Michel TREMBLAY (Canada/Québec)
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Re: Michel TREMBLAY (Canada/Québec)
Tremblay Michel
Le peintre d’aquarelles
Editions Léméac/Actes Sud 2018
153 pages
Quatrième de couverture
À soixante-seize ans, Marcel a passé le plus clair de sa vie à l’ombre – enfermé à vingt-trois ans dans l’étrange asile de Nominingue, au fin fond des Laurentides, il est toujours au pied de ses mystérieuses et menaçantes montagnes, plus de cinquante ans plus tard, bien qu’on l’ait laissé sortir. Ces montagnes, il les peint, avec beaucoup de ciel. Il peint aussi la mer, qu’il n’a jamais vue « en vrai ». Et comme dans une tardive tentative de libération, le voilà qui se lance dans un projet inédit : écrire son journal. Remonter le fil d’une folie qui l’a mis à l’isolement – malgré les visites de sa mère morte et de son chat imaginaire.
Dans cette variation d’une grande douceur sur l’évaporation du temps et la terrible violence faite à une âme simple, les lecteurs fidèles reconnaîtront un personnage qu’ils ont vu grandir dans les Chroniques du Plateau-Mont-Royal. Mais s’il fleurit comme un nouveau bourgeon de l’œuvre-arbre de Michel Tremblay, Le peintre d’aquarelles se lit comme le roman unique et bouleversant d’une vie volée.
Mon avis
C’est lorsqu’il est rattrapé par ses cauchemars qui lui font remonter la folie qui l’a mis à l’isolement et de ses hallucinations, lui faisant vivre la visite de sa mère morte et de son chat, que Marcel décide d’écrire son journal. Il nous parle des montagnes omniprésentes pendant sa longue vies, il n’a jamais vu la mer, alors que ses aquarelles expriment des paysages avec la mer inventée. Marcel à l’âme d’un enfant, il tente d’apprivoiser les mots, pour faire parler sa mémoire qui n’est que fureur et rage. Cependant que de douceur dans ses écrits, une écriture toujours aussi belle et vraie qui révèle une âme simple éprise de justice mais qui aussi pourrait peut-être libérer son coeur en s’appropriant une vie qui aurait dû être la sienne, bref une vie gâchée…..4,5
Le peintre d’aquarelles
Editions Léméac/Actes Sud 2018
153 pages
Quatrième de couverture
À soixante-seize ans, Marcel a passé le plus clair de sa vie à l’ombre – enfermé à vingt-trois ans dans l’étrange asile de Nominingue, au fin fond des Laurentides, il est toujours au pied de ses mystérieuses et menaçantes montagnes, plus de cinquante ans plus tard, bien qu’on l’ait laissé sortir. Ces montagnes, il les peint, avec beaucoup de ciel. Il peint aussi la mer, qu’il n’a jamais vue « en vrai ». Et comme dans une tardive tentative de libération, le voilà qui se lance dans un projet inédit : écrire son journal. Remonter le fil d’une folie qui l’a mis à l’isolement – malgré les visites de sa mère morte et de son chat imaginaire.
Dans cette variation d’une grande douceur sur l’évaporation du temps et la terrible violence faite à une âme simple, les lecteurs fidèles reconnaîtront un personnage qu’ils ont vu grandir dans les Chroniques du Plateau-Mont-Royal. Mais s’il fleurit comme un nouveau bourgeon de l’œuvre-arbre de Michel Tremblay, Le peintre d’aquarelles se lit comme le roman unique et bouleversant d’une vie volée.
Mon avis
C’est lorsqu’il est rattrapé par ses cauchemars qui lui font remonter la folie qui l’a mis à l’isolement et de ses hallucinations, lui faisant vivre la visite de sa mère morte et de son chat, que Marcel décide d’écrire son journal. Il nous parle des montagnes omniprésentes pendant sa longue vies, il n’a jamais vu la mer, alors que ses aquarelles expriment des paysages avec la mer inventée. Marcel à l’âme d’un enfant, il tente d’apprivoiser les mots, pour faire parler sa mémoire qui n’est que fureur et rage. Cependant que de douceur dans ses écrits, une écriture toujours aussi belle et vraie qui révèle une âme simple éprise de justice mais qui aussi pourrait peut-être libérer son coeur en s’appropriant une vie qui aurait dû être la sienne, bref une vie gâchée…..4,5
lalyre- Nombre de messages : 5804
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Michel TREMBLAY (Canada/Québec)
Survivre ! Survivre - La Diaspora des Desrosiers tome 8
Quatrième de couverture : Septembre 1935. Heures glorieuses et tragiques avec Ti-Lou et Édouard en duchesse, un duo coloré dont les échanges pétillants cachent des douleurs indissolubles, même sous le parfum du gardénia. Heures crépusculaires et sombres avec Victoire et Télesphore au fond de la ruelle des Fortifications, entre Josaphat et Laura Cadieux, sa fille infortunée qui veut à tout prix retrouver sa mère, Imelda Beausoleil. [...]
La traversée du malheur - La Diaspora des Desrosiers tome 9
Quatrième de couverture : Neuvième et dernier volet de La Diaspora des Desrosiers, cette chronique du malheur campe son action dans le Montréal d'août 1941, alors que les familles de Nana et de Gabriel s'entassent dans un nouvel appartement du Plateau-Mont-Royal... Malgré l'éprouvante promiscuité et tandis que la guerre fait rage, la vie continue, dans une turbulence nouvelle qui n’épargne personne. Mais rien, chez Michel Tremblay, n'empêche l'héritage de se déployer et l'espoir de poindre.
Mon avis : pour la première fois de ma vie de lectrice, je suis triste à l'idée de me dire que je ne découvrirai plus cette saga pour la première fois ! Alors oui, évidemment, il me reste un milliard de livres à découvrir, mais retrouverais-je la passion et l'enthousiasme qui m'ont accompagnée pendant la lecture des 9 tomes de cette saga ? Je ne sais pas....
Quoi qu'il en soit, ces romans font désormais parti de mon "panthéon" littéraire et je ne cesserai de les recommander autour de moi tant j’y ai trouvé tout ce que j'adore dans la lecture : une (des) histoire(s) foisonnante(s), des personnages extrêmement bien travaillés et fournis, une ambiance historique, et par dessus tout une écriture et un humour extraordinaires.
M. Tremblay, si vous passez par là : un très grand MERCI
Ma note (pour l'ensemble de la saga) : 5/5
Quatrième de couverture : Septembre 1935. Heures glorieuses et tragiques avec Ti-Lou et Édouard en duchesse, un duo coloré dont les échanges pétillants cachent des douleurs indissolubles, même sous le parfum du gardénia. Heures crépusculaires et sombres avec Victoire et Télesphore au fond de la ruelle des Fortifications, entre Josaphat et Laura Cadieux, sa fille infortunée qui veut à tout prix retrouver sa mère, Imelda Beausoleil. [...]
La traversée du malheur - La Diaspora des Desrosiers tome 9
Quatrième de couverture : Neuvième et dernier volet de La Diaspora des Desrosiers, cette chronique du malheur campe son action dans le Montréal d'août 1941, alors que les familles de Nana et de Gabriel s'entassent dans un nouvel appartement du Plateau-Mont-Royal... Malgré l'éprouvante promiscuité et tandis que la guerre fait rage, la vie continue, dans une turbulence nouvelle qui n’épargne personne. Mais rien, chez Michel Tremblay, n'empêche l'héritage de se déployer et l'espoir de poindre.
Mon avis : pour la première fois de ma vie de lectrice, je suis triste à l'idée de me dire que je ne découvrirai plus cette saga pour la première fois ! Alors oui, évidemment, il me reste un milliard de livres à découvrir, mais retrouverais-je la passion et l'enthousiasme qui m'ont accompagnée pendant la lecture des 9 tomes de cette saga ? Je ne sais pas....
Quoi qu'il en soit, ces romans font désormais parti de mon "panthéon" littéraire et je ne cesserai de les recommander autour de moi tant j’y ai trouvé tout ce que j'adore dans la lecture : une (des) histoire(s) foisonnante(s), des personnages extrêmement bien travaillés et fournis, une ambiance historique, et par dessus tout une écriture et un humour extraordinaires.
M. Tremblay, si vous passez par là : un très grand MERCI
Ma note (pour l'ensemble de la saga) : 5/5
Pistoufle- Nombre de messages : 1490
Age : 39
Location : Val-de-Marne - FRANCE
Date d'inscription : 10/03/2011
Re: Michel TREMBLAY (Canada/Québec)
Tu donnes vraiment envie de la découvrir, Pistoufle!
_________________
Lectures en cours:
Prochaine lecture:
Avis en attente:
Awara- Nombre de messages : 7148
Age : 79
Location : PARIS
Date d'inscription : 03/01/2011
Re: Michel TREMBLAY (Canada/Québec)
Quatrième de couverture : Les quatre personnages de cette cantate du désespoir sont les instruments d'une partition musicale parlée. D'un côté, Marie-Lou face à son mari abruti de travail et d'alcool, de l'autre leurs deux filles, dix ans après, qui ont plus ou moins surmonté la mort violente de leur mère.
Mon avis : une fois n'est pas coutume, je me suis lancée dans la lecture d'une pièce de théâtre. Je n'ai pas choisi cette pièce par hasard, je l'ai choisie car je savais que j'étais sensible à l'écriture de l'auteur, notamment aux dialogues de ses romans. Une pièce, 100% de dialogues donc, présageait un agréable moment de lecture. Et le moins que je puisse dire c'est que je n'ai pas été déçue !
L'histoire est pourtant d'une tristesse infinie : les personnages vivent dans une misère absolue, sans réelle perspective d'évolution, ça ne respire pas le bonheur ! De plus le dialogue parallèle de leurs filles quelques années plus tard laisse à penser que la situation n'a pas particulièrement évolué.
Pourtant, la verve de l'auteur, les expressions enlevées, le rythme des échanges rendent ce texte drôle, puissant. L'atmosphère est pesante certes, mais il y a beaucoup de suspens car le croisement des deux dialogues séparés par quelques années nous laisse à penser que quelque chose de grave est arrivé.
Encore une fois cet auteur m'a conquise. Je vais continuer à explorer sa bibliographie. Et surveiller si l'une de ses pièces n'est pas montée un de ces jours dans un théâtre près de chez moi !
Ma note : 4/5
Pistoufle- Nombre de messages : 1490
Age : 39
Location : Val-de-Marne - FRANCE
Date d'inscription : 10/03/2011
Re: Michel TREMBLAY (Canada/Québec)
L'homme qui entendait siffler une bouilloire
2001
Simon est un réalisateur connu, mais au cours d’un tournage, il se met à entendre une bouilloire siffler : un acouphène. Il prend un rendez-vous médical en cachette, espère que cela parte, mais il ne s’agit pas d’un rhume. Déni, apitoiement et résignation vont le mener jusqu’à la fin du tournage mais ensuite dans le système médical.
Ce livre se lit très rapidement. Le personnage est attachant, un peu difficile mais pas trop. Pour le situer dans l’œuvre de Tremblay, Simon est ami, hétérosexuel, de Jean-Marc, que l’on retrouve par exemple dans Le cœur découvert.
4,5/5
RR
2001
Simon est un réalisateur connu, mais au cours d’un tournage, il se met à entendre une bouilloire siffler : un acouphène. Il prend un rendez-vous médical en cachette, espère que cela parte, mais il ne s’agit pas d’un rhume. Déni, apitoiement et résignation vont le mener jusqu’à la fin du tournage mais ensuite dans le système médical.
Ce livre se lit très rapidement. Le personnage est attachant, un peu difficile mais pas trop. Pour le situer dans l’œuvre de Tremblay, Simon est ami, hétérosexuel, de Jean-Marc, que l’on retrouve par exemple dans Le cœur découvert.
4,5/5
RR
Réaliste-romantique- Nombre de messages : 3255
Age : 48
Location : Outaouais, Québec
Date d'inscription : 30/12/2008
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