
Celui qui a été engagé cet hiver-là s’appelle Jack Torrance: c’est un alcoolique, un écrivain raté, qui tente d’échapper au désespoir. Avec lui vivent sa femme, Wendy, et leur enfant, Danny.
Danny qui possède le don de voir, de ressusciter les choses et les êtres que l’on croit disparus.
Ce qu’il sent, lui, dans les cent dix chambres vides de l’Overlook Palace, c’est la présence du démon.
Cauchemar ou réalité, le corps de cette femme assassinée? ces bruits de fête qui dérivent dans les couloirs ? cette vie si étrange qui anime l’hôtel ?
Un récit envoûtant immortalisé à l’écran par Stanley Kubrick.
Mon avis : j'ai beaucoup aimé ce roman, bien que ce type d'histoire ne soit en général pas ma tasse de thé ! J'ai frémi, eu peur d'éteindre la lumière parfois le soir ( ) mais ai vraiment été happée par l'histoire et l'atmosphère du livre
Bien que non attirée par les romans surnaturels l'auteur a réussi à me faire croire à cette histoire de don, de morts "vivants" et d'hôtel "hanté"
Pour le premier roman que je lis de Stephen King, je dois dire que j'ai été emballée.
J'ai réservé de ce pas l'adaptation ciné à la médiathèque : parait qu'elle est assez différente du roman ?
Ma note : 4/5
Pistoufle- Nombre de messages : 1477
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Date d'inscription : 10/03/2011
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Shining
Stephen King
Livre de poche 2013
571 pages
Quatrième de couverture
Situé dans les montagnes Rocheuses, l’Overlook Palace passe pour être l’un des plus beaux lieux du monde. Confort, luxe, volupté…
L’hiver, l’hôtel est fermé.
Coupé du monde par le froid et la neige. Alors, seul l’habite un gardien.
Celui qui a été engagé cet hiver-là s’appelle Jack Torrance: c’est un alcoolique, un écrivain raté, qui tente d’échapper au désespoir. Avec lui vivent sa femme, Wendy, et leur enfant, Danny.
Danny qui possède le don de voir, de ressusciter les choses et les êtres que l’on croit disparus.
Ce qu’il sent, lui, dans les cent dix chambres vides de l’Overlook Palace, c’est la présence du démon. Cauchemar ou réalité, le corps de cette femme assassinée? ces bruits de fête qui dérivent dans les couloirs ? cette vie si étrange qui anime l’hôtel?
Un récit envoûtant immortalisé à l’écran par Stanley Kubrick.
Mon avis
Quelques thèmes principaux dans ce roman fantastique : l’alcoolisme, la désintégration de la famille, la folie, la violence physique et l’isolement créent une atmosphère dramatique et cela avec du suspense intolérable à lors de certaines pages de livre. Cet hôtel malfaisant et ses fantômes, les hallucinations du petit Danny, la paranoïa du père, tout cela m’a paru tellement menaçant, hé oui, je m’y suis laissé prendre, c’est une première pour moi qui n’aime pas les romans fantastiques. Il se peut que je lise un autre de cet auteur…4,5/5
Stephen King
Livre de poche 2013
571 pages
Quatrième de couverture
Situé dans les montagnes Rocheuses, l’Overlook Palace passe pour être l’un des plus beaux lieux du monde. Confort, luxe, volupté…
L’hiver, l’hôtel est fermé.
Coupé du monde par le froid et la neige. Alors, seul l’habite un gardien.
Celui qui a été engagé cet hiver-là s’appelle Jack Torrance: c’est un alcoolique, un écrivain raté, qui tente d’échapper au désespoir. Avec lui vivent sa femme, Wendy, et leur enfant, Danny.
Danny qui possède le don de voir, de ressusciter les choses et les êtres que l’on croit disparus.
Ce qu’il sent, lui, dans les cent dix chambres vides de l’Overlook Palace, c’est la présence du démon. Cauchemar ou réalité, le corps de cette femme assassinée? ces bruits de fête qui dérivent dans les couloirs ? cette vie si étrange qui anime l’hôtel?
Un récit envoûtant immortalisé à l’écran par Stanley Kubrick.
Mon avis
Quelques thèmes principaux dans ce roman fantastique : l’alcoolisme, la désintégration de la famille, la folie, la violence physique et l’isolement créent une atmosphère dramatique et cela avec du suspense intolérable à lors de certaines pages de livre. Cet hôtel malfaisant et ses fantômes, les hallucinations du petit Danny, la paranoïa du père, tout cela m’a paru tellement menaçant, hé oui, je m’y suis laissé prendre, c’est une première pour moi qui n’aime pas les romans fantastiques. Il se peut que je lise un autre de cet auteur…4,5/5
lalyre- Nombre de messages : 5798
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Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Joyland de Stephen King
Devin est un jeune étudiant qui va travailler pendant l’été 1973 à Joyland, un parc d’attractions de Caroline du Nord où domine la grande Carolina Spin, grande vedette du lieu. Il vient tout juste de rompre avec sa petite amie mais quoi de mieux que de vendre du rêve pour se changer les idées ?
Je m’attendais à un Stephen King terrifiant comme dans Ca, Simetierre ou Shining mais c’est plutôt une histoire légèrement empreinte de fantastique, dans une atmosphère de franche camaraderie propre aux années 1970. L’ambiance est plaisante, les attractions attirant les ploucs, les forains faisant tourner les manèges, les animations, les rencontres… Ca donne un petit parfum d’été, de vacances…Si ce n’était ce meurtre commis il y a quelques années dans une des attractions.
Je ne peux pas dire que je n’ai pas apprécié cette histoire mais avec le résumé de la quatrième couverture et l’étiquette Stephen King, j’ai longtemps attendu qu’il se passe quelque chose. Mais ce roman du maitre de l’épouvante se rapproche plus du policier que de l’horreur. Que cela ne tienne, avec ce mélange de forains avec leur parlure, de fantômes et de chiens dansant, il se déguste tout autant qu’un autre !
Note : 3.75/5
Shan_Ze- Admin
- Nombre de messages : 9265
Age : 40
Location : Lyon/France
Date d'inscription : 26/10/2008
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Mr. Mercedes
tiré du site Amazon.fr:
« Je crois qu il y a plein de gens qui rêvent de faire ce que j ai fait...
La seule différence, c est que moi, je l ai vraiment fait ! »
Midwest 2009. Un salon de l'emploi. Dans l aube glacée, des centaines de chômeurs en quête d un job font la queue. Soudain, une Mercedes rugissante fonce sur la foule, laissant dans son sillage huit morts et quinze blessés. Le chauffard, lui, s est évanoui dans la brume avec sa voiture, sans laisser de traces.
Un an plus tard. Bill Hodges, un flic à la retraite, reste obsédé par le massacre. Une lettre du tueur à la Mercedes va le sortir de la dépression et de l ennui qui le guettent, le précipitant dans un redoutable jeu du chat et de la souris.
Avec ce polar très noir, véritable plongée dans le cerveau d un psychopathe qui ferait passer Norman Bates pour un enfant de choeur, Stephen King démontre une fois encore son époustouflant talent de conteur, qui s affranchit des frontières et des genres.
mon avis:
Quel pavé! on se demande si on arrivera au bout...
Polar vraiment noir, mais très efficace, on le dévore.
King a tellement écrit, qu'il connaît toutes les ficelles du genre, c'est diablement bien construit.
Juste la fin, m'a un peu déçue, mais c'est souvent comme ça, les fins me déçcoivent, allez savoir pourquoi.
4/5
- Broché: 550 pages
- Editeur : ALBIN MICHEL (28 janvier 2015)
- Collection : LITT.GENERALE
- Langue : Français
- ISBN-10: 2226314687
- ISBN-13: 978-2226314680
tiré du site Amazon.fr:
« Je crois qu il y a plein de gens qui rêvent de faire ce que j ai fait...
La seule différence, c est que moi, je l ai vraiment fait ! »
Midwest 2009. Un salon de l'emploi. Dans l aube glacée, des centaines de chômeurs en quête d un job font la queue. Soudain, une Mercedes rugissante fonce sur la foule, laissant dans son sillage huit morts et quinze blessés. Le chauffard, lui, s est évanoui dans la brume avec sa voiture, sans laisser de traces.
Un an plus tard. Bill Hodges, un flic à la retraite, reste obsédé par le massacre. Une lettre du tueur à la Mercedes va le sortir de la dépression et de l ennui qui le guettent, le précipitant dans un redoutable jeu du chat et de la souris.
Avec ce polar très noir, véritable plongée dans le cerveau d un psychopathe qui ferait passer Norman Bates pour un enfant de choeur, Stephen King démontre une fois encore son époustouflant talent de conteur, qui s affranchit des frontières et des genres.
mon avis:
Quel pavé! on se demande si on arrivera au bout...
Polar vraiment noir, mais très efficace, on le dévore.
King a tellement écrit, qu'il connaît toutes les ficelles du genre, c'est diablement bien construit.
Juste la fin, m'a un peu déçue, mais c'est souvent comme ça, les fins me déçcoivent, allez savoir pourquoi.
4/5
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
22/11/63
Albin Michel 937 pages
Ma note : 4/5
Quatrième de couverture : Jake Epping, professeur d'anglais à Lisbon Falls, n'a pu refuser d'accéder à la requête d'un ami mourant : empêcher l'assassinat de Kennady. Une fissure dans le temps va l'entraîner dans un fascinant voyage dans le passé, en 1958, l'époque d'Elvis et de JFK, des Plymouth Fury et des Eberly Brothers, d'un taré solitaire nommé Lee Harvey Oswald et d'un jolie bibliothécaire qui deviendra le grand amour de Jake, un amour qui transgresse toutes les lois du temps.
Avec une extraordinaire énergie créatrice, King revisite au travers d'un suspens vertigineux l'Amérique du baby-boom, des "happy days" et du rock and roll.
Mon avis : Je n'avais pas lu de Stephen King depuis pas mal de temps. J'ai beaucoup apprécié cette lecture. J'ai regretté de ne pas avoir plus de connaissances sur l'histoire américaine, mais ce manque n'est pas vraiment un frein à la compréhension, car tout y est bien expliqué. Il y a quand même quelques longueurs, l'action est au point mort pendant plusieurs chapitres. Et il y a beaucoup de personnages, je m'y suis un peu perdue parfois.
La fin n'est pas très surprenante, en tout cas, c'est le genre de fin à laquelle je m'attendais.
Albin Michel 937 pages
Ma note : 4/5
Quatrième de couverture : Jake Epping, professeur d'anglais à Lisbon Falls, n'a pu refuser d'accéder à la requête d'un ami mourant : empêcher l'assassinat de Kennady. Une fissure dans le temps va l'entraîner dans un fascinant voyage dans le passé, en 1958, l'époque d'Elvis et de JFK, des Plymouth Fury et des Eberly Brothers, d'un taré solitaire nommé Lee Harvey Oswald et d'un jolie bibliothécaire qui deviendra le grand amour de Jake, un amour qui transgresse toutes les lois du temps.
Avec une extraordinaire énergie créatrice, King revisite au travers d'un suspens vertigineux l'Amérique du baby-boom, des "happy days" et du rock and roll.
Mon avis : Je n'avais pas lu de Stephen King depuis pas mal de temps. J'ai beaucoup apprécié cette lecture. J'ai regretté de ne pas avoir plus de connaissances sur l'histoire américaine, mais ce manque n'est pas vraiment un frein à la compréhension, car tout y est bien expliqué. Il y a quand même quelques longueurs, l'action est au point mort pendant plusieurs chapitres. Et il y a beaucoup de personnages, je m'y suis un peu perdue parfois.
La fin n'est pas très surprenante, en tout cas, c'est le genre de fin à laquelle je m'attendais.
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Lecture en cours : La guerre de la faille I : Magicien - L'apprenti de Raymond E. Feist
PAL : 571
Livres lus depuis le début de l'année : 17 (7478 pages)
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
MISERY
Paul Sheldon, écrivain a succès est victime d'un accident de voiture. Annie Wilkes qui est une de ses plus grandes fans le recueille chez elle pour le soigner. Le problème c'est que cette ancienne infirmière est loin d'avoir toute sa tête...
Mon avis : 5/5
Enorme coup de coeur pour ce roman ou plutôt un énorme coup d'angoisse. Je n'avais pas flipper autant depuis Shinning.
Stephen King est pour moi un génie de l'angoisse, il arrive à faire grimper notre tension à 25 juste avec une ambiance et une montée en pression de la situation.
- Spoiler:
- Le passage où Annie entre dans la chambre de Paul en tenant quelque chose qu'il ne voit pas, s’assoit au bord de son lit et lui dit Paul j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle, j'ai cru que j'allais défaillir !
J'ai aussi beaucoup aimé les passages sur le mécanisme d'écriture et avoir des passages du roman de Misery apaise la lecture avant de prendre sur les chapeaux de roues.
Plus la fin approchait plus je me demandais jusqu'où la folie d'Annie pouvait aller et quel était le degré de résistance de Paul.
Je pourrais vous en dire tellement sur ce roman mais le mieux est de lire ce chef d'oeuvre de la littérature et de l'angoisse.
Merci Monsieur King pour ce grand moment !
_________________
Challenge US : 29/51
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
La ligne verte de Stephen King
C’est un de mes auteurs fétiches depuis plus de quinze ans… J’ai lu une vingtaine de ses livres mais l’auteur est prolifique ! Je ne sais pas si j’ai lu la moitié. Ca fait longtemps que je voyais La ligne verte sur les étagères de la bibliothèque mais six épisodes à l’époque, ça ne m’intéressait pas. Et puis, les années sont passées, j’ai vu le film et je l’ai revu il m’a conseillé le roman mais j’ai mis longtemps à le lire (un des livres et films préférés de mon copain).
Et même si la première moitié m’a semblé très similaire, j’ai cru remarqué quelques différences sur la seconde. L’avantage de voir le film avant, c’est de mettre un visage sur un nom même si l’imagination ne joue plus. J’ai aimé la partie enquête sur la culpabilité de John Caffey alors que dans le film, tout se passe par une vision si je me rappelle bien. Le livre est biens sûr plus complet car il permet de connaitre les pensées de Paul Edgecombe ou les différents états d’esprit de ses collègues. Un seul point m’a surprise :
- Spoiler:
- le narrateur dit que John avait les bras trop larges pour passer à travers les barreaux de sa cellule et qu’il arrive à attraper Percy Wetmore parce qu’il avait les bras longs… Alors peut-être avait maigri ? Je ne pense pas et j’ai tiqué à ce moment-là.
Le monde carcéral n’est pas très joyeux et en pénétrant au bloc E avec Paul Edgecombe, le plus dur des blocs de la prison de Cold Mountain, on découvre les pires horreurs qu’un homme peut commettre. Au-delà de ces prisonniers, on découvre l’Amérique des années 30, de la Grande Dépression mais aussi cette haine des Noirs qui ne sont pas mieux considérés que des chiens.
Une lecture que j’ai apprécié même si la première partie est moins agréable : elle est faite d’allers-retours entre différents moments du passé, ça m’a un peu perdu. En tout cas, une lecture qui m’a beaucoup marqué comme le film.
Note : 4/5
Shan_Ze- Admin
- Nombre de messages : 9265
Age : 40
Location : Lyon/France
Date d'inscription : 26/10/2008
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Je deviens très fan de SK donc je compte bien lire celui-ci ! En plus c'est un de mes films cultes.
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Challenge US : 29/51
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
BLAZE
Blaze est un géant devenu crétin par les maltraitances de son père et devenu petit malfrat par ses mauvaises fréquentations.
Son acolyte, Georges, décide de faire un dernier gros coup avant de raccrocher et partir au soleil, il veut enlever Joe, le bébé d'une famille richissime du coin.
Blaze suit comme toujours, mais tout ne va pas se passer comme prévu...
Mon avis : 4/5
Voici un King vraiment différent de ses autres romans. C'est plus un roman noir comme savent si bien les écrire les américains et j'ai beaucoup aimé découvrir cette facette de Stephen King. Il sait aussi nous emporter dans des histoires sans forcément nous faire frémir et sursauter.
Blaze est très touchant, c'est l'archétype du géant benet, qui fait tout de travers. Malgré son horrible geste, je n'avais pas envie qu'il lui arrive quelque chose de mal et jusqu'au bout j'ai espéré qu'il s'en sorte. Je n'en dirai pas plus...
J'ai bien aimé la construction du roman avec des chapitres sur le passé de Blaze, qui nous explique comment il en est arrivé là.
Je pense que c'est un bon roman pour découvrir l'écriture de Stephen King si on n'est pas amateur de fantastique et d'horreur.
_________________
Challenge US : 29/51
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Le maître du suspense nous embarque cette fois-ci dans une histoire de faille spatio-temporelle et dans l'Histoire américaine.
Jake Epping doit retourner en 1963 et empêcher l'assassinat de JFK mais pour y arriver il va devoir affronter les embûches du passé.
C'est une sacrée brique mais que j'ai lu assez rapidement, j'ai tout de suite été prise dans l'histoire, même la grande partie dans laquelle Jake vit une vie paisible dans la petite ville de Jodie m'a beaucoup plu.
King détaille bien la vie des années 60, les us et coutumes et la culture de l'époque. Nous sommes en immersion totale.
L'histoire d'amour entre Jake et Sadie est vraiment touchante, même si le fait qu'il l'appelle Ma pépette est passablement ridicule .
La partie sur Oswald est vraiment passionnante et très détaillée, on est pris au jeu et on se demande à chaque page comment Jake va réussir réécrire l'Histoire.
Au sujet de la fin, sans rien dévoiler, elle m'a beaucoup plu, je l'ai trouvé très émouvante. D'ailleurs je ne sais pas si la grossesse et les hormones mais j'ai du pleurer au moins à 3 reprises au cours de ma lecture.
Ce roman pour moi est un chef d'œuvre de bout en bout, même si je peux comprendre que certains aient trouvé des longueurs, mais pour ma part j'ai trouvé chaque pages passionnantes.
5/5
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
MR MERCEDES
Présentation de l'éditeur
« Je crois qu il y a plein de gens qui rêvent de faire ce que j ai fait...
La seule différence, c est que moi, je l ai vraiment fait ! »
Midwest 2009. Un salon de l'emploi. Dans l aube glacée, des centaines de chômeurs en quête d un job font la queue. Soudain, une Mercedes rugissante fonce sur la foule, laissant dans son sillage huit morts et quinze blessés. Le chauffard, lui, s est évanoui dans la brume avec sa voiture, sans laisser de traces.
Un an plus tard. Bill Hodges, un flic à la retraite, reste obsédé par le massacre. Une lettre du tueur à la Mercedes va le sortir de la dépression et de l ennui qui le guettent, le précipitant dans un redoutable jeu du chat et de la souris.
Avec ce polar très noir, véritable plongée dans le cerveau d un psychopathe qui ferait passer Norman Bates pour un enfant de ch ur, Stephen King démontre une fois encore son époustouflant talent de conteur, qui s affranchit des frontières et des genres.
Stephen King qui s'essaie au polar, mon genre favori, que demander de plus !
C'est un policier somme tout classique, le maître du suspense fait dans le classique, la traque d'un ancien flic proche du suicide envers un psychopathe qui est à deux doigts de recommencer.
L'histoire est racontée de façon efficace, le rythme est rapide, les personnages sont attachants, j'ai beaucoup aimé le personnage de Holly.
Le psychopathe est sacrément attaqué, c'est là que l'on voit la patte SK dans ce polar, avec sa relation très douteuse avec sa mère, ce qu'il sait passé avec son frère et sa façon de voir le monde.
Stephen King a souvent un problème avec les fins de ses romans, soient trop rapides, soient trop alambiquées. Pour Mr Mercedes, elle n'est pas très originale et rapide mais l'essentiel est là.
J'ai passé un très bon moment encore une fois avec Monsieur King et ce polar prenant.
4.5/5
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Shining
J'aime beaucoup Stephen King et j’ai lu plusieurs de ces livres « frissons » Ca, Misery,le fléau, Simetière... .Je m’attendais donc à vivre quelques moments de terreur et j’avais déjà prévu une lecture plus légère pour, éviter les cauchemars. En fait j’ai été déçue. Je suis bien entrée dans le livre mais la pression est redescendue j’ai trouvé ce roman moins haletant que mes lectures précédentes Cela reprend dans les 100 dernières pages mais ce n’est pas un coup de cœur pour moi. J’espère maintenant voir le film. J’ai lu que Stephen King n’avait à l’époque pas donné son accord pour le scénario.
3.75/5
J'aime beaucoup Stephen King et j’ai lu plusieurs de ces livres « frissons » Ca, Misery,le fléau, Simetière... .Je m’attendais donc à vivre quelques moments de terreur et j’avais déjà prévu une lecture plus légère pour, éviter les cauchemars. En fait j’ai été déçue. Je suis bien entrée dans le livre mais la pression est redescendue j’ai trouvé ce roman moins haletant que mes lectures précédentes Cela reprend dans les 100 dernières pages mais ce n’est pas un coup de cœur pour moi. J’espère maintenant voir le film. J’ai lu que Stephen King n’avait à l’époque pas donné son accord pour le scénario.
3.75/5
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Shining - Stephen King
JC Lattès - 430 pages
Résumé
Jack Torrance, ancien professeur, écrivain à ses heures et alcoolique repenti accepte le poste de gardien à l’hôtel Overlook. Avec sa femme Wendy et son fils Danny, ils vont passer tout l’hiver coupés du reste du monde par les fortes chutes de neige des montagnes Rocheuses. Mais Danny n’est pas un enfant comme les autres, il peut lire dans les pensées et surtout il a d’étranges visions, des visions qui lui font redouter leur séjour dans cet hôtel.
Mon avis
C’est avec beaucoup d’appréhension que j’ai commencé ce roman de Stephen King. Il faut dire que je n’aime pas les livres d’épouvante/horreur et que je suis très facilement effrayée. Au final, j’ai eu bien moins peur que ce que je craignais. Pourtant, dès le début, l’auteur sait installer une atmosphère angoissante. Lorsqu’il décrit Jack Torrance dans les premiers chapitres, on sent déjà que ça va mal finir.
J’ai beaucoup aimé les personnages qui sont assez complexes et dont la psychologie est très bien rendue.
Danny, le petit garçon est très attachant, on souffre pour lui lorsqu’il a ses visions horribles.
Wendy, elle, est une jeune femme amoureuse, que l’amour a tendance à rendre un peu aveugle. Mais c’est parce qu’elle a envie d’y croire et qu’elle veut le meilleur pour son enfant. Quel courage (ou quelle folie) tout de même d’aller passer un hiver coupé du monde avec un mari instable.
Jack est selon moi le personnage le plus fascinant de ce livre : un personnage complexe, ni totalement mauvais ni totalement bon. L’alcool l’a fait basculer du mauvais côté mais il aime sincèrement sa femme et son fils. On le voit particulièrement dans les passages où il lutte contre ses démons. Ces passages m’ont d’ailleurs bien plus effrayés que le reste.
Quant à l’hôtel, c’est vraiment un personnage à part entière, mystérieux, fascinant et effrayant à la fois. Je ne voudrais y séjourner pour rien au monde. Brr!
Le suspense monte crescendo et même si on a une idée de la façon dont tout va se finir, on ne peut s’empêcher de trembler jusqu’au bout pour Danny et Wendy. Je ne suis pas très fan du côté fantastique mais pour le coup, ça m’a permis de garder un certaine distance avec les événements et donc d’éviter de faire les cauchemars que je redoutais. Par contre, je me sens pas encore prête à voir le film, je n’ose pas imaginer ce que peuvent donner certaines scènes à l’écran.
Bref, j’ai été agréablement surprise par ce roman qui mêle habilement suspense, action et analyse psychologique. Je suis très contente de l’avoir enfin lu et il est évident que je vais continuer à explorer l’univers de Stephen King, certainement avec La ligne verte (j’avais adoré le film) mais aussi bien sûr avec Docteur Sleep pour retrouver l’univers de Shining.
4,5/5
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Lyreek- Nombre de messages : 3099
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Shining
Note : 4.5/5
Résumé : Jack, un enseignant au chômage, se voit proposer le job de gardien d’un hôtel vide pendant la saison hivernal, en plein milieu des montagnes Colorado. Il y emmène sa femme Wendy et son fils, Danny, qui semble posséder des facultés particulières. Très rapidement, la neige les coupe du reste du monde. Ils se retrouvent tous les trois complètement seuls. L’hôtel va alors commencer à exercer un pouvoir inquiétant sur Jack.
Critique : Lu dans le cadre de la lecture commune, il m’a bien fallu tout ça pour m’atteler à ce livre que j’avais déjà dans ma PAL depuis un petit bout de temps déjà. Je ne sais pas trop pourquoi je n’osais pas m’y attaquer, mes précédentes lectures de Mr King n’avaient pas été forcément mauvaises. Peut-être la peur d’avoir trop peur. De l’histoire, je connaissais la plupart des évènements comme j’avais déjà vu le film de Kubrick. Mais le livre ajoute énormément de détails, rien que dans la constitution des personnages qui sont bien plus fouillés ici. Il y a également plein d’axes qui manquent comme le passage des buis. Bref, comme souvent, le livre est bien plus complet et complexe que l’adaptation. J’ai vraiment beaucoup aimé cette lecture. Dès les premières pages, on se laisse embarquer dans l’histoire. La tension monte au fur et à mesure des chapitres, et les passages plus lugubres sont très bien rendus. J’ai lu les dernières pages d’un seul coup tant je ne pouvais lâcher le livre. Je ne suis pas très portée sur les romans surnaturels pourtant mais King arrive à me faire croire à toutes ces histoires d’hôtel hanté et de fantômes. Bref, une très bonne lecture qui me donne envie de continuer à lire d’autres livres de Stephen King pour mieux connaitre son œuvre.
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Le passage dans les buis m'a vraiment fait peur, j'étais déçue de ne pas le voir dans le film.
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
ça
Derry, une petite ville tranquille du Maine en 1958. Six garçons et une fille âgés de 11-12 ans forment "Le club des ratés". Leur point commun: avoir vu sous une forme ou une autre ça: une chose épouvantable, une espèce de monstre tapie dans les égouts de la ville qui sème l'épouvante.
Leur but: la traquer et l'anéantir à jamais.
Depuis, 27 années ont passé et ils se retrouvent une nouvelle fois dans la ville de leur enfance. Tous sauf l'un d'entre eux semblent avoir oublié les évènements tragiques et traumatisants qu'ils y ont vécu. Une seule chose leur paraît évidente: le serment qu'ils s'étaient fait de se retrouver si l'horreur devait se déchaîner de nouveau....
Je n'en dirai pas plus pour ne surtout pas dévoiler l'intrigue qui se met en place progressivement tout le long de ces 1430 pages. Malgré la longueur, on ne s'ennuie pas une seconde. Stephen King navigue sans arrêt du passé au présent rendant le récit encore plus stressant.
Une fois de plus Stephen King joue avec nos nerfs. L'épouvante et le suspens sont au rendez-vous. Il fait rejaillir en nous nos terreurs enfantines.
Mais ce roman est plus qu'un roman d'épouvante. Il traite également de l'amitié et de la solidarité des enfants, de leur cruauté aussi parfois.
Un gros coup de coeur 5/5
Derry, une petite ville tranquille du Maine en 1958. Six garçons et une fille âgés de 11-12 ans forment "Le club des ratés". Leur point commun: avoir vu sous une forme ou une autre ça: une chose épouvantable, une espèce de monstre tapie dans les égouts de la ville qui sème l'épouvante.
Leur but: la traquer et l'anéantir à jamais.
Depuis, 27 années ont passé et ils se retrouvent une nouvelle fois dans la ville de leur enfance. Tous sauf l'un d'entre eux semblent avoir oublié les évènements tragiques et traumatisants qu'ils y ont vécu. Une seule chose leur paraît évidente: le serment qu'ils s'étaient fait de se retrouver si l'horreur devait se déchaîner de nouveau....
Je n'en dirai pas plus pour ne surtout pas dévoiler l'intrigue qui se met en place progressivement tout le long de ces 1430 pages. Malgré la longueur, on ne s'ennuie pas une seconde. Stephen King navigue sans arrêt du passé au présent rendant le récit encore plus stressant.
Une fois de plus Stephen King joue avec nos nerfs. L'épouvante et le suspens sont au rendez-vous. Il fait rejaillir en nous nos terreurs enfantines.
Mais ce roman est plus qu'un roman d'épouvante. Il traite également de l'amitié et de la solidarité des enfants, de leur cruauté aussi parfois.
Un gros coup de coeur 5/5
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
CA
Un des meilleurs King que j'ai lu.
Stephen King, nous conte à travers le mythe du croque-mitaine une belle histoire d'amitié et de solidarité.
La construction du roman est faite de façon à ce que l'on ne s'ennuie jamais dans ce roman de plus de 1200 pages. King arrive à nous faire passer de 1958 à 1985 clairement, sans nous perdre et en ajoutant du suspense qui nous pousse à lire encore et encore (enfin quand on n'a pas un bébé qui pleure à côté )
J'ai vraiment été tenue en haleine tout le long, j'ai souvent frissonné, parfois ris et toujours passé un excellent moment.
Je ne veux pas en dire plus pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte aux futurs lecteurs. Alors venez flotter du côté de Derry pour en savoir plus !
5/5
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Ça
1199 pages
La ville de Derry, à l’ouest de Bangor dans le Maine, souffre de cycles de violence d’environ 27 ans depuis des siècles. Les enfants son particulièrement touchés par les morts et les disparitions, et les résidents semblent si résigner, ou même tourner les yeux. En 1958, un groupe de gamins affrontent Ça…et ils en oublient tout en devenant adulte. Sauf que ça réapparaît en 1984 et ils se retrouvent à Derry pour l’affrontement final. Les adultes ne croient malheureusement pas à la magie comme les enfants, quels armes leur restent ils?
Un roman qui donne des frissons et fait naître l’inquiétude chez le lecteur : on surveille les plaques d’égout et les bruits dans la canalisation. Il y a bien un monstre à Derry, mais ce dernier ce sert aussi des travers des hommes pour se nourrir de la violence : homophobie, intimidation, racisme… Le livre est très long, mais l’intérêt demeure tout au long de la lecture. La construction du livre est intelligente : l’alternance entre les époques est parfois entre les chapitres, entre les sections et même entre les lignes dans l’esprit des personnages.
5/5
Réaliste-romantique
1199 pages
La ville de Derry, à l’ouest de Bangor dans le Maine, souffre de cycles de violence d’environ 27 ans depuis des siècles. Les enfants son particulièrement touchés par les morts et les disparitions, et les résidents semblent si résigner, ou même tourner les yeux. En 1958, un groupe de gamins affrontent Ça…et ils en oublient tout en devenant adulte. Sauf que ça réapparaît en 1984 et ils se retrouvent à Derry pour l’affrontement final. Les adultes ne croient malheureusement pas à la magie comme les enfants, quels armes leur restent ils?
Un roman qui donne des frissons et fait naître l’inquiétude chez le lecteur : on surveille les plaques d’égout et les bruits dans la canalisation. Il y a bien un monstre à Derry, mais ce dernier ce sert aussi des travers des hommes pour se nourrir de la violence : homophobie, intimidation, racisme… Le livre est très long, mais l’intérêt demeure tout au long de la lecture. La construction du livre est intelligente : l’alternance entre les époques est parfois entre les chapitres, entre les sections et même entre les lignes dans l’esprit des personnages.
5/5
Réaliste-romantique
Réaliste-romantique- Nombre de messages : 3246
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Date d'inscription : 30/12/2008
Re: Stephen KING (Etats-Unis)
DOLORES CLAIBORNE
Stephen King nous raconte l'histoire de Dolores Claiborne, sexagénaire, vivant sur une petite île du Maine, qui il y a 30 ans a été soupçonnée d'avoir tué son mari, alcoolique et violent. Alors lorsquesa richissime employée Véra Donovan est retrouvée morte, tous les soupçons se tournent vers Dolores mais les apparences sont trompeuses et la vérité est terrible...
Ce roman est très original par sa forme, il s'agit de la déposition de Dolores, qui décide de tout raconter sur les morts de son mari dans les années 60 et de sa patronne 30 ans plus tard. Il n'y a pas de chapitre, Stephen King ne retranscrit que les paroles de Dolores lorsqu'elle parle avec les policiers en charge de l'enquête.
Passée la surprise de cette construction et le début où Dolores détaille son travail dans la maison de Véra, j'ai été prise par l'histoire terrible de cette femme, qui est prête à tout pour protéger ses enfants.
Car Dolores Claiborne c'est avant tout l'histoire d'une mère qui va devoir faire face à l'horreur.
Un excellent roman noir que je conseille à ceux qui ne sont pas fan du style horrifique du Maître.
Un extrait qui m'a marqué et qui résume bien l'histoire :
"Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait par amour... l'amour qu'une mère ressent pour ses enfants. C'est l'amour le plus fort qu'il y a au monde, et c'est le plus terrible. Y a pas de pire de garce sur terre qu'une mère qui a peur pour ses enfants."
4.5/5
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Re: Stephen KING (Etats-Unis)
Dolores Clairborne
Le livre commence par un dialogue un peu déroutant puis Dolores raconte sa vie en tant que femme de ménage puis femme de compagnie de Vera. J'ai trouvé l'action un est un peu longue à se mettre en place puis tout s’accélère et j’ai lu d’une traite la seconde partie. Finalement ce type de contruction ressemble un peu à Shining un début un peu long où les choses se mettent en place puis il y a un évènement et on sombre alors dans le thriller . Une bonne lecture prenante si l’on s’accroche bien au début
4/5
Le livre commence par un dialogue un peu déroutant puis Dolores raconte sa vie en tant que femme de ménage puis femme de compagnie de Vera. J'ai trouvé l'action un est un peu longue à se mettre en place puis tout s’accélère et j’ai lu d’une traite la seconde partie. Finalement ce type de contruction ressemble un peu à Shining un début un peu long où les choses se mettent en place puis il y a un évènement et on sombre alors dans le thriller . Une bonne lecture prenante si l’on s’accroche bien au début
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