Joël Casséus (Québec/Canada)
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Joël Casséus (Québec/Canada)
ZIPPO Mathieu Blais et Joël Casséus Leméac 132 pages
Résumé:
Zipporaconte les dernières semaines de l'étrange ville de Villanueva, où lesclaque-dents (itinérants), les pornoputes (prostituées) et les macoutes(policiers) jouent un étrange jeu morbide, tout ça sur fond derassemblement de la ZIPPO, sorte de zone de libre-échange dont lesnégociations ont lieu dans la ville, elle-même menacée par un météoredont la lumière surpasse lentement celle du soleil.
Critique:
Unroman flyé vous dite??? Vraiment, ce Zippo est étrange, étrange et enmême temps obsédant. Noir, sombre et englué dans les pensées fortementalcoolisé de tous les personnages qu'on y croise (qui abusent tous dujus de cervelle sauf Steinman) on tombe dans un univers glauque où touscontinuent sans raisons d'avancer. Kahid, le journaliste qui couvre laZIPPO une bouteille à la main sans trop savoir ce qu'il couvre et quiessaie de se rappeler de se qui s'est passé près du canal avec A***. DeSteinman la maquerelle qui essaie tant bien que mal de protéger sesfilles. Des macoutes qui ramassent les cadavres pour les empiler dansdes bennes à ordures, avant de carrément en fabriquer avec tous ceuxqu'ils ont le malheur de croiser dans la rue. D'O'Donnell, l'immigré àla fois indic et mafieux et de tant d'autres que l'on croise avec leurmal de vivre et leur absence d'espoir dans cette ville grise etdystopique. Il n'y a pas de but, on sait que tous vont échouer et soitmourir, soit se faire attraper par les macoutes (parfois même lesdeux!), mais on tourne quand même les pages pour connaître le destin deces paumés de la vie. Un roman à ne pas lire si on est découragé de lavie, mais qui est tout de même très bien réussit.
Ma note: 4.25/5
Résumé:
Zipporaconte les dernières semaines de l'étrange ville de Villanueva, où lesclaque-dents (itinérants), les pornoputes (prostituées) et les macoutes(policiers) jouent un étrange jeu morbide, tout ça sur fond derassemblement de la ZIPPO, sorte de zone de libre-échange dont lesnégociations ont lieu dans la ville, elle-même menacée par un météoredont la lumière surpasse lentement celle du soleil.
Critique:
Unroman flyé vous dite??? Vraiment, ce Zippo est étrange, étrange et enmême temps obsédant. Noir, sombre et englué dans les pensées fortementalcoolisé de tous les personnages qu'on y croise (qui abusent tous dujus de cervelle sauf Steinman) on tombe dans un univers glauque où touscontinuent sans raisons d'avancer. Kahid, le journaliste qui couvre laZIPPO une bouteille à la main sans trop savoir ce qu'il couvre et quiessaie de se rappeler de se qui s'est passé près du canal avec A***. DeSteinman la maquerelle qui essaie tant bien que mal de protéger sesfilles. Des macoutes qui ramassent les cadavres pour les empiler dansdes bennes à ordures, avant de carrément en fabriquer avec tous ceuxqu'ils ont le malheur de croiser dans la rue. D'O'Donnell, l'immigré àla fois indic et mafieux et de tant d'autres que l'on croise avec leurmal de vivre et leur absence d'espoir dans cette ville grise etdystopique. Il n'y a pas de but, on sait que tous vont échouer et soitmourir, soit se faire attraper par les macoutes (parfois même lesdeux!), mais on tourne quand même les pages pour connaître le destin deces paumés de la vie. Un roman à ne pas lire si on est découragé de lavie, mais qui est tout de même très bien réussit.
Ma note: 4.25/5
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On peut se passer de tout, sauf de la littérature et des chats Graffiti vu à Berlin
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