Dominique FERNANDEZ (France)
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Dominique FERNANDEZ (France)
gallo Dim 2 Nov 2008 - 19:23
De : lalyre7032 (Message d'origine) Envoyé : 22/03/2006 16:23
La course à l’abîme - Dominique Fernandez
Livre de poche
Dans ce livre ,l’auteur nous trace le portrait du Caravage,un homme provocant et turbulent dans un siècle bouleversé,traversé de conflits et de rivalités.Né en 1571 à Caravaggio en
Lombardie,à onze ans il est placé dans l’atelier de maître Simone Peterzano à Milan,mais c’est surtout dans la contemplation d’œuvres d’autres peintres,qu’il invente une autre façon de peindre et c’est de Bacchus malade à une Madeleine repentante ou de la Vocation de
Saint- Mathieu à la Corbeille de fruits que Caravage crée et impose l’impression de mouvements des corps et ces idées lui vaudront quelques séjours en prison car cet homme a un besoin constant de se mettre en danger parce que associal,amoral avec ses obsessions,ses hantises,ses désirs sexuels et surtout homosexuels et pourtant adulé des princes comme de la papauté mais rebelle aux ordres établis.En réalité il y a une histoire romanesque parce qu’il vit en couple avec son premier jeune amant qui lui servira souvent de modèle et un jour il débauchera un jeune gigolo d’un cardinal ce qui l’incitera à prendre la fuite étant condamné à mort pour ce qu’on appellerait maintenant pédophilie.En somme une vie troublante et inquiètante car il va même jusqu’au meurtre pour venger son amant et lui mourra d’une façon mysterieuse.
Mon avis :j’ai aimé ce livre parce que que l’auteur nous fait suivre le peintre pas à pas,en entrant non seulement dans ces tourments mais aussi parce qu’il émaille son roman de descriptions exactes des tableaux( je dis cela parce que en lisant,je consultais
l’album Caravaggio de chez Taschen ) et j’y retrouvais tous les détails.Quelle joie et vraiment un moment de bonheur en lisant cette petite brique de 785 P.Peut-être est ce parce que je m’interesse aux peintures ?? Gros coup de cœur !!!!!
5/5
Lalyre
De : doriane99 Envoyé : 09/05/2007 14:27
Dominique FERNANDEZ - La course à l'abîme
Grasset 638p
L'Histoire de la vie de Michelangelo Merisi, plus connu sous son pseudonyme : Le Caravage. Marginal, refusant l'ordre établi, il est néanmoins courtisé par les plus grands nobles et par le Clergé.
Il est très intéressant de se voir expliquer chacun des tableaux du "Caravaggio", de comprendre le contexte dans lequel ils ont été peints, quelles ont pu être les motivations du peintre explicant tel ou tel détail. Néanmoins, j'ai reproché beaucoup de longueurs dans ce livre qui aurait très bien supporté quelques centaines de pages en moins !
Un avant-gardiste, qui a voulu se démarquer de ses contemporains :
"Content, l'adjectif est trop faible pour exprimer le sentiment qui me gonfla d'un orgueil subit et décupla ma volonté de peindre. Je serai le premier à innover véritablement, le premier qui apporterait dans l'art, non seulement un "progrès" sur mes devanciers, notion équivoque et qui n'a pas grand sens, mais une rupture, une révolution... à la place des Ganymède pâmés entre les serres de l'aigle... un peintre oserait descendre sur les berges du Tibre et faire poser devant lui les petites canailles..."
"Ri-nascimento, Renaissance, re-naître, quel étrange idéal, me disais-je une fois de plus. mettre ses pas dans les pas d'autrui, chercher à s'égaler à ses ancêtres, être fier de se hisser à leur niveau, borner là son ambition, quelle piètre idée c'est se faire de la gloire !"
Un livre qui donne, malgré ses longueurs, l'envie d'étudier de plus près les oeuvres du Caravage.
J'ai trouvé un blog qui regroupe la quasi totalité des oeuvres décrites dans le livre et qui permet ainsi de "décortiquer" les tableaux :
http://caravage.canalblog.com/
3,75/5
La course à l’abîme - Dominique Fernandez
Livre de poche
Dans ce livre ,l’auteur nous trace le portrait du Caravage,un homme provocant et turbulent dans un siècle bouleversé,traversé de conflits et de rivalités.Né en 1571 à Caravaggio en
Lombardie,à onze ans il est placé dans l’atelier de maître Simone Peterzano à Milan,mais c’est surtout dans la contemplation d’œuvres d’autres peintres,qu’il invente une autre façon de peindre et c’est de Bacchus malade à une Madeleine repentante ou de la Vocation de
Saint- Mathieu à la Corbeille de fruits que Caravage crée et impose l’impression de mouvements des corps et ces idées lui vaudront quelques séjours en prison car cet homme a un besoin constant de se mettre en danger parce que associal,amoral avec ses obsessions,ses hantises,ses désirs sexuels et surtout homosexuels et pourtant adulé des princes comme de la papauté mais rebelle aux ordres établis.En réalité il y a une histoire romanesque parce qu’il vit en couple avec son premier jeune amant qui lui servira souvent de modèle et un jour il débauchera un jeune gigolo d’un cardinal ce qui l’incitera à prendre la fuite étant condamné à mort pour ce qu’on appellerait maintenant pédophilie.En somme une vie troublante et inquiètante car il va même jusqu’au meurtre pour venger son amant et lui mourra d’une façon mysterieuse.
Mon avis :j’ai aimé ce livre parce que que l’auteur nous fait suivre le peintre pas à pas,en entrant non seulement dans ces tourments mais aussi parce qu’il émaille son roman de descriptions exactes des tableaux( je dis cela parce que en lisant,je consultais
l’album Caravaggio de chez Taschen ) et j’y retrouvais tous les détails.Quelle joie et vraiment un moment de bonheur en lisant cette petite brique de 785 P.Peut-être est ce parce que je m’interesse aux peintures ?? Gros coup de cœur !!!!!
5/5
Lalyre
De : doriane99 Envoyé : 09/05/2007 14:27
Dominique FERNANDEZ - La course à l'abîme
Grasset 638p
L'Histoire de la vie de Michelangelo Merisi, plus connu sous son pseudonyme : Le Caravage. Marginal, refusant l'ordre établi, il est néanmoins courtisé par les plus grands nobles et par le Clergé.
Il est très intéressant de se voir expliquer chacun des tableaux du "Caravaggio", de comprendre le contexte dans lequel ils ont été peints, quelles ont pu être les motivations du peintre explicant tel ou tel détail. Néanmoins, j'ai reproché beaucoup de longueurs dans ce livre qui aurait très bien supporté quelques centaines de pages en moins !
Un avant-gardiste, qui a voulu se démarquer de ses contemporains :
"Content, l'adjectif est trop faible pour exprimer le sentiment qui me gonfla d'un orgueil subit et décupla ma volonté de peindre. Je serai le premier à innover véritablement, le premier qui apporterait dans l'art, non seulement un "progrès" sur mes devanciers, notion équivoque et qui n'a pas grand sens, mais une rupture, une révolution... à la place des Ganymède pâmés entre les serres de l'aigle... un peintre oserait descendre sur les berges du Tibre et faire poser devant lui les petites canailles..."
"Ri-nascimento, Renaissance, re-naître, quel étrange idéal, me disais-je une fois de plus. mettre ses pas dans les pas d'autrui, chercher à s'égaler à ses ancêtres, être fier de se hisser à leur niveau, borner là son ambition, quelle piètre idée c'est se faire de la gloire !"
Un livre qui donne, malgré ses longueurs, l'envie d'étudier de plus près les oeuvres du Caravage.
J'ai trouvé un blog qui regroupe la quasi totalité des oeuvres décrites dans le livre et qui permet ainsi de "décortiquer" les tableaux :
http://caravage.canalblog.com/
3,75/5
gallo- Nombre de messages : 2598
Location : Pays-Bas
Date d'inscription : 29/10/2008
Re: Dominique FERNANDEZ (France)
Invité Dim 22 Fév 2009 - 17:23
Ramon Dominique Fernandez Grasset 2009
794 P.
Ce livre n'est pas une biographie car l'auteur bien sûr parle beaucoup de Ramon,son père mais aussi de sa mère,remonte à l’origine de ses ancêtres,il nous parle aussi beaucoup d'écrivains et de poètes,évidement tous ces gens ont vécu à la même époque que son père.Parlons de lui justement qui tient quand même une certaine place dans le livre,né en 1894,il devient l'un des plus grand intellectuel de son époque,considèré comme un grand écrivain socialiste.,il participe à la création de nombreux journaux intellectuels. En 1937,il adhère au Parti populaire français suivant la même voie que Doriot.Il collabore dans un journal pro-hitlérien avec Alphonse de Châteaubriand. En 1941,il participe à l'effort de collaboration de la France avec l'Allemagne nazie,à la tête d'un groupe de sept écrivains,il se rend en Allemagne ayant accepté l'invitation du ministre de la culture Goebbels pour le congrès de Weimar,la ville de Goethe.A leur retour,plusieurs d'entr'eux sont enchantés et quelques-uns dont Ramon publient des hommages à Goebbels,Ramon en est déjà à la collaboration passive.En juillet 1943,les autorités allemandes proposent à Gaston Gallimard de prendre Ramon comme directeur de La Nouvelle Revue française mais ses activités pro-hitlèriennes ne l'empêchent pas de mener une vie d'amusement ,d'ivresse et de femmes, de rencontrer des écrivains de l'autre bord.Cela est une petite partie de sa vie politique,il mourra en août 1944,peu de temps avant la libèration,ses obsèques se font avec les honneurs ,en présence nombreuses personnes de l'élite de la collaboration ,il semblerait qu'il était repris sur la liste de l'épuration dès la libèration.En parallèle de sa vie politique ,l'auteur raconte la vie de sa mère qu'il décrit avec de la tendresse,nous parle de ce père qu'il a côtoyé avec crainte,un père qui a toujours ignoré ses enfants.Il nous parle beaucoup du monde littéraire de cette époque ,s'égarant parfois dans la biographie de certains.c'est l'histoire du couple de ses parents sans doute un peu romancée,après dix ans de vie commune,de sorties mondaine ,le couple divorce,Ramon se met en mènage avec une certaine Betty qui sera tondue à la libèration, cet homme plaît beaucoup, d'origine mexicaine ,les cheveux noirs gominé ,un dandy qui dépense beaucoup d’argent,vit au crochet de sa femme,un homme qui reste sous la coupe d'une mère despote.tout cela dans une atmosphère littéraire ou l'on découvre aussi que tels ou tels étaient homosexuels mais à l'époque ce mot n'existait pas,on appelait ces hommes des invertis......
Je n'en dis pas plus car je pense que mon résumé décrit assez bien ce milieu d'écrivains ,de poètes au moeurs pas toujours nettes.De Ramon Fernandez,il ne semble pas rester beaucoup d’écrits un peu comme si on avait voulu l’oublier…..Le livre est intéressant car
L' histoire y est bien présente mais c'est une lecture ardue et j'avoue avoir lu une centaine de pages en diagonale .Impossible de coter ce livre qui n'est ,ni un roman,ni un essai,pas même une biographie mais difficile à lire....mais j’y ai appris encore beaucoup sur cette époque et ses écrivains……
794 P.
Ce livre n'est pas une biographie car l'auteur bien sûr parle beaucoup de Ramon,son père mais aussi de sa mère,remonte à l’origine de ses ancêtres,il nous parle aussi beaucoup d'écrivains et de poètes,évidement tous ces gens ont vécu à la même époque que son père.Parlons de lui justement qui tient quand même une certaine place dans le livre,né en 1894,il devient l'un des plus grand intellectuel de son époque,considèré comme un grand écrivain socialiste.,il participe à la création de nombreux journaux intellectuels. En 1937,il adhère au Parti populaire français suivant la même voie que Doriot.Il collabore dans un journal pro-hitlérien avec Alphonse de Châteaubriand. En 1941,il participe à l'effort de collaboration de la France avec l'Allemagne nazie,à la tête d'un groupe de sept écrivains,il se rend en Allemagne ayant accepté l'invitation du ministre de la culture Goebbels pour le congrès de Weimar,la ville de Goethe.A leur retour,plusieurs d'entr'eux sont enchantés et quelques-uns dont Ramon publient des hommages à Goebbels,Ramon en est déjà à la collaboration passive.En juillet 1943,les autorités allemandes proposent à Gaston Gallimard de prendre Ramon comme directeur de La Nouvelle Revue française mais ses activités pro-hitlèriennes ne l'empêchent pas de mener une vie d'amusement ,d'ivresse et de femmes, de rencontrer des écrivains de l'autre bord.Cela est une petite partie de sa vie politique,il mourra en août 1944,peu de temps avant la libèration,ses obsèques se font avec les honneurs ,en présence nombreuses personnes de l'élite de la collaboration ,il semblerait qu'il était repris sur la liste de l'épuration dès la libèration.En parallèle de sa vie politique ,l'auteur raconte la vie de sa mère qu'il décrit avec de la tendresse,nous parle de ce père qu'il a côtoyé avec crainte,un père qui a toujours ignoré ses enfants.Il nous parle beaucoup du monde littéraire de cette époque ,s'égarant parfois dans la biographie de certains.c'est l'histoire du couple de ses parents sans doute un peu romancée,après dix ans de vie commune,de sorties mondaine ,le couple divorce,Ramon se met en mènage avec une certaine Betty qui sera tondue à la libèration, cet homme plaît beaucoup, d'origine mexicaine ,les cheveux noirs gominé ,un dandy qui dépense beaucoup d’argent,vit au crochet de sa femme,un homme qui reste sous la coupe d'une mère despote.tout cela dans une atmosphère littéraire ou l'on découvre aussi que tels ou tels étaient homosexuels mais à l'époque ce mot n'existait pas,on appelait ces hommes des invertis......
Je n'en dis pas plus car je pense que mon résumé décrit assez bien ce milieu d'écrivains ,de poètes au moeurs pas toujours nettes.De Ramon Fernandez,il ne semble pas rester beaucoup d’écrits un peu comme si on avait voulu l’oublier…..Le livre est intéressant car
L' histoire y est bien présente mais c'est une lecture ardue et j'avoue avoir lu une centaine de pages en diagonale .Impossible de coter ce livre qui n'est ,ni un roman,ni un essai,pas même une biographie mais difficile à lire....mais j’y ai appris encore beaucoup sur cette époque et ses écrivains……
Invité- Invité
Re: Dominique FERNANDEZ (France)
Ysla Sam 6 Mar 2010 - 16:55
LA COURSE A L'ABIME
A noter qu'il existe deux autres biographies fictives de ce peintre (plus courtes) :
Il se mit à courir le long du rivage de Christian Liger
Le Caravage, peintre de G Walter
Une biographie vraisemblablement très fictive, qui s'inspire principalement des tableaux du peintre pour broder sa vie autour. L'idée n'est pas mal trouvée d'ailleurs, mais le résultat ne m'a guère convaincue.
Je vous explique pourquoi :
Qu'est-ce que j'ai trouvé le temps long ! 638p, mais c'est trop, c'est beaucoup trop ! Et pas seulement parce que je ne suis pas adepte des pavés, là il y a vraiment des longueurs et des passages qui auraient pu être enlevés. Je n'en voyais pas la fin et j'ai vraiment poussé un ouf de soulagement en arrivant au but (ce qui ne m'arrive pas souvent).
Le style nuit particulièrement au récit. Je ne sais pas comment le qualifier, simplement je n'ai pas du tout adhéré. En plus, j'ai trouvé quantités d'anachronismes, par exemple des expressions très contemporaires sortant de la bouche des personnages... Je sais bien qu'on ne va pas écrire les livres en français de l'époque, mais il y a des limites quand même. A part le style, il y a aussi des situations qui me paraissent bien peu vraisemblables pour l'époque (je ne suis pas historienne, mais bon...) et les histoires d'amour du personnage sont quand même terriblement nunuches (en tout cas, la façon dont elles sont racontées : petit nid d'amour, scènes de jalousie, tromperies, etc, que c'est convenu !)
Et puis, les personnages : une foule de cardinaux, de papes, de marquis, de princes, de comtesses, impossible de se repérer dans tous ces noms ! Et aucune envie de rechercher dans les centaines de pages précédentes qui était qui. Pas mal de termes italiens ou latins ponctuent le roman aussi, mais ça va, on parvient à en saisir le sens assez facilement.
Malgré tout :
Alors, il y a quand même quelques points positifs, enfin surtout un : c'est que ce livre m'a permis d'en savoir un peu plus sur un peintre que je ne connaissais même pas
et qu'il m'a donné envie de découvrir ses tableaux. Je suis donc allée regarder les oeuvres en question sur internet et j'aimerais bien maintenant en voir quelques-unes en vrai. Les descriptions des tableaux dans le livre sont précises et c'est intéressant de découvrir les toiles après en avoir lu la description. Donc, voilà le mérite de ce livre : m'avoir fait découvrir Le Caravage et ses toiles hors du commun.
Et puis, les péripéties sont assez entraînantes et les chapitres sont courts, ce qui aide à avancer dans ces nombreuses pages. Le scénario est plutôt bien construit, même s'il est à mon avis très fictif par rapport à la vie réelle du peintre. Quelques épidodes mieux que les autres.
Ma note : 2,5/5
Je vous explique pourquoi :
Qu'est-ce que j'ai trouvé le temps long ! 638p, mais c'est trop, c'est beaucoup trop ! Et pas seulement parce que je ne suis pas adepte des pavés, là il y a vraiment des longueurs et des passages qui auraient pu être enlevés. Je n'en voyais pas la fin et j'ai vraiment poussé un ouf de soulagement en arrivant au but (ce qui ne m'arrive pas souvent).
Le style nuit particulièrement au récit. Je ne sais pas comment le qualifier, simplement je n'ai pas du tout adhéré. En plus, j'ai trouvé quantités d'anachronismes, par exemple des expressions très contemporaires sortant de la bouche des personnages... Je sais bien qu'on ne va pas écrire les livres en français de l'époque, mais il y a des limites quand même. A part le style, il y a aussi des situations qui me paraissent bien peu vraisemblables pour l'époque (je ne suis pas historienne, mais bon...) et les histoires d'amour du personnage sont quand même terriblement nunuches (en tout cas, la façon dont elles sont racontées : petit nid d'amour, scènes de jalousie, tromperies, etc, que c'est convenu !)
Et puis, les personnages : une foule de cardinaux, de papes, de marquis, de princes, de comtesses, impossible de se repérer dans tous ces noms ! Et aucune envie de rechercher dans les centaines de pages précédentes qui était qui. Pas mal de termes italiens ou latins ponctuent le roman aussi, mais ça va, on parvient à en saisir le sens assez facilement.
Malgré tout :
Alors, il y a quand même quelques points positifs, enfin surtout un : c'est que ce livre m'a permis d'en savoir un peu plus sur un peintre que je ne connaissais même pas
et qu'il m'a donné envie de découvrir ses tableaux. Je suis donc allée regarder les oeuvres en question sur internet et j'aimerais bien maintenant en voir quelques-unes en vrai. Les descriptions des tableaux dans le livre sont précises et c'est intéressant de découvrir les toiles après en avoir lu la description. Donc, voilà le mérite de ce livre : m'avoir fait découvrir Le Caravage et ses toiles hors du commun.Et puis, les péripéties sont assez entraînantes et les chapitres sont courts, ce qui aide à avancer dans ces nombreuses pages. Le scénario est plutôt bien construit, même s'il est à mon avis très fictif par rapport à la vie réelle du peintre. Quelques épidodes mieux que les autres.
Ma note : 2,5/5
A noter qu'il existe deux autres biographies fictives de ce peintre (plus courtes) :
Il se mit à courir le long du rivage de Christian Liger
Le Caravage, peintre de G Walter
Ysla- Nombre de messages : 1800
Location : France
Date d'inscription : 23/12/2008
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