André DHOTEL (France)
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André DHOTEL (France)
De : gallomaniac Envoyé : 25/02/2007 15:44
L'enfant qui disait n'importe quoi. Récit pour jeunes d'André DHÔTEL, illustrations de Claudine Legastelois.
Ed. Gallimard 1968, Folio Junior (à partir de 9 ans) 1979. 143 pg. Ma note 3/5, pour les jeunes peut-être plus.
Alexis, enfant maladif, est envoyé pendant 5 ans chez son grand-père, où il fait l'école buissonnière dans la quasi-solitude d'une nature saine. Il s'exprime parfois avec des cris qui sont n'importe quoi. De retour chez ses parents, il se plaît avec ses nouvelles camarades de jeu, mais porte la mélancolie de la nature solitaire. Alexis fond une "société de recherches". Il découvre dans les environs un chalet caché. Là habite une vieille dame, qui demande à Alexis de chercher sa nièce Blandine, disparu depuis des années. La fille, voyageant avec son oncle dans un cirque, était passée plusieurs fois du coté du grand-père d'Alexis et là, avait remarqué le garçon. Pendant des recherches dans des lieux sauvages, Alexis, grâce aux cris étranges: "Hodeïdah", rejoindra la fille.
L'histoire se termine à la façon d'André Dhôtel sur l'indéterminé, ici formulé en variante de la fin classique ('et ils vivaient encore longtemps et heureux'): "Ce n'était pas la fin d'une histoire, mais le début d'une autre histoire plus étonnante encore".
L'enfant qui disait n'importe quoi. Récit pour jeunes d'André DHÔTEL, illustrations de Claudine Legastelois.
Ed. Gallimard 1968, Folio Junior (à partir de 9 ans) 1979. 143 pg. Ma note 3/5, pour les jeunes peut-être plus.
Alexis, enfant maladif, est envoyé pendant 5 ans chez son grand-père, où il fait l'école buissonnière dans la quasi-solitude d'une nature saine. Il s'exprime parfois avec des cris qui sont n'importe quoi. De retour chez ses parents, il se plaît avec ses nouvelles camarades de jeu, mais porte la mélancolie de la nature solitaire. Alexis fond une "société de recherches". Il découvre dans les environs un chalet caché. Là habite une vieille dame, qui demande à Alexis de chercher sa nièce Blandine, disparu depuis des années. La fille, voyageant avec son oncle dans un cirque, était passée plusieurs fois du coté du grand-père d'Alexis et là, avait remarqué le garçon. Pendant des recherches dans des lieux sauvages, Alexis, grâce aux cris étranges: "Hodeïdah", rejoindra la fille.
L'histoire se termine à la façon d'André Dhôtel sur l'indéterminé, ici formulé en variante de la fin classique ('et ils vivaient encore longtemps et heureux'): "Ce n'était pas la fin d'une histoire, mais le début d'une autre histoire plus étonnante encore".
gallo- Nombre de messages : 2598
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Date d'inscription : 29/10/2008
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