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Edward Morgan FORSTER (Royaume-Uni)

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Lionel de Lyon
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Message  Cocotte Mar 23 Déc 2008 - 21:20

De : edward - Edward Morgan FORSTER (Royaume-Uni) Cool_global_nickedward - Edward Morgan FORSTER (Royaume-Uni) Cs-lewerentz (Message d'origine)Envoyé : 2008-12-15 03:26
A room with a view

Florence, début du 20e s. En voyage culturel avec sa cousine (et chaperon) Charlotte, la jeune Lucy Honeychurch fait la connaissance de Mr Emerson et son fils George qui logent dans la même pension (pour Anglais) qu’elles. Malgré que les autres résidents regardent un peu de haut les Emerson à cause de leur milieu social inférieur au leur, Lucy est attirée par eux. Elle réalise également bientôt que George est épris d’elle ; elle en est quelque peu effrayée et son trouble augmente encore lorsqu’elle se rend compte qu’elle est elle-même attirée par lui. Et lorsque George l’embrasse lors d’une excursion à Fiesole, elle est obligée de rentrer en Angleterre, où elle retrouve son monde familier (visites, église, tennis, thé et shopping). Elle accepte la demande en mariage de Cecil Vyse, un jeune homme intellectuel et bien né mais aussi plutôt imbu de lui-même. Lucy pense l’aimer et sa mère est ravie de cet engagement. Mais le voyage en Italie a changé la jeune femme, lui a ouvert de nouveaux horizons, de nouvelles façons de penser. De plus, elle n’arrive pas complètement à oublier George...

Bon, OK, ce roman peut paraître sentimental et sans grand intérêt... Mais c’est une belle histoire d’amour et la « lutte » de Lucy pour tenter de clarifier ses sentiments pour deux hommes existe toujours ! Elle veut garder secret son amour pour George, car elle sait que son entourage ne la comprendra pas. Forster lui-même était dans la même position, puisqu’il était attiré par les hommes mais l’a caché toute sa vie.

ais surtout, j’ai trouvé intéressant d’en apprendre plus sur la façon dont les codes sociaux régissaient autrefois la société (moyenne bourgeoisie anglaise), et l’importance donnée à la position sociale et aux façons de se comporter. Ça peut sembler parfois un peut ridicule, du moins prêter à sourire, mais en même temps, on peut comprendre les motifs des personnages. Leurs tentatives pour effacer les barrières sociales, pour se comprendre et communiquer – des thèmes qui sont d’ailleurs (et malheureusement) toujours d’actualité. Forster oppose deux groupes de personnages : ceux qui acceptent la société telle qu’elle est (Cecil, Charlotte, Mrs Honeychurch) et ne changent pas de comportement ; et ceux dont les idées et le comportement évoluent en même temps que l’histoire se déroule (Lucy, les Emerson). Les seconds se posent des questions et tentent de changer même si les premiers essaient des les en empêcher.
J’ai bien aimé aussi la caricature des Anglais en Italie, leur snobisme et leur sentiment de supériorité. L’Italie est présentée comme un pays libre où les gens ne sont pas autant « corsetés » qu’en Angleterre. L’atmosphère et les paysages toscans invitent à cette liberté.

Petite explication du titre : le roman commence par la déception de Lucy et Charlotte de ne pas avoir les chambres avec vue qu’on leur avait promis à la pension. Les Emerson, qui eux en ont une, leur proposer d’échanger, ce qu’elles finissent par accepter. Mais Forster utilise aussi les mots « chambre » et « vue » pour définir les comportements « conventionnel » et « non conventionnel » de ses différents personnages. Ainsi, Cecil et Mrs Honeychurch apparaissent presque toujours dans le roman dans des « chambres, des pièces » ; alors que les Emersons ou Freddy (le frère de Lucy) interviennent en extérieurs – une façon de montrer leur ouverture d’esprit et leur imagination. Charlotte veut une « chambre avec vue » mais n’a que peut d’intérêt à découvrir la ville. Lucy est heureuse d’avoir une belle vue, car ça l’encourage à découvrir la ville par elle-même. Quant aux Emerson, ils préfèrent découvrir la ville in situ plutôt que de la regarder par la fenêtre.

Né en 1879 à Londres, Edward Morgan Forster a grandi dans l’Angleterre victorienne et n’a jamais réellement su s’adapter aux grands changements sociaux de la fin du 19e s. Il a étudié à Cambridge puis parcouru l’Europe en compagnie de sa mère, avec laquelle il a vécu jusqu’à la mort de celle-ci. Il a également visité l’Inde et l’Egypte, consignant ses observations pour ensuite les ré-utiliser dans ses romans. En 1916, à Alexandrie, il rencontre un jeune homme de dix-sept ans duquel il tombe amoureux, mais le garçon meurt en 1922, laissant Forster inconsolable. Après 1924 et la publication de Route des Indes, il n’écrit plus que des nouvelles, argumentant que le monde changeait trop rapidement pour lui pour réussir à le comprendre et le décrire dans des romans. Dans les années 30 et 40, il travaille pour la radio et, après la mort de sa mère (en 1945), il enseigne à King’s College, à Cambridge, jusqu’à sa mort en 1970.
Parmi ses autres romans connus : Howards End (1910) et Maurice (publié après sa mort mais écrit vers 1913, car il parle d’homosexualité).

4/5

(éd. Penguin Books/Pearson Education Ltd, 2008 – titre français: Avec vue sur l’Arno, disponible chez 10-18)
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Message  Ondine Lun 28 Déc 2009 - 17:05

Avec vue sur l’Arno
10/18, 2006
284 p.
Note : 5/5


4eme de couverture :
Lucy Honeychurch n'aurait jamais pu partir à la découvertede l'Italie comme toute jeune Anglaise de bonne famille sans la surveillance
d'un chaperon zélé, sa cousine Charlotte. A leur arrivée à Florence, les deux voyageuses constatent avec dépit que la chambre qui leur a été réservée n'a pas de vue sur l'Arno. En violation de toutes les convenances, deux inconnus, M. Emerson et son fils George, leur proposent de leur échanger la leur qui, elle, donne sur le fleuve. L'attitude cavalière de George envers Lucy et le peu de résistance qu'elle lui oppose poussent Charlotte à décider d'abréger leur séjour. Mais le hasard va à nouveau réunir les Emerson et les Honeychurch, en Angleterre cette fois... Un roman délicieux sur l'éveil des sentiments et le poids des conventions sociales par un des maîtres de la littérature anglaise.


La simple lecture des titres des chapitres donne le ton et le cadre du roman : début du XXe siècle, dans le monde de la bourgeoisie anglaise d’abord en Italie puis en Angleterre. Forster critique avec humour les conventions sociales artificielles et parfois absurdes qui empêchent les jeunes gens de vivre leur vie comme ils la souhaiteraient. Ainsi Mr Beebe le clergyman «qui a l’air d’un homme en vacances» disant de Lucy Honeychurch : «Je soupçonne qu’un jour viendra où elle vivra comme elle joue, merveilleusement. » (p.125). L’intrigue est là : qui Lucy va-t-elle choisir ? Le très intellectuel Cecil Vyse ou le peu conventionnel George Emerson ? Le lecteur est parfois pris à partie: « Lucy aimait Cecil ; George la rendait nerveuse ; le lecteur sera-t-il assez bon pour l’inviter à intervertir les termes ? (p.194)

Les personnages sont complexes et évoluent au fil du roman: Lucy Honeychurch, Charlotte Bartlett -la cousine vieille-fille qui sert
de chaperon-, George Ermerson et son père -des « socialistes » (shoking !) qui dérangent la bonne société par leur ton et leurs idées-, Miss Lavish-la romancière indiscrète-, Mr Beebe, Cecil Vyse-le fiancé amateur d’art italien- etc. Aucun n’échappe à l’œil critique de l’auteur.

En toile de fond et en beaucoup moins sulfureux que dans L’amant de Lady Chatterley de Lawrence (publié à la fin des années 1920 donc bien après A Room with a View, 1908), on retrouve l’idée que la nature, l’amour, la vie, sont étouffés par la société conventionnelle et « l’intellectualisme ».

Une belle écriture au service d’une intrigue riche et d’une histoire d’amour qui ravira les amateurs de Jane Austen et de l’humour british !

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Message  anna44 Mar 29 Déc 2009 - 22:57

Une chouette idée de lecture. Je le note de suite en haut de ma LAL Wink

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Message  Lionel de Lyon Mer 30 Déc 2009 - 10:09

Excellent auteur dont j'apprécie beaucoup le style.

Il est à noter que James Ivory a remarquablement adapté pour le cinéma plusieurs de ses romans. Ce sont d'ailleurs ses meilleurs films...
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Message  Ondine Jeu 11 Mar 2010 - 18:36

10/18, 279 p.
4/5


Maurice Hall issu d'une famille bourgeoise fait, depuis qu'il est jeune garçon, des rêves qu'il s'explique mal et fait preuve d'un tempérament plutôt mélancolique. A 19 ans, il entre à Cambridge où il se lie d'amitié avec Clive Durham. Clive joue le rôle de révélateur pour Maurice en lui avouant qu'il l'aime et même si les pensées de Maurice restent encore confuses il comprend enfin les sentiments le tourmentaient depuis son enfance. Ils finissent leurs études ensemble puis Clive se prépare à devenir avocat et Maurice se lance dans les affaires à la Cité devenant en même temps à 23 ans, le nouveau chef de sa famille. Or Clive, qui se remet lentement d'une grosse grippe, se rend compte lors de sa convalescence non seulement qu' il n'aime plus Maurice mais qu'en plus, il est désormais attiré par les femmes! Cela désespère Maurice et l'ébranle fortement dans sa façon de vivre son homosexualité. Il va même consulter des médecins pour tenter de se guérir de sa « lubricité ». Entre temps, Clive se marie et se lance dans la politique. Invité pendant l'été dans la demeure des Durham Maurice y rencontre Alec Scudder, le garde chasse, avec qui il connait pour la première fois l'amour physique. Double problème à surmonter pour Maurice: Alec n'est qu'un domestique, ne risque t-il pas de le faire chanter (l'homosexualité étant un délit à cette époque en Angleterre)? Cet amour peut-il être sinon ouvertement du moins sincèrement vécu?

A la lecture de Maurice, on comprend pourquoi Forster à tant été loué pour son style même si je regrette que le ton humoristique présent dans Avec vue sur l'Arno ne soit pas plus présent dans ce roman. Maurice est un roman plus intimiste qui parle finement de l'éveil des sentiments et de la sexualité ainsi que de l'acceptation de soi. Au delà de ce roman d'apprentissage où l'on suit Maurice Hall de la découverte de l'homosexualité à son acceptation pleine et entière, on retrouve les thèmes chers à Forster avec en toile de fond un tableau critique de la société anglaise: pudibonderie étouffante -la relation de couple entre Clive et sa femme en est un exemple typique-; évolution de la société: à l'époque où Maurice était petit garçon les domestiques « trouvaient normal qu'un gentleman fût arrogant » or une vingtaine d'années plus tard Alec dit à Maurice « Je vaux autant que vous »!; cynisme des riches qui donnent aux œuvres de bienfaisance mais veulent placer leur capital à 6% participant ainsi à la spéculation; hypocrisie religieuse des mères de Clive et Maurice et du pasteur Mr Borenius.
Clive l'helléniste, l'intellectuel, rejeton d'une aristocratie finissante dont le pouvoir et la richesse s'effrite, à l'image de la demeure familiale, fini marié et conservateur. Lui qui a fait découvrir à Maurice l'amour homosexuel dira à la fin que « l'amour entre hommes n'est excusable que s'il est platonique », il vivra la normalité des autres et l'amour « naturel » quant à Maurice, plus « frustre », en proie aux doutes tout au long du roman, il trouvera finalement la force de s'accepter tel qu'il est inversant et dépassant la situation de départ en considérant que « « naturel » signifie seulement « propre à chacun » » (p.250)

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Message  Liza_lou Jeu 11 Mar 2010 - 20:59

Elle est belle ta critique Ondine... EM Forster fait parti de ces auteurs que je rêve de lire un jour!

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Message  Ondine Ven 12 Mar 2010 - 20:35

Commence ta découverte par Avec vue sur l'Arno, c'est drôle et très agréable à lire, ça donne envie d'en lire plus!
Par ailleurs l'adaptation de James Ivory est très fidèle au roman. (Quant au casting il est amusant de constater que les actrices incarnant Lucy Honeychurch et Charlotte Bartlett se retrouvent toutes deux à jouer des années plus tard dans ...Harry Potter! Helena Bohnam Carter, la délicate Lucy, y devient la méchante sorcière Bellatrix et Maggie Smith, la cousine-chaperon, y incarne le professeur Mcgonagall!)

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Message  Invité Sam 13 Mar 2010 - 13:04

Personnellement mon préféré est La route des Indes, un livre foisonnant et inoubliable. Mais j'ai aussi apprécié les autres, dont Avec vue sur l'Arno, peut être un peu plus léger.

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Message  Lionel de Lyon Ven 19 Mar 2010 - 15:12

Maurice reste pour moi un souvenir inoubliable de lecture...
Mon premier roman "gay"...
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Message  cookie610 Jeu 2 Juin 2011 - 16:02

Avec vue sur l'Arno

Note : 3.5/5


Le résumé a déjà été fait ci-dessus

Critique
: Une critique intéressante de la bourgeoisie du début du XXème siècle et de ses conventions sociales. Lucy est un personnage attachant pris entre ses sentiments et son sens moral. On fait le voyage avec elle en Italie d'abord; puis en Angleterre. EM Forster rend admirablement bien l'ambiance et le milieu de l'époque. Il dresse une magnifique galerie de portraits entre les vieilles filles bégotes, les "socialistes", l'intellectuel froid et gauche. L'intrigue n'est pas très surprenante mais j'ai trouvé que le roman manquait un peu de rythme par moment, surtout au début de la seconde partie. Je vous recommande également l'adaptation ciné de James Ivory que j'ai vu il y a quelques temps déjà et que j'avais adoré.
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Message  Van Mar 2 Juil 2013 - 19:25

Avec vue sur l’Arno
 
Lucy Honeychurch est à Florence avec sa cousine et chaperon, Charlotte. Elles y font la connaissance de M. Emerson et de son fils Georges, qui, en tentant de leur faire plaisir, vont terriblement embarrasser Lucy, mais bien plus encore Charlotte. Celle-ci va tout faire pour que Lucy ne fréquente pas ces personnes non convenables à son avis.
 
J’ai eu un mal fou à entrer dans ce livre. Toutes ces convenances et autres m’ont terriblement agacée, de même que le personnage de Charlotte. Tous les personnages m’ont paru fades et sans intérêt. J’ai quand même persisté, je ne voulais pas abandonner ce livre, j’en avais entendu du bien. Je l’ai donc fini, surtout par curiosité, et en survolant beaucoup. Je ne pense pas que ce soit l’époque qui m’ait embêtée, puisque je l’apprécie plutôt bien. Ce sont vraiment les personnages qui ont manqué de profondeur, à mon avis… Un Georges inexistant et sans charme, une Lucy d’une naïveté affligeante malgré sa volonté de passer outre les convenances (pas assez approfondi), Charlotte n’en parlons pas, et les autres, je m’en rappelle même plus….
Bien dommage.
 
Note : 2/5
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Message  Lacazavent Mar 2 Juil 2013 - 20:00

Mince alors entre Cookie puis toi j' ai de moins en moins envie de lire ce livre Sad
Tant pis, à l' occasion peut-être.

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