Denitza BANTCHEVA (Bulgarie/France)
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Denitza BANTCHEVA (Bulgarie/France)
De : Melifar5 (Message d'origine) Envoyé : 2007-05-01 02:10
LA TRAVERSÉE DES ALPES
Denitza Bantcheva
(Éditions du Revif, 2006)
Note : 5/5
Roman chatoyant, haut en couleurs et qui a l’audace de faire l’apologie de la vie parisienne, La Traversée des Alpes est une œuvre d’une qualité rare. Cet ouvrage que l’auteur elle-même qualifie de « gros œuvre » l’est à bien des égards, que ce soit en qualité d’écriture, en prouesses de style tout comme en nombre de pages.
C’est en mêlant l’inspiration, le vécu et le ressenti que Denitza Bantcheva nous accompagne pas à pas aux côtés de sa jeune héroïne qui, ayant quitté son pays natal nommé Pleunk, arrive à 20 ans dans la ville de ses rêves qu’est Paris.
Dès les premières pages du roman, le lecteur n’a alors plus qu’à se laisser prendre au jeu de l’héroïne, véritable Parisienne dans l’âme, qui l’entraîne dans un tourbillon de péripéties tout à la fois anecdotiques et touchantes. La narratrice mêle de judicieux retours en arrière permettant de mieux connaître et comprendre les motivations de « l’inexistante » Denise.
Cette aventure servie par une écriture enlevée et foisonnante plonge rapidement le lecteur dans un univers tout à la fois touchant, fantastique et baroque qui ne peut que ravir les rêveurs et les amoureux des lettres. Le texte est savoureusement pimenté par de nombreux clins d’oeil à des personnalités contemporaines ainsi qu’à des personnages sortis tout droit de l’imaginaire le plus pétillant, sans oublier une rencontre, et non des moindres, avec le Diable lui-même.
LA TRAVERSÉE DES ALPES
Denitza Bantcheva
(Éditions du Revif, 2006)
Note : 5/5
Roman chatoyant, haut en couleurs et qui a l’audace de faire l’apologie de la vie parisienne, La Traversée des Alpes est une œuvre d’une qualité rare. Cet ouvrage que l’auteur elle-même qualifie de « gros œuvre » l’est à bien des égards, que ce soit en qualité d’écriture, en prouesses de style tout comme en nombre de pages.
C’est en mêlant l’inspiration, le vécu et le ressenti que Denitza Bantcheva nous accompagne pas à pas aux côtés de sa jeune héroïne qui, ayant quitté son pays natal nommé Pleunk, arrive à 20 ans dans la ville de ses rêves qu’est Paris.
Dès les premières pages du roman, le lecteur n’a alors plus qu’à se laisser prendre au jeu de l’héroïne, véritable Parisienne dans l’âme, qui l’entraîne dans un tourbillon de péripéties tout à la fois anecdotiques et touchantes. La narratrice mêle de judicieux retours en arrière permettant de mieux connaître et comprendre les motivations de « l’inexistante » Denise.
Cette aventure servie par une écriture enlevée et foisonnante plonge rapidement le lecteur dans un univers tout à la fois touchant, fantastique et baroque qui ne peut que ravir les rêveurs et les amoureux des lettres. Le texte est savoureusement pimenté par de nombreux clins d’oeil à des personnalités contemporaines ainsi qu’à des personnages sortis tout droit de l’imaginaire le plus pétillant, sans oublier une rencontre, et non des moindres, avec le Diable lui-même.
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