P.G. WODEHOUSE (Royaume-Uni/Etats-Unis)
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P.G. WODEHOUSE (Royaume-Uni/Etats-Unis)
De : Laetitia (Message d'origine) Envoyé : 2002-12-21 07:38
Gardez le sourire, Jeeves! - P.G. (Pelham Grenville) WODEHOUSE
Il y a de l’eau dans le gaz entre Madeline Bassett, fille de Sir Watkyn Bassett et Gussie Fink-Nottle, l’éleveur de tritons. Cette perspective épouvante suffisamment Bertram Wooster, pour qu’il se jette, la mort dans l’âme, dans la mêlée, même si, comme il l’avoue lui-même « quand je pense à cette maison de l’horreur je frémis comme une feuille de tremble, si les trembles sont bien ce que je crois ».
Eviter le mariage lui-même avec Madeline Bassett, ne pas se faire dévorer tout vivant par le gentil chien-chien de Stiffy, survivre aux étranglements de Spode… aucune des situations ne s’embarrasse de réalisme. N’importe, on rit à toutes les pages, au désastre annoncé, en sachant qu’à la fin, Jeeves, le majordome impeccable au cerveau prodigieux résoudra tout d’un haussement de sourcils. Pour les amateurs d'humour anglais uniquement ! 3,5/5
De : Friisette Envoyé : 2003-11-10 13:17
Gardez le sourire, Jeeves!
3/5
Un roman loufoque où Bertram Wooster doit utiliser toutes les ruses possibles pour éviter d'épouser Madeline Bassett. Il est le 2e sur la liste des prétendants mais le premier semble être bien prêt de prendre la porte. L'action se déroule au début du siècle et met aussi en scène la petite aristocratie anglaise de même que leur domesticité.
Au fil de ma lecture, je me suis surprise à éclater de rire à de nombreuses reprises, l'humour étant de mise tout au long du roman.
Par contre, l'intrigue n'est pas tellement vraisemblable et les rebondissements sont à la fois impossibles, incroyables et prévisibles.
C'est donc à lire si vous voulez une lecture de détente pas compliquée mais ce n'est définitivement pas le roman du siècle.
Gardez le sourire, Jeeves! - P.G. (Pelham Grenville) WODEHOUSE
Il y a de l’eau dans le gaz entre Madeline Bassett, fille de Sir Watkyn Bassett et Gussie Fink-Nottle, l’éleveur de tritons. Cette perspective épouvante suffisamment Bertram Wooster, pour qu’il se jette, la mort dans l’âme, dans la mêlée, même si, comme il l’avoue lui-même « quand je pense à cette maison de l’horreur je frémis comme une feuille de tremble, si les trembles sont bien ce que je crois ».
Eviter le mariage lui-même avec Madeline Bassett, ne pas se faire dévorer tout vivant par le gentil chien-chien de Stiffy, survivre aux étranglements de Spode… aucune des situations ne s’embarrasse de réalisme. N’importe, on rit à toutes les pages, au désastre annoncé, en sachant qu’à la fin, Jeeves, le majordome impeccable au cerveau prodigieux résoudra tout d’un haussement de sourcils. Pour les amateurs d'humour anglais uniquement ! 3,5/5
De : Friisette Envoyé : 2003-11-10 13:17
Gardez le sourire, Jeeves!
3/5
Un roman loufoque où Bertram Wooster doit utiliser toutes les ruses possibles pour éviter d'épouser Madeline Bassett. Il est le 2e sur la liste des prétendants mais le premier semble être bien prêt de prendre la porte. L'action se déroule au début du siècle et met aussi en scène la petite aristocratie anglaise de même que leur domesticité.
Au fil de ma lecture, je me suis surprise à éclater de rire à de nombreuses reprises, l'humour étant de mise tout au long du roman.
Par contre, l'intrigue n'est pas tellement vraisemblable et les rebondissements sont à la fois impossibles, incroyables et prévisibles.
C'est donc à lire si vous voulez une lecture de détente pas compliquée mais ce n'est définitivement pas le roman du siècle.
petitelune- Nombre de messages : 540
Age : 39
Location : Cantons de l'Est / Québec / Canada
Date d'inscription : 27/10/2008
P.G. WODEHOUSE (Royaume-Uni/Etats-Unis)
Le plus beau cochon du monde.
L'Impératrice de Blandings était la prunelle de l'oeil de lord Emsworth, neuvième comte du nom. Elle avait gagné deux années de suite le championnat de la catégorie des Cochons Gras à la foire agricoledu Shropshire et l'omprévoyait pour cette année une troisième et facile victoire... pourvu que... toujours pourvu que... ce Parsloe, propriétaire de sa rivale la plus redoutable, l'Orgueil de Matchingham, ne complotât point quelque mauvais tour pour consommer sa perte.
A partir de là, Wodehouse, avec son humour habituel, nous dresse un tableau de la vie quotidienne d'une famille aristocratique dans son château de Blandings. Clarence, comte d'Emsworth, est la distraction personnifiée et rien d'autre que son cochon ne compte pour lui. Les autres personnages sont Constance, la terrible soeur de Clarence, l'Honorable Galahad Threepwood, leur frère, Beach, le maître d'hôtel parfaitement stylé, sir Gregory Parsloe, et quelques invités. Comme dans tous ses livres, Wodehouse se moque gentiment de l'aristocratie anglaise. Certes, comme toujours chez ce grand humoriste, l'intrigue est aussi farfelue qu'invraisembable, mais cela n'a aucune importance, on rit beaucoup, à condition d'aimer l'esprit Wodehouse. J'ai lu ce livre pour la première fois il y a plus de cinquante ans, je l'ai prêté à des amis, il est toujours revenu, il m'a toujours accompagné, je l'ai toujours retrouvé avec un grand plaisir. Je viens de le relire à ma femme qui l'a beaucoup apprécié elle aussi. En fait, j'ai lu quelque part à propos de Wodehouse qu'il y avait deux sortes de lecteurs : ceux qui aiment et lisent tous les Wodehouse qui leur tombent entre les mains, et ceux qui ferment au bout de quelques pages le premier et unique livre de lui qui leur tombe entre les pattes. Ma note pour ce Cochon : 5/5.
L'Impératrice de Blandings était la prunelle de l'oeil de lord Emsworth, neuvième comte du nom. Elle avait gagné deux années de suite le championnat de la catégorie des Cochons Gras à la foire agricoledu Shropshire et l'omprévoyait pour cette année une troisième et facile victoire... pourvu que... toujours pourvu que... ce Parsloe, propriétaire de sa rivale la plus redoutable, l'Orgueil de Matchingham, ne complotât point quelque mauvais tour pour consommer sa perte.
A partir de là, Wodehouse, avec son humour habituel, nous dresse un tableau de la vie quotidienne d'une famille aristocratique dans son château de Blandings. Clarence, comte d'Emsworth, est la distraction personnifiée et rien d'autre que son cochon ne compte pour lui. Les autres personnages sont Constance, la terrible soeur de Clarence, l'Honorable Galahad Threepwood, leur frère, Beach, le maître d'hôtel parfaitement stylé, sir Gregory Parsloe, et quelques invités. Comme dans tous ses livres, Wodehouse se moque gentiment de l'aristocratie anglaise. Certes, comme toujours chez ce grand humoriste, l'intrigue est aussi farfelue qu'invraisembable, mais cela n'a aucune importance, on rit beaucoup, à condition d'aimer l'esprit Wodehouse. J'ai lu ce livre pour la première fois il y a plus de cinquante ans, je l'ai prêté à des amis, il est toujours revenu, il m'a toujours accompagné, je l'ai toujours retrouvé avec un grand plaisir. Je viens de le relire à ma femme qui l'a beaucoup apprécié elle aussi. En fait, j'ai lu quelque part à propos de Wodehouse qu'il y avait deux sortes de lecteurs : ceux qui aiment et lisent tous les Wodehouse qui leur tombent entre les mains, et ceux qui ferment au bout de quelques pages le premier et unique livre de lui qui leur tombe entre les pattes. Ma note pour ce Cochon : 5/5.
Franillon- Nombre de messages : 1676
Age : 89
Location : MONTMARTIN-SUR-MER (Manche)
Date d'inscription : 09/03/2009
Re: P.G. WODEHOUSE (Royaume-Uni/Etats-Unis)
Mon P.G. Wodehouse préféré ! :-)
s-lewerentz- Nombre de messages : 865
Location : La Chaux-de-Fonds, Suisse
Date d'inscription : 27/10/2008
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