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Norman SPINRAD (Etats-Unis)

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Norman SPINRAD (Etats-Unis) Empty Norman SPINRAD (Etats-Unis)

Message  Philcabzi Dim 21 Déc 2008 - 2:39

De : Shan_Ze (Message d'origine) Envoyé : 2005-02-13 12:41
La grande guerre des Bleus et des Roses de Norman Spinrad

Nous sommes sur Pacifica, qui préconise le droit à l'information de la population. Carlotta Madigan, la Présidente et Royce Lindblad sont en les principaux dirigeants . La tranquillité va etre troublée par l'arrivée successive des Transcendantaux et des Femmocrates, chacuns défendant leurs causes par ce qui faisait la force de Pacifica : les médias. L'égalité qui existait entre Pacificains et Pacificaines va se transformer en une forte opposition.
On se rend tout de meme bien compte du ridicule de chacune des deux campagnes et quelle politique est vraiment la bonne.

Meme si le début est un peu difficile pour se mettre dans l'ambiance du livre, on découvre par le moyen des courts ou moyens métrages des défauts de l'autre sexe mis en avant. Ces petits films sont en fait, des parodies pour mettre en dérision l'autre sexe. L'histoire étant basée sur le conflit Homme - Femme, on a quelques scènes très chaudes, assez bien décrites!!
Sinon, je l'ai trouvé un peu ennuyeux de temps en temps, j'ai relaché mon attention par les descriptions fastidieuses de la planète qui ne m'accrochaient pas vraiment!
Note : 3,5/5


De : joubjoub Envoyé : 2008-07-21 05:46
.:: Jack Barron et l'éternité (Norman SPINRAD) ::.

Titre original : Bug Jack Barron

Résumé : Jack Barron est une icône de la télévision, un redresseur de torts moderne, le donneur de coups de pied au cul pour cent millions de gogos accros à leur écran tous les mercredis soirs. Pour l'irrésistible présentateur, malgré la corruption, la pauvreté et la ségrégation, c'est le business qui compte avant tout... jusqu'à ce qu'il heurte de front les intérêts du tout-puissant Benedict Howards. Commence alors le feuilleton en direct d'un combat sans merci entre le pouvoir de l'argent et de la politique et celui des médias. Mais la lutte peut-elle être équitable lorsque l'immortalité elle-même fait pencher la balance ? (Source : J'ai Lu)

--------------------------------------------------------------------------------

Lors de sa prépublication dans le magazine anglais New Worlds à la fin des années soixante, ce roman souleva un véritable scandale au Royaume-Uni. Le style de Norman Spinrad est littéralement décapant, aussi bien par les thèmes qu'il aborde que par sa manière de réinventer une écriture au rythme psychédélique, aux rugosités décuplées par l'usage de l'argot et de descriptions érotiques crues.

Ce roman traite de la relation de la télévison et de la politique. Il offre une incroyable vision sur le pouvoir des médias et son influence plus que perceptible sur la politique et la société de notre futur proche (ou présent ?).

Ce roman est une violente critique sociale. Le monde politique y apparaît comme miné par les calculs de pouvoir et la corruption. Le monde des médias télévisés, avec ses contraintes politiques et financières, donne l'impression d'une totale vacuité morale. Et en filigrane, l'ouvrage constitue aussi un réquisitoire sur l'exploitation du tiers monde.

Bourré d'humour noir grâce au personnage fabuleux de Jack Barron, ce classique percutant et toujours moderne est plus que jamais d'actualité.

Note : 5/5


De : gallomaniac Envoyé : 2008-07-22 07:04
Jack Barron et l'éternité - Norman Spinrad. Ma note 4,5/5
Titre original: Bug Jack Barron, 1969; traduction française Guy Abadia, J'ai lu 1978, 381 pg.

C'est juste il y a quelques semaines qu'on m'a recommandé ce livre comme un classique de la SF, donc, en lisant la critique de joubjoub je m'y suis mis.

Le récit: Jack Barron un AS des programmes de caractère réality-TV et grand dresseur de torts, se met a défier un grand de la finance Howards, qui s'est acheté des médécins et des politiciens pour avoir le monopole sur les méthodes de longué-vité, entre autres mais pas seulement l'hibernation. Duel devant 100 million de spectateurs sur plusieurs soirs d'émission. Duel aussi en cachette, où s'exerce normalement le Pouvoir.
Mais pourquoi Howards veut-il acheter Jack Barron, c'est ce que veut savoir Jack. Quel est le secret poignant, inavoubale de Howards et de sa fondation de la vie eternelle?
Le prix offert par Howards est tellement grand, amour et vie, que Jack se laisse acheter. À son regret, puisqu'il découvre qu íl y a maldonne et que Howard a pris tous les atouts en main. Mais quand pour son amie Sara l'amour est plus grand que la vie, les atouts changent pendant la dernière émission encore une fois de main.

Le meilleur livre de Spinrad, selon le quatrième de couverture. Le livre est écrit dans l' époque bien défini des années 1960: le temps de l'avènement des média audiovisuels, du sexe libre et du hashis, du temps de l'LSD (acide, maintenant une drogue obsolète), des émeutes racistes et (tels que Berkeley 1963) anti-guerre de Vietnam. Conséquemment, comme beaucoup de livres SF, il est daté dans ses détails.
Mais ces details se laissent facilement transposer au présent et le livre est resté un thriller de haute tension avec une intrigue qui est menée de main de maître, châpeau , et qui traite de tout une série de problemes médicaux-moraux et sociaux qui sont toujours d'actualité. Et pourtant, de tels histoires un peu macho, genre "partie de bras de fer", ne sont pas des coups de coeur pour moi. D'où ma note tout personnelle 4,5/5.
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Message  laurier Lun 2 Nov 2009 - 22:06


Norman SPINRAD (Etats-Unis) Spinrad-150x150

Norman SPINRAD
1940
“Le rêve américain est occulté et la lumière qui naguère éclairait le monde projette désormais une ombre funeste sur bien des points du globe.”
Les livres les plus importants de SPINRAD tournent autour de ce constat. Norman SPINRAD est un déçu de l’Amérique, de ce pays qui, pense-t-il, nous fait assister à une “histoire de Science Fiction en temps réel”.
Cet auteur s’est acquis une réputation de provocateur grâce à la publication en 1968 dans le magazine New Worlds de Jack Baron et l’éternité. (où il dénonce d’une façon vigoureuse le pouvoir des médias et de l’argent).
Avec le recul, le petit scandale soulevé par Jack Baron, ses scènes hardies et sa violence langagière (le livre lorgnait vers le Nova Express de William BURROUGHS), apparaît plus ou moins comme un malentendu. SPINRAD est un nostalgique de l’époque hippie et kennedyiste, du temps où le “modèle américain était synonyme d’espérance”.
Avec la guerre du Viêt-Nam, avec l’arrivée au pouvoir de Nixon (qui lui inspire la même haine qu’à Philip K.DICK), le rêve se brise. Dans Jack Baron, il y a beaucoup de rage mais il y aussi la force et l’insolence de celui qui se trouve encore dans le camp dominant.
Vingt ans plus tard, Les Années fléaux forment en trois longues nouvelles un tableau amer, inquiet, où affleure la paranoïa. Mais on ne peut vivre si longtemps sans amour : derrière cela, Le Printemps russe, qui répudie les Etats-Unis, s’éprend de manière touchante quoiqu’un peu puérile - et, on peut le craindre, fort optimiste - du Rêve européen.
Informations extraites du Guide “La Science-fiction” par Lorris MURAIL, ed.LAROUSSE

  • Bibliographie:
    Les solariens (1966 - Marabout 329)
    Les pionniers du chaos (1967 - Pocket 5433)
    Le chaos final (1967 - Pocket 5326)
    Jack Barron et l’éternité (1969 - Livre de Poche 7090)
    Rêves de fer (1972 - Pocket 5414)
    Les avaleurs de vide (1974 - Pocket 5413)
    Chants des étoiles (1980 - Pocket 5277)
    La grande guerre des bleus et des roses (1980 - Pocket 5212)
    Les miroirs de l’esprit (1980 - Pocket 5223)
    L’enfant de la fortune (1985 - Livre de Poche 7174)
    Rock machine (1987 - Livre de Poche)
    Les années fléaux (1990 - Denoël PDF 506)
    Le printemps russe (1991 - Denoël PDF 567 et568)
    Vamps (1994 - Denoël PDFantastique 37)
    Deux Ex (Denoël PDF 553)
    En direct (1995 - Denoël Présence)
    Le livre d’or de la SF : Norman SPINRAD (Pocket 5030)


Les avaleurs de vide :

Quatrième de couverture :
"Depuis des siècles qu'ils errent dans l'espace en quête d'une planète habitable, les vagabonds du Trek se sont presque accoutumés à vivre suspendus dans l'immensité interstellaire. Presque. Car l'espoir ne les a pas quittés de découvrir un jour, dans cet univers vide et sans vie, le nouvel Eden qui remplacera le monde que leurs ancêtres ont assassiné : la Terre. A bord des vaisseaux-torches, la Grande Migration sillonne l'abîme infini, précédée par des éclaireurs, les avaleurs de vide, qui, eux, connaissent l'insupportable vérité.

Mon commentaire

un bon livre de SF.
une quête vers une terre nouvelle, La Terre n'existe plus depuis longtemps.

Les trekers, sont les survivants errant depuis des générations dans l'espace,
en attendant, il mènent une vie de futilité, de changement de décors permanent sur les vaisseaux du Trek
Ils vivent de cet espoir d'un nouvel Eden.
Pour le chercher, les avaleurs de vide, sauf que les avaleurs de vide connaissent une autre réalité...
Ils connaissent la vérité...

Un bon suspens, des idées philosophiqus "pourquoi chercher toujours plus loin, ailleurs"
un livre sur l'espoir d'un renouveau, d'un monde meilleur, mais aussi sur notre coté autodestructeur et destructeur
Le dernier paragraphe en dit long sur ce sujet
une fin assez cruelle
4/5 Norman SPINRAD (Etats-Unis) 397940
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Message  Invité Mar 3 Nov 2009 - 20:33

laurier a écrit:
Merci pour cette présentation de Norman Spinrad, auteur à lire pour sa vision caustique de l'Amérique. En plus de Jack Barron, qui ne m'a pas laissé une marque très grande, de même que "la grande guerre des bleus et des roses", j'ai surtout lu à plusieurs reprises le fabuleux "Rock Machine", impressionnant de noirceur, et "les années fléaux", pour lequel j'avais réalisé le petit compte-rendu de lecture ci-dessous :

Loin d'être un genre littéraire mineur pour adolescents gavés de jeux vidéos, la science fiction (SF)passe toujours et encore comme étant peu crédible au yeux des autres genres dits « sérieux ». Il faut avouer que le pire y côtoie bien souvent le meilleur, mais reconnaissons que ce n'est pas non plus l'apanage du genre. Certains écrivains ont gagné leurs lettres de noblesse avec la SF (Franck Herbert et son cycle de Dune, Isaac Azimov et Fondation) et en ont fait une tribune pour porter sur nos futurs possibles des regards dévastateurs.

Parmi les nombreux auteurs de SF, Norman Spinrad est un cas à part. Toute son œuvre porte sur les États-Unis, vus sous un angle qui lui a attiré tellement de foudres qu'il préfère vivre à Paris. La lecture d'un seul de ses ouvrages fait tout de suite comprendre au lecteur les causes de son statut de persona non grata. De "Rock Machine" (ouvrage majeur sur les connexions réseau, le vedettariat, les drogues) à "Jack Barron", Spinrad met en coupe réglée toutes les images que l'Amérique souhaiterait se renvoyer à elle-même. Ses ouvrages ne sont pas dénués de parti pris ni d'exagérations ou de facilités, bien au contraire. Cependant, ses propos sont là pour dénoncer, provoquer, interpeller au moyen d'un langage d'une crudité qui peut être rébarbative à la longue et d'une ironie mordante.

Les « années fléaux » regroupe trois nouvelles « apocalyptiques » de Spinrad. La première, « chair à pavé » décrit un New-York transformé en jungle urbaine sans foi ni loi dans une Amérique en proie au chaos économique et à des inégalités sociales exacerbées. La ville est devenue le théâtre permanent d'une lutte sans merci pour survivre. C'est désespérant. La seconde nouvelle « les années fléaux » évoque une Amérique dévastée par un avatar du virus du Sida, le Fléau, où les malades sont parqués dans des zones de quarantaine, où le sexe virtuel a remplacé l'amour physique, où les
dirigeants du pays, baignant dans le fondamentalisme chrétien de la Bible belt, voient dans la maladie un signe de Satan. C'est dérangeant, noir et « hénaurme » tout à la fois. La dernière nouvelle, « la vie continue », se déroule à Paris, loin des foudres de la censure américaine qui ont poussé le protagoniste de l'histoire, l'auteur en personne, à s'exiler. C'est caustique mais peu convaincant.

Trois visions d'apocalypse, qui peuvent dater un peu par leur contexte car écrites dans les années quatre-vingt, dans lesquelles Spinrad règle des comptes personnels avec les États-Unis. Cet acharnement ne peut se comprendre que dans le contexte de l'œuvre globale de l'auteur, qui se veut un exposé permanent des craintes et des doutes face aux potentialités corruptrices du pouvoir, autant politique qu'économique et médiatique. L'Amérique est son seul sujet car, explique-t-il dans sa préface, « le reste du monde a, vis-à-vis de l'Amérique, un complexe et des relations émotionnelles ambivalentes comme n'en engendre aucune autre nation ». Elle est donc, de ce fait, aux yeux des autres peuples, toujours une sorte d'Eldorado, un rêve qui en fait le sujet parfait pour une œuvre de science-fiction. « Si la démocratie et la culture américaine survivent et prospèrent, il y a un
espoir pour un avenir transnational stable. Si l'Amérique se détruit de l'intérieur, cet avenir sera assurément bien triste. En un certain sens, les peuples du monde regardent l'Amérique et, pour le meilleur ou pour le pire, y voient leur devenir propre »
. Schématique et naïf, certes mais aux yeux de l'auteur, l'Amérique a cessé d'être un modèle pour le monde au moment de la guerre du Vietnam. Pourtant la fascination du monde pour ce pays continue.

Les écrits de science-fiction sont sans nul doute des prophéties de papier qui s'annulent parfois d'elles-mêmes, qui montent des sentiers sur lesquels nul ne souhaiterait s'engager. c'est leur principale vertu. Car, conclue Norman Spinrad, « si la science-fiction nous apprend quelque chose, c'est bien qu'il n'existe pas un seul futur possible. Nous façonnons collectivement nos futurs, chacun d'entre nous, heure après heure, minute après minute, décision après décision, et ceux qui ne méditent pas sur les futurs possibles sont très certainement condamnés à vivre le futur qu'ils n'auraient néanmoins pas
pu éviter de façonner »
.

En résumé, ce genre de récit apparaît comme étant ce que les navigateurs connaissent biens, des amers, ces repères visuels sur la côte que l'on voit du large. La saveur qu'on tire des « années fléaux » leur fait bien mériter ce nom.

Veilleur

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Message  laurier Mar 3 Nov 2009 - 20:45

Veilleur, je te remercie pour toutes ces précisions
elles éclairent l'œuvre de spinrad
je suis incapable d'écrire un texte comme le tien, de faire une analyse aussi poussée et clairvoyante
heureusement existent des gens comme toi et ce n'est pas ironique Norman SPINRAD (Etats-Unis) 108683
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Message  Invité Ven 22 Oct 2010 - 13:26

REVE DE FER

Voici un bien étrange, troublant et original roman de SF.
« Reve de fer » est un roman de Norman Spinrad, l’excellent auteur de « Jack Baron et l’éternité ». Reve de fer contient un autre roman : Le seigneur de Svastika ainsi qu’une courte bibliographie de l’auteur de ce roman, et une postface. L’originalité, le trouble et l’étrangeté de « Reve de fer » vient du fait que Le seigneur de Svastika est écrit par Adolf Hitler. Spinrad crée une uchronie dans laquelle, Hitler a quitté l’Allemagne et est devenu illustrateur puis auteur de SF reconnu : Le seigneur de Svastika a reçu le prix Hugo.

Dans le roman d’Hitler, le héros va évidemment être un humain qui va tenter de purifier le monde dans lequel il vit en prenant le pouvoir, en stérilisant la population, et en tuant les mutants et autres ennemis à travers des guerres salvatrives.

Au début, la lecture est plaisante car, le recul et le second degré, à travers le procédé de la mise en abyme, mettent en perspective le récit et rendent grotesque l’histoire et le narrateur. Mais plus on avance, et plus la lecture se révèle gênante, il devient difficile de garder cette fameuse distance entre l’histoire et le procédé narratif, et cela crée une sorte de malaise. Du coup, les 250 pages du roman semblent longues. Heureusement, pour qu’il y ait une sorte de réconciliation entre le véritable auteur (Spinrad) et le lecteur, se trouve une postface d’un auteur là encore fictif qui démontre pourquoi le Seigneur de Svastika est un mauvais roman.

La lecture de ce roman crée véritablement une sensation de malaise très étrange car elle naît à un niveau subconscient (je ne fais pas de psychologie, cela ne veut peut être rien dire) Ce que j'entends par là, c'est qu'on ne peut maintenir continuellement le filtre auteur-narrateur-2nd narrateur-lecteur, ainsi, on se force à lire un roman qui est mauvais (même volontairement) d'un point de vue littéraire, totalement immoral, et le pire, c'est lorsque l'on se rend compte, que le "héros" va évidemment, vu "l'auteur", arriver à ses fins.

Donc, je ne peux pas dire que j’ai aimé ce livre, ce qui -je pense- est l’effet désiré, mais il faut avouer que cette lecture est une véritable expérience qui ne peut pas laisser indifférent.
Pour les raisons évoquées, je ne saurai pas sur quels critère noter ce livre..

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Message  Philcabzi Ven 22 Oct 2010 - 13:29

Alors là tu m'intrigue avec ce roman! Je vais voir si je peux le trouver.

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Lecture du moment: Le collier de la reine de Alexandre Dumas
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