Joël DICKER (Suisse)
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Re: Joël DICKER (Suisse)
"La Vérité sur l'Affaire Harry Québert"
de Joël Dicker
Editions de Fallois
665 pages
ma critique : j'ai beaucoup aimé ce livre qui malgré ces 665 p se lit très aisément .Les autres critiques sont merveilleuses je vais donc essayer de vous parler différemment de ce roman et me lancer à vous parler du thème principal pour moi de ce roman :L'AMOUR .
C'est un polar qui parle de la vie et surtout de l'amour . Mot qui est d'ailleurs énormément cité dans dans le livre.: la rencontre avec l'amour de sa vie entre un écrivain et une ado, l'amour non partagé qui fait souffrir entre une serveuse de snack et un écrivain, un policier et une serveuse de snack, un jeune homme meurtrie dans chair et une ado..... l'amour d'un père pour sa fille ado, l'amour amitié qui se transforme en amour père/fils....
p 511 chapitre 7
"Chérissez l'amour Marcus. Faites-en votre plus belle conquête, votre seule ambition. Après les hommes, il y aura d'autres hommes. Après les livres, il y aura d'autres livres. Après la gloire, il y aura d'autres gloires. Après l'argent, il y a encore de l'argent. Mais après l'amour, Marcus, après l'amour, il n'y a plus que le sel des larmes."
J'ai également adoré les leçons de vie de Harry à chaque début de chapitre:
P411 chapitre 12
"Apprenez à aimer vos échecs, Marcus, car ce sont eux qui vous bâtiront. Ce sont vos échecs qui donneront toute leur saveur à vos victoires"
p442 chapitre 11
_Harry...Selon vous, pourquoi est-ce que je boxe toujours tout seul?
_Demandez-le à vous même.
_Parce que j'ai peur, je crois. J'ai peur de l'échec.
_Mais quand vous êtes allé dans cette salle de Lowell, sur mon conseil, et que vous vous êtes fait massacrer par ce grand Noir, qu'avez-vous ressenti ?
_De la fierté. Après coup, j'ai ressenti de la fierté. Le lendemain quand j'ai regardé les bleus sur mon corps, je les aimés : je m'étais dépassé, j'avais osé! J'avais osé me battre !
_Donc vous considérez avoir gagné...
_Au fond, oui. Même si, techniquement, j'ai perdu le combat, j'ai l'impression d'avoir gagné ce jour-là.
_La réponse est là : peu importe de gagner ou de perdre, Marcus. Ce qui compte, c'est le chemin que vous parcourez entre le gong du premier round et le gong final. Le résultat final, au fond, n'est qu'une information pour le public. Qui a le droit de dire que vous avez perdu, si vous, vous pensez avoir gagné? La vie c'est comme une course à pied, Marcus : il y aura toujours des gens qui seront plus rapides ou plus lents que vous. Tout ce qui compte au final, c'est la vigueur que vous avez mise à parcourir votre chemin.
....
Ma note 5/5
de Joël Dicker
Editions de Fallois
665 pages
ma critique : j'ai beaucoup aimé ce livre qui malgré ces 665 p se lit très aisément .Les autres critiques sont merveilleuses je vais donc essayer de vous parler différemment de ce roman et me lancer à vous parler du thème principal pour moi de ce roman :L'AMOUR .
C'est un polar qui parle de la vie et surtout de l'amour . Mot qui est d'ailleurs énormément cité dans dans le livre.: la rencontre avec l'amour de sa vie entre un écrivain et une ado, l'amour non partagé qui fait souffrir entre une serveuse de snack et un écrivain, un policier et une serveuse de snack, un jeune homme meurtrie dans chair et une ado..... l'amour d'un père pour sa fille ado, l'amour amitié qui se transforme en amour père/fils....
p 511 chapitre 7
"Chérissez l'amour Marcus. Faites-en votre plus belle conquête, votre seule ambition. Après les hommes, il y aura d'autres hommes. Après les livres, il y aura d'autres livres. Après la gloire, il y aura d'autres gloires. Après l'argent, il y a encore de l'argent. Mais après l'amour, Marcus, après l'amour, il n'y a plus que le sel des larmes."
J'ai également adoré les leçons de vie de Harry à chaque début de chapitre:
P411 chapitre 12
"Apprenez à aimer vos échecs, Marcus, car ce sont eux qui vous bâtiront. Ce sont vos échecs qui donneront toute leur saveur à vos victoires"
p442 chapitre 11
_Harry...Selon vous, pourquoi est-ce que je boxe toujours tout seul?
_Demandez-le à vous même.
_Parce que j'ai peur, je crois. J'ai peur de l'échec.
_Mais quand vous êtes allé dans cette salle de Lowell, sur mon conseil, et que vous vous êtes fait massacrer par ce grand Noir, qu'avez-vous ressenti ?
_De la fierté. Après coup, j'ai ressenti de la fierté. Le lendemain quand j'ai regardé les bleus sur mon corps, je les aimés : je m'étais dépassé, j'avais osé! J'avais osé me battre !
_Donc vous considérez avoir gagné...
_Au fond, oui. Même si, techniquement, j'ai perdu le combat, j'ai l'impression d'avoir gagné ce jour-là.
_La réponse est là : peu importe de gagner ou de perdre, Marcus. Ce qui compte, c'est le chemin que vous parcourez entre le gong du premier round et le gong final. Le résultat final, au fond, n'est qu'une information pour le public. Qui a le droit de dire que vous avez perdu, si vous, vous pensez avoir gagné? La vie c'est comme une course à pied, Marcus : il y aura toujours des gens qui seront plus rapides ou plus lents que vous. Tout ce qui compte au final, c'est la vigueur que vous avez mise à parcourir votre chemin.
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Ma note 5/5
nitou- Nombre de messages : 469
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Date d'inscription : 18/09/2009
Re: Joël DICKER (Suisse)
Jolie critique Nitou
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Lecture en cours : En un monde parfait - Laura Kasischke
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Fabienne- Nombre de messages : 1957
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Re: Joël DICKER (Suisse)
merci Fabienne !
nitou- Nombre de messages : 469
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Date d'inscription : 18/09/2009
Re: Joël DICKER (Suisse)
Décidemment ca sera le livre de l'année dans le club des rats!!!
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Mousseline
Magasin général tome 2 : Serge de Loisel et Tripp et L'île des chasseurs d'oiseaux de Peter May
"Happiness is only real when shared." (Christopher McCandless)
Re: Joël DICKER (Suisse)
Un autre avis positif pour ce livre
Marcus Goldman jeune écrivain rendu célèbre est victime du Syndrome de la page blanche alors que son éditeur de presse de sortir son deuxième roman .Selon le contrat les liant il s’est engagé sur cinq romans sous peine de rendre l’avance déjà engloutie . Acculé il se tourne vers Harry Quebert , écrivain à succes et son professeur à l’université l’homme qui lui a tour appris .Quelques jours plus tard il reçoit un appel de son ami le corps de la jeune Nola 15 ans disparue a été retrouvée dans le jardin de Harry avec le manuscrit de son premier roman Persuadé de son innocence Marcus va enquêter afin de le disculper.
Coups de théatre et rebondissements est ce qui caractérise ce roman de 650p On se demande comment l’auteur a pu mener l’enquête sans perdre le fil mais tout est bien ficelé et tout se tient même si quelques épisodes sont un peu « tirés par les cheveux » Alors que l’on croit l’enquête bouclée elle rebondit encore une fois .Comme le dit Nitou l'originalité du roman est aussi que l'amour y tient une grande place, un amour improbable et dangereux.
.Les personnages de Harry et de Nola sont assez ambigus, et j’ai trouvé Nola en fontion de ses agissemnts inconsciente , fragile, insaisissable ,agaçante parfois mais jamais ennuyeuse.
Un livre que l’on a pas envie de lacher
4.75
Marcus Goldman jeune écrivain rendu célèbre est victime du Syndrome de la page blanche alors que son éditeur de presse de sortir son deuxième roman .Selon le contrat les liant il s’est engagé sur cinq romans sous peine de rendre l’avance déjà engloutie . Acculé il se tourne vers Harry Quebert , écrivain à succes et son professeur à l’université l’homme qui lui a tour appris .Quelques jours plus tard il reçoit un appel de son ami le corps de la jeune Nola 15 ans disparue a été retrouvée dans le jardin de Harry avec le manuscrit de son premier roman Persuadé de son innocence Marcus va enquêter afin de le disculper.
Coups de théatre et rebondissements est ce qui caractérise ce roman de 650p On se demande comment l’auteur a pu mener l’enquête sans perdre le fil mais tout est bien ficelé et tout se tient même si quelques épisodes sont un peu « tirés par les cheveux » Alors que l’on croit l’enquête bouclée elle rebondit encore une fois .Comme le dit Nitou l'originalité du roman est aussi que l'amour y tient une grande place, un amour improbable et dangereux.
.Les personnages de Harry et de Nola sont assez ambigus, et j’ai trouvé Nola en fontion de ses agissemnts inconsciente , fragile, insaisissable ,agaçante parfois mais jamais ennuyeuse.
Un livre que l’on a pas envie de lacher
4.75
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La Terre - Zola
Re: Joël DICKER (Suisse)
décidément il va falloir que je trouve le temps de le lire !
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Lectures en cours : Indépendance de Richard Ford ([i]Frank Bascombe T2) $
Dernières lectures : L' Intérêt de l' enfant de Ian McEWAN (4/5), Un week-end dans le Michigan de Richard Ford (4,5/5)(Frank Bascombe T1), [/i]L' Homme du verger d' Amanda COPLIN (4/5), La Pyramide de glace J-F Parot (3,75/5)(T12)
Re: Joël DICKER (Suisse)
en général le Goncourt des lycéens m'emballe ...
désolée de dire que là je suis déçue
j'ai effectivement passé un moment de lecture agréable, mais je suis entièrement en accord avec le spoiler de Zeta ... (allez le voir pour comprendre
la première partie du livre m'a emballée, je trouvais le style intéressant et les réparties parfois brillantes, le thème passionnant et les héros sympathiques...
peu à peu, l'intrigue se noue et les personnages perdent de leur profondeur, on bascule parfois dans l’invraisemblance, les rebondissements s'enchainent à une allure peu crédible... l’auteur se répète ...bref, il aurait pu faire plus court.
ma note
3,5/5
désolée de dire que là je suis déçue
j'ai effectivement passé un moment de lecture agréable, mais je suis entièrement en accord avec le spoiler de Zeta ... (allez le voir pour comprendre
la première partie du livre m'a emballée, je trouvais le style intéressant et les réparties parfois brillantes, le thème passionnant et les héros sympathiques...
peu à peu, l'intrigue se noue et les personnages perdent de leur profondeur, on bascule parfois dans l’invraisemblance, les rebondissements s'enchainent à une allure peu crédible... l’auteur se répète ...bref, il aurait pu faire plus court.
ma note
3,5/5
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résister c'est exister
odilette84- Nombre de messages : 2261
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Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Joël DICKER (Suisse)
La vérité sur l'affaire Harry Québert
Beaucoup de rebondissements, je défie n'importe qui ici de pouvoir expliquer ce 30 aout 1975 avant au moins 600 pages !! Souvent j'ai trouvé ça cousu
de fil blanc car on sent venir le truc qui va nous faire dire "oh mais c'est pas vrai ! ", et croyez moi ça arrive très souvent, un peu trop peut être mais ça se tient quand même, on peut deviner certains rebondissements. Ne lisez surtout ce spoiler si vous comptez lire le livre !!
Contrairement à Odilette , j'ai été plus emballée par la seconde partie du livre, qui parle vraiment de l'affaire. J'ai aimé l'humour de l'auteur dans certaines remarques, surtout avec le sergent Gahalawood, ou dans la description du couple Quinn. Autre chose aussi qui m'a plu ce sont les débuts de chapitre qui sont en fait les conseils de Harry à Marcus pour écrire un livre. Plutôt ingénieux, et du coup on se retrouve à la fin se demandant presque si ce n'est pas une histoire vraie en fait.
Par contre, à certains moment, j'ai trouvé le ton un peu désuet et naif, surtout dans la relation Harry/ Nola , le ton trop pur ! Idem pour la relation entre Marcus et sa mère, j'ai trouvé ça un peu cliché. Comme Zeta, j'ai trouvé ça étrange qu'on ne sache rien sur la relation physique entre Nola et Harry. Peut être pour éviter le côté Lolita comme vous l'avez dit. Pareil pour d'autres personnages, j'aurai bien voulu qu'ils soient mieux décrits.
Mais ça reste un excellent livre, où ne voit pas les pages se tourner, auquel on pense quand on ne le lit pas, en se posant des tas de questions ...
5/5
Beaucoup de rebondissements, je défie n'importe qui ici de pouvoir expliquer ce 30 aout 1975 avant au moins 600 pages !! Souvent j'ai trouvé ça cousu
de fil blanc car on sent venir le truc qui va nous faire dire "oh mais c'est pas vrai ! ", et croyez moi ça arrive très souvent, un peu trop peut être mais ça se tient quand même, on peut deviner certains rebondissements. Ne lisez surtout ce spoiler si vous comptez lire le livre !!
- Spoiler:
- La relation Caleb et Stern, j'y ai pensé rapidement ou encore pou le roman de Harry, mais je ne pensais pas que c'était Caleb plutôt Nola
Contrairement à Odilette , j'ai été plus emballée par la seconde partie du livre, qui parle vraiment de l'affaire. J'ai aimé l'humour de l'auteur dans certaines remarques, surtout avec le sergent Gahalawood, ou dans la description du couple Quinn. Autre chose aussi qui m'a plu ce sont les débuts de chapitre qui sont en fait les conseils de Harry à Marcus pour écrire un livre. Plutôt ingénieux, et du coup on se retrouve à la fin se demandant presque si ce n'est pas une histoire vraie en fait.
Par contre, à certains moment, j'ai trouvé le ton un peu désuet et naif, surtout dans la relation Harry/ Nola , le ton trop pur ! Idem pour la relation entre Marcus et sa mère, j'ai trouvé ça un peu cliché. Comme Zeta, j'ai trouvé ça étrange qu'on ne sache rien sur la relation physique entre Nola et Harry. Peut être pour éviter le côté Lolita comme vous l'avez dit. Pareil pour d'autres personnages, j'aurai bien voulu qu'ils soient mieux décrits.
Mais ça reste un excellent livre, où ne voit pas les pages se tourner, auquel on pense quand on ne le lit pas, en se posant des tas de questions ...
5/5
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DM29- Nombre de messages : 675
Age : 36
Location : Breizh
Date d'inscription : 21/06/2009
Re: Joël DICKER (Suisse)
Les derniers jours de nos pères de Joël Dicker
Editions de Fallois
Nous sommes à Paris en 1941 et il y a la guerre dans le monde. Paul-Emile souhaite aider son pays en s'engageant. Mais son amour inconditionnel pour son père, veuf très tôt, et leur étroite complicité, l'en empêchent. Il est cependant recruté pour intégrer le SOE (Special Operation Executive), en tant qu'agent secret anglais. L'objectif de cette organisation : implanter dans les pays occupés des agents qui se mêlent à la population locale, et par des actes de sabotage, sabordent l'autorité ennemie. Il va donc subir un entrainement intensif de quelques mois en Angleterre au cours duquel il va se lier d'amitié avec les membres de son équipe et même tomber amoureux. A l'issue de cette mission, il repart en France où il va démontrer à sa hiérarchie ses talents et devenir ainsi l'un des meilleurs agents de l'organisation. Cependant, l'amour qu'il voue à son père est plus fort que tout, mettant en danger de mort des membres de son équipe également chers à son coeur.
J'avoue que je suis un peu déçue par ce livre. Non pas que le sujet ne m'ait pas intéressée (je ne connaissais pas du tout le SOE), mais je n'ai pas eu l'impression de découvrir quelque chose de neuf sous le soleil.
C'est vrai j'ai aimé les personnages avec leurs forces et leurs faiblesses, (Pal, Gros, Claude), leurs interrogations face à leur engagement, leur questionnement face aux objectifs de leur mission, et même la poésie que rédigeait Pal (le nom de guerre de Paul-Emile), mais j'ai trouvé que tous manquaient d'épaisseur, que c'était un peu gentillet, voire caricatural. La guerre avait presque l'air d'être dans du coton. Les gentils sont vraiment gentils et les méchants pas vraiment méchants. Peut-être est-ce dû au style que j'ai trouvé simple voire presque cinématographique. Et pourtant l'auteur tente de nous intéresser par des chapitres courts et c'est vrai que les pages tournent vite parce qu'on a envie de découvrir ce que chacun va devenir. Mais bon....
Bref, un roman qui m'a intéressée, mais ne m'a pas touchée.
Un bon roman sans plus: 3/5
Editions de Fallois
Nous sommes à Paris en 1941 et il y a la guerre dans le monde. Paul-Emile souhaite aider son pays en s'engageant. Mais son amour inconditionnel pour son père, veuf très tôt, et leur étroite complicité, l'en empêchent. Il est cependant recruté pour intégrer le SOE (Special Operation Executive), en tant qu'agent secret anglais. L'objectif de cette organisation : implanter dans les pays occupés des agents qui se mêlent à la population locale, et par des actes de sabotage, sabordent l'autorité ennemie. Il va donc subir un entrainement intensif de quelques mois en Angleterre au cours duquel il va se lier d'amitié avec les membres de son équipe et même tomber amoureux. A l'issue de cette mission, il repart en France où il va démontrer à sa hiérarchie ses talents et devenir ainsi l'un des meilleurs agents de l'organisation. Cependant, l'amour qu'il voue à son père est plus fort que tout, mettant en danger de mort des membres de son équipe également chers à son coeur.
J'avoue que je suis un peu déçue par ce livre. Non pas que le sujet ne m'ait pas intéressée (je ne connaissais pas du tout le SOE), mais je n'ai pas eu l'impression de découvrir quelque chose de neuf sous le soleil.
C'est vrai j'ai aimé les personnages avec leurs forces et leurs faiblesses, (Pal, Gros, Claude), leurs interrogations face à leur engagement, leur questionnement face aux objectifs de leur mission, et même la poésie que rédigeait Pal (le nom de guerre de Paul-Emile), mais j'ai trouvé que tous manquaient d'épaisseur, que c'était un peu gentillet, voire caricatural. La guerre avait presque l'air d'être dans du coton. Les gentils sont vraiment gentils et les méchants pas vraiment méchants. Peut-être est-ce dû au style que j'ai trouvé simple voire presque cinématographique. Et pourtant l'auteur tente de nous intéresser par des chapitres courts et c'est vrai que les pages tournent vite parce qu'on a envie de découvrir ce que chacun va devenir. Mais bon....
Bref, un roman qui m'a intéressée, mais ne m'a pas touchée.
Un bon roman sans plus: 3/5
Clochette- Nombre de messages : 2135
Age : 50
Location : Nantes Bretagne
Date d'inscription : 25/10/2008
Re: Joël DICKER (Suisse)
La vérité sur l'affaire Harry Québert
Salut les rats! ça fait un petit moment que je n'ai rien posté mais je ne pouvais pas passer à côté du roman très médiatisé de mon compatriote (en plus j'ai une amie qui était à l'école avec lui ;-)).
En bref je suis à 100% d'accord avec l'avis de Zeta (très belle critique au passage). J'ai passé un moment de lecture sympathique mais de loin pas merveilleux, j'ai baillé deux trois fois lorsque l'auteur se répète, j'ai grincé des dents dans les passages où la mère de Marcus fait une inutile apparition, mais j'avoue avoir vécu une véritable tension policière jusqu'à la fin.
Bon, c'est un roman à suspens alors c'est peut-être ce qu'on lui demande après-tout... Oui... mais non! j'aime me sentir à l'aise avec une histoire et avec ce roman ce n'est pas le cas... A plusieurs moments je me suis demandé: Mais Dicker fait-il exprès d'être si caricatural??? Est-ce de l'humour??? Moi ça ne m'a pas fait rire et comme l'a dit Zeta, je n'ai jamais lu de roman américain où les personnages s'empiffrent de hamburgers (ce n'est qu'un exemple). Je n'aimerais pas lire un roman écrit par un américain qui situe son histoire en Suisse et où tous les personnages vivent dans les montagnes, de nourrissent exclusivement de gruyère et portent des bretelles Moi ce type de clichés me met très mal à l'aise...
Alors je voulais mettre une critique pour extérioriser mon mécontentement... Une fois de plus c'est un roman qui se vend par milliers (ici en suisse romande il a dépassé le nombre d'exemplaires vendus du premier tome de Harry Potter ) qui "attire les lecteurs qui n'achètent pas ce type de livres d'habitude" (qu'est ce que ça veut dire en fait???). C'est un livre "facile", une intrigue avec plein de pages mais qui se lit quand même vite (la mise en page laisse des gros trous). Je suis déçue de ce roman, personnellement.
Il n'a pas eu le Goncourt? Tu m'étonnes... En effet, après avec lu Le sermon sur la chute de Rome (que je n'ai pas trouvé DU TOUT facile à lire pour le coup) je ne voit pas comment Dicker aurait pu l'avoir... Mais bon ce n'est pas le plus important. Ce qui m'étonne vraiment c'est que l'on parle autant...
Au final, c'est un roman sympa, un polar de vacance mais rien de transcendant. Je lui mets 3,5/5 et je retourne avec grand plaisir lire Harlan Coben.
Salut les rats! ça fait un petit moment que je n'ai rien posté mais je ne pouvais pas passer à côté du roman très médiatisé de mon compatriote (en plus j'ai une amie qui était à l'école avec lui ;-)).
En bref je suis à 100% d'accord avec l'avis de Zeta (très belle critique au passage). J'ai passé un moment de lecture sympathique mais de loin pas merveilleux, j'ai baillé deux trois fois lorsque l'auteur se répète, j'ai grincé des dents dans les passages où la mère de Marcus fait une inutile apparition, mais j'avoue avoir vécu une véritable tension policière jusqu'à la fin.
Bon, c'est un roman à suspens alors c'est peut-être ce qu'on lui demande après-tout... Oui... mais non! j'aime me sentir à l'aise avec une histoire et avec ce roman ce n'est pas le cas... A plusieurs moments je me suis demandé: Mais Dicker fait-il exprès d'être si caricatural??? Est-ce de l'humour??? Moi ça ne m'a pas fait rire et comme l'a dit Zeta, je n'ai jamais lu de roman américain où les personnages s'empiffrent de hamburgers (ce n'est qu'un exemple). Je n'aimerais pas lire un roman écrit par un américain qui situe son histoire en Suisse et où tous les personnages vivent dans les montagnes, de nourrissent exclusivement de gruyère et portent des bretelles Moi ce type de clichés me met très mal à l'aise...
Alors je voulais mettre une critique pour extérioriser mon mécontentement... Une fois de plus c'est un roman qui se vend par milliers (ici en suisse romande il a dépassé le nombre d'exemplaires vendus du premier tome de Harry Potter ) qui "attire les lecteurs qui n'achètent pas ce type de livres d'habitude" (qu'est ce que ça veut dire en fait???). C'est un livre "facile", une intrigue avec plein de pages mais qui se lit quand même vite (la mise en page laisse des gros trous). Je suis déçue de ce roman, personnellement.
Il n'a pas eu le Goncourt? Tu m'étonnes... En effet, après avec lu Le sermon sur la chute de Rome (que je n'ai pas trouvé DU TOUT facile à lire pour le coup) je ne voit pas comment Dicker aurait pu l'avoir... Mais bon ce n'est pas le plus important. Ce qui m'étonne vraiment c'est que l'on parle autant...
Au final, c'est un roman sympa, un polar de vacance mais rien de transcendant. Je lui mets 3,5/5 et je retourne avec grand plaisir lire Harlan Coben.
Nathalire- Nombre de messages : 1057
Age : 43
Location : Pully (Suisse)
Date d'inscription : 22/04/2009
Re: Joël DICKER (Suisse)
Ca confirme mon idée de ne pas me jeter dessus et de l'emprunter à la biblio.
Contente de te relire en tout cas
Contente de te relire en tout cas
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Challenge US : 29/51
Re: Joël DICKER (Suisse)
Contente de te relire Nathalire.
Il semble en effet que nous ayons à peu près le même avis sur ce roman. L'auteur est très sympathique et assez jeune pour qu'on lui pardonne ses quelques ratages. Mais c'est vrai que l'avoir, à plusieurs endroits, y compris dans des magazines sérieux, décrit presque comme un chef d'oeuvre peut sembler trop indulgent et entraîne le risque d'être déçu.
J'avais d'ailleurs inséré quelque part (la discussion de la semaine ?) une critique d'un professionnel qui lui le démolissait plutôt. On me dit souvent que je n'aime pas souvent ce que je lis .... c'est vrai que je suis assez exigeante par rapport à mes critères d'évaluation de ce que je considère comme la très bonne littérature, tout ce que je lis n'en est pas, mais parfois je m'en contente aisément (c'est difficile de savoir à l'avance) à partir du moment où je trouve quand même quelques points positifs. Pour ce roman je pense même qu'avec le recul je serais peut-être encore un peu plus négative dans mon commentaire. Et je pense qu'on a le droit d'être exigeant vis-à-vis de ce qui représente une passion qu'on pratique depuis longtemps, avec impartialité et le plus exhaustivement possible. C'est un livre aussi sympathique que son auteur, mais il a encore du chemin à faire avant d'être un grand écrivain. On le lui souhaite et on se le souhaite parce que tomber sur un chef d'oeuvre c'est rare mais délectable. En tout cas, tu as le grand mérite d'exprimer ton jugement personnel, sans chauvinisme, en toute équité.
(et reviens quand tu veux, tu es toujours la bienvenue !).
Il semble en effet que nous ayons à peu près le même avis sur ce roman. L'auteur est très sympathique et assez jeune pour qu'on lui pardonne ses quelques ratages. Mais c'est vrai que l'avoir, à plusieurs endroits, y compris dans des magazines sérieux, décrit presque comme un chef d'oeuvre peut sembler trop indulgent et entraîne le risque d'être déçu.
J'avais d'ailleurs inséré quelque part (la discussion de la semaine ?) une critique d'un professionnel qui lui le démolissait plutôt. On me dit souvent que je n'aime pas souvent ce que je lis .... c'est vrai que je suis assez exigeante par rapport à mes critères d'évaluation de ce que je considère comme la très bonne littérature, tout ce que je lis n'en est pas, mais parfois je m'en contente aisément (c'est difficile de savoir à l'avance) à partir du moment où je trouve quand même quelques points positifs. Pour ce roman je pense même qu'avec le recul je serais peut-être encore un peu plus négative dans mon commentaire. Et je pense qu'on a le droit d'être exigeant vis-à-vis de ce qui représente une passion qu'on pratique depuis longtemps, avec impartialité et le plus exhaustivement possible. C'est un livre aussi sympathique que son auteur, mais il a encore du chemin à faire avant d'être un grand écrivain. On le lui souhaite et on se le souhaite parce que tomber sur un chef d'oeuvre c'est rare mais délectable. En tout cas, tu as le grand mérite d'exprimer ton jugement personnel, sans chauvinisme, en toute équité.
(et reviens quand tu veux, tu es toujours la bienvenue !).
zeta- Admin
- Nombre de messages : 4465
Location : Gironde - France
Date d'inscription : 25/12/2008
Re: Joël DICKER (Suisse)
Cyrielle, je te dirai de ne pas l'acheter pour ne pas intensifier le "phénomène Dicker" même si c'est pas sympa pour lui La biblio ça va bien...
merci Zeta, ton commentaire me touche beaucoup. J'ai l'impression qu'on devient plus critique avec le temps et les lectures qui s'enchainent (surtout quand on a eu l'occasion de lire de vraiment de très bons romans). Probablement que ce roman sera le meilleur de l'année pour beaucoup de lecteurs mais pas pour nous on dirait! Je crois qu'on a bien le droit d'être critique, après tout il y en a pour tous les gouts...
A bientôt mes rats adorés, je devrait poster plus souvent, j'avais oublié le plaisir que ça fait ;-)
merci Zeta, ton commentaire me touche beaucoup. J'ai l'impression qu'on devient plus critique avec le temps et les lectures qui s'enchainent (surtout quand on a eu l'occasion de lire de vraiment de très bons romans). Probablement que ce roman sera le meilleur de l'année pour beaucoup de lecteurs mais pas pour nous on dirait! Je crois qu'on a bien le droit d'être critique, après tout il y en a pour tous les gouts...
A bientôt mes rats adorés, je devrait poster plus souvent, j'avais oublié le plaisir que ça fait ;-)
Nathalire- Nombre de messages : 1057
Age : 43
Location : Pully (Suisse)
Date d'inscription : 22/04/2009
Re: Joël DICKER (Suisse)
LA VERITE SUR L'AFFAIRE HARRY QUEBERT
Editions de Noyelles - 644 pages
Comme je viens de perdre ma critique dans les limbes d'internet (?) en l'envoyant, je refais mais plus court.
Une bonne lecture (de vacances) très agréable.
Deux cent pages en moins n'auraient pas fait de mal, bien au contraire, je me suis par moments bien ennuyée en ayant l'impression de lire deux fois, trois fois la même chose.
Je ne suis pas fan d'intrigue policière, mais elle m'a parue (je ne sais ce qu'en pense les spécialistes?) un peu trop "poussée" dans les rebondissements sur la fin, bien que ça a eu pour mérite, pour moi, de relancer l'intérêt.
Et les dialogues souvent "simplets" notamment dans les déclarations d'amour de Nola (=eau de rose?) et puis la scène de l'exorcisme et cette relation entre Nola et l'écrivain que j'ai aussi trouvée peu crédible et mal décrite.
Mais, j'ai bien aimé les réflexions sur le travail d'écriture, sur la littérature, sur les dérives des maisons d'éditions et du commerce, sur le fonctionnement de la justice, et ceux des médias divers. J'ai aimé aussi l'histoire d'amitié entre les deux écrivains, le rapport à la fois ami/ami et père/fils.
En fait y'a plein de bonnes choses, et plein de moins bonnes. Mais je crois que cet auteur va se bonifier, et qu'avec le temps, si tout va bien, il devrait nous livrer des livres bien meilleurs. Car pour un premier livre c'est tout de même vraiment pas mal!
Donc un agréable moment de lecture, malgré des longueurs et les imperfections.
3,5/5
Editions de Noyelles - 644 pages
Comme je viens de perdre ma critique dans les limbes d'internet (?) en l'envoyant, je refais mais plus court.
Une bonne lecture (de vacances) très agréable.
Deux cent pages en moins n'auraient pas fait de mal, bien au contraire, je me suis par moments bien ennuyée en ayant l'impression de lire deux fois, trois fois la même chose.
Je ne suis pas fan d'intrigue policière, mais elle m'a parue (je ne sais ce qu'en pense les spécialistes?) un peu trop "poussée" dans les rebondissements sur la fin, bien que ça a eu pour mérite, pour moi, de relancer l'intérêt.
Et les dialogues souvent "simplets" notamment dans les déclarations d'amour de Nola (=eau de rose?) et puis la scène de l'exorcisme et cette relation entre Nola et l'écrivain que j'ai aussi trouvée peu crédible et mal décrite.
Mais, j'ai bien aimé les réflexions sur le travail d'écriture, sur la littérature, sur les dérives des maisons d'éditions et du commerce, sur le fonctionnement de la justice, et ceux des médias divers. J'ai aimé aussi l'histoire d'amitié entre les deux écrivains, le rapport à la fois ami/ami et père/fils.
En fait y'a plein de bonnes choses, et plein de moins bonnes. Mais je crois que cet auteur va se bonifier, et qu'avec le temps, si tout va bien, il devrait nous livrer des livres bien meilleurs. Car pour un premier livre c'est tout de même vraiment pas mal!
Donc un agréable moment de lecture, malgré des longueurs et les imperfections.
3,5/5
Chantal- Nombre de messages : 3226
Location : France
Date d'inscription : 22/12/2008
Re: Joël DICKER (Suisse)
Merci Chantal pour ton avis surtout que tu l'as fait deux fois! Même si ta critique est plus courte, on cerne bien ton opinion! J'ai ce livre dans ma PAL. J'ai bien hâte de le découvrir même s'il ne fait pas l'hunanimité!
Cocotte- Nombre de messages : 870
Age : 43
Location : Québec / Canada
Date d'inscription : 26/10/2008
Les derniers jouers de nos pères
- Broché: 332 pages
- Editeur : Editions de Fallois (18 janvier 2012)
- Collection : LITTERATURE
- Langue : Français
- ISBN-10: 2877067815
- ISBN-13: 978-2877067812
Résumé:
C'est la deuxième guerre mondiale et Paul-Emile, qui vit seul à Paris avec son père depuis le décès de sa mère, veut y jouer un rôle. Il fait donc ses adieux à son père et rejoint le SOE, des services secrets tous juste créé par Winston Churchill est dont le rôle est d'envoyer des espions sur le sol français, occupé ou non, pour qu'ils forment davantage et animent les réseaux de résistants et organisent des attaques, des sabotages, et de la propagande contre les allemands. Durant plusieurs mois Paul -Emile, surnommé, PAL, se lie d'amitié avec ses camarades et apprend à devenir un tueur. Vient ensuite le moment de partir en France mener les attaques, mais si PAL est un très bon agent pour le SOE, il n'en reste pas moins un fils qui veut avant tout protéger son père.
Commentaire:
Dans ce roman Joël Dicker nous fait découvrir l'existence du SOE mais il ne cherche pas pour autant à en faire un document historique. Ce qu'il veut nous montrer visiblement c'est le côté humain de la guerre, le combat des hommes qui veulent le rester malgré la haine de ceux d'en face, cette haine insidieuse qui peut gagner n'importe qui lorsqu'il voit mourir un camarade ou des innocents. Ce combat permanent contre l'autre devient alors un combat contre soi-même, une lutte acharnée pour rester l'être humain que l'on était, pour garder ses principes, ses valeurs, tout en luttant à mort contre un autre. C'est un aspect de la guerre dont on parle peu souvent, et Joël Dicker ici nous le montre de manière forte et émouvante. Un très beau roman, à lire non pas pour apprendre ce qu'est la guerre, mais ce qu'est l'Homme...
5/5
nauticus45- Nombre de messages : 2413
Age : 47
Location : Haut-Rhin, France
Date d'inscription : 27/10/2008
Re: Joël DICKER (Suisse)
La vérité sur l'affaire Harry Quebert
Note : 4/5
Je ne vous ferais pas l'affront de vous re-refaire un résulé. Au bout de 20 fois ...
Critique : beaucoup d'avis ont déjà été posté sur ce livre donc je n'aurais pas grand chose de nouveau à vous dire. C'est un gros roman de 700 pages, j'ai un peu eu du mal à en venir à bout mais pour des raisons personnelles, rien à voir avec le livre. Malgré tout, on rentre vite dans le coeur de l'histoire. C'est un roman à mi-chemin entre le policier, le roman psychologie et l'étude des moeurs. Joel Dicker dépeint un tableau passionnant de l'Amérique de nos jours : sur la justice, les médias, le star système, les religions ... J'ai bien aimé la construction du roman avec d'incessants allers et retours, les différents supports (rapports de police, extraits de lettre, de romans, ...). C'est bien fait parce que lecteur n'est jamais paumé, on sait toujours de quel personnage on parle et où on est. Le rythme va crescendo, les dernières pages ne sont que boulversements, révélations et retournements de situations (peut être un chouilla trop d'ailleurs). On ressent la tension jusqu'à la toute fin du livre. Dans les points positifs, j'ai également noté la dernière page de remerciements et également la numérotation des chapitres, en compte à rebours.
Après dans les points négatifs, il faut quand même souligner que parfois, j'ai eu du mal à croire en la relation entre Harry et Nola (comme Zéta il me semble ?). Un peu trop à l'eau de rose (ça ne me dérangerait pas mais dans un polar, ça fait un peu décalé). Certains de leurs dialogues me semblaient creux. Comme je-ne-sais-plus-qui, j'ai trouvé étrange qu'on ne dise rien sur leur relation physique. De plus, si certains personnages sont très bien (le sergent Gahalowood notamment), certains sont caricaturaux (la mère de Marcus, dans le genre cliché de mère juive on atteint des sommets). Il y a aussi quelques répétitions qui m'ont fait baillées. Les réflexions du personnage principal sur le métier d'écrivain m'ont un peu saoulées par moments.
Après, il s'agit du second roman de l'auteur, agé de seulement 27 ans. Ca reste un excellent livre, un excellent moment de lecture. Je pense donc que cela nous réserve de bonnes lectures en perspective.
Note : 4/5
Je ne vous ferais pas l'affront de vous re-refaire un résulé. Au bout de 20 fois ...
Critique : beaucoup d'avis ont déjà été posté sur ce livre donc je n'aurais pas grand chose de nouveau à vous dire. C'est un gros roman de 700 pages, j'ai un peu eu du mal à en venir à bout mais pour des raisons personnelles, rien à voir avec le livre. Malgré tout, on rentre vite dans le coeur de l'histoire. C'est un roman à mi-chemin entre le policier, le roman psychologie et l'étude des moeurs. Joel Dicker dépeint un tableau passionnant de l'Amérique de nos jours : sur la justice, les médias, le star système, les religions ... J'ai bien aimé la construction du roman avec d'incessants allers et retours, les différents supports (rapports de police, extraits de lettre, de romans, ...). C'est bien fait parce que lecteur n'est jamais paumé, on sait toujours de quel personnage on parle et où on est. Le rythme va crescendo, les dernières pages ne sont que boulversements, révélations et retournements de situations (peut être un chouilla trop d'ailleurs). On ressent la tension jusqu'à la toute fin du livre. Dans les points positifs, j'ai également noté la dernière page de remerciements et également la numérotation des chapitres, en compte à rebours.
Après dans les points négatifs, il faut quand même souligner que parfois, j'ai eu du mal à croire en la relation entre Harry et Nola (comme Zéta il me semble ?). Un peu trop à l'eau de rose (ça ne me dérangerait pas mais dans un polar, ça fait un peu décalé). Certains de leurs dialogues me semblaient creux. Comme je-ne-sais-plus-qui, j'ai trouvé étrange qu'on ne dise rien sur leur relation physique. De plus, si certains personnages sont très bien (le sergent Gahalowood notamment), certains sont caricaturaux (la mère de Marcus, dans le genre cliché de mère juive on atteint des sommets). Il y a aussi quelques répétitions qui m'ont fait baillées. Les réflexions du personnage principal sur le métier d'écrivain m'ont un peu saoulées par moments.
Après, il s'agit du second roman de l'auteur, agé de seulement 27 ans. Ca reste un excellent livre, un excellent moment de lecture. Je pense donc que cela nous réserve de bonnes lectures en perspective.
cookie610- Nombre de messages : 5559
Age : 33
Location : Lyon
Date d'inscription : 28/07/2009
Re: Joël DICKER (Suisse)
La vérité sur l'affaire Harry Quebert
de Joël DICKER
Résumé :
Je vous en dispenserai puisque le roman a été le livre de chevet de quelques rats il y a peu.
Avis :
Pourquoi lire ce roman ? Parce que son auteur est prometteur malgré quelques maladresses (j'en relève deux : une intrigue qui piétine au milieu du roman lorsque DICKER se lance dans un récapitulatif des précédents chapitres ; et, des rebondissements dans les derniers chapitres qui moi m'ont quelque peu lassée (trop de coups de théâtre tuent le coup de théâtre).
Alors pourquoi j'ai aimé ? Parce que la quête du personnage pour sauver son ami-prof-mentor est belle et passionnante, parce que dans un style simple sans être simpliste ce jeune écrivain suisse m'a fait dévoré ces 600 pages en moins de 2 ! Parce que personnage et auteur se confondent appliquant scrupuleusement chaque principe permettant à l'écriture d'un roman.
J'avais hâte d'avancer sur cette enquête, de découvrir chaque habitant de cette bourgade Aurora et leurs secrets... Et j'en ai eu pour mon compte !
Note : 4/5
de Joël DICKER
Résumé :
Je vous en dispenserai puisque le roman a été le livre de chevet de quelques rats il y a peu.
Avis :
Pourquoi lire ce roman ? Parce que son auteur est prometteur malgré quelques maladresses (j'en relève deux : une intrigue qui piétine au milieu du roman lorsque DICKER se lance dans un récapitulatif des précédents chapitres ; et, des rebondissements dans les derniers chapitres qui moi m'ont quelque peu lassée (trop de coups de théâtre tuent le coup de théâtre).
Alors pourquoi j'ai aimé ? Parce que la quête du personnage pour sauver son ami-prof-mentor est belle et passionnante, parce que dans un style simple sans être simpliste ce jeune écrivain suisse m'a fait dévoré ces 600 pages en moins de 2 ! Parce que personnage et auteur se confondent appliquant scrupuleusement chaque principe permettant à l'écriture d'un roman.
J'avais hâte d'avancer sur cette enquête, de découvrir chaque habitant de cette bourgade Aurora et leurs secrets... Et j'en ai eu pour mon compte !
Note : 4/5
_________________
Lectures en cours :
* Farenheit 451 de Bradbury
* L‘histoire secrète volume 3 de PECAU
* Jack et la grande aventure du cochon de Noel de JK Rowling
Cafrine- Nombre de messages : 642
Age : 46
Location : Réunion/France
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Joël DICKER (Suisse)
La vérité sur l'affaire Harry Québert
À New York, au printemps 2008, alors que l’Amérique bruisse des prémices de l’élection présidentielle, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente : il est incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Le délai est près d’expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d’avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l’innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l’enquête s’enfonce et il fait l’objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d’écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s’est-il passé dans le New Hampshire à l’été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ? Sous ses airs de thriller à l’américaine, La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert est une réflexion sur l’Amérique, sur les travers de la société moderne, sur la littérature, sur la justice et sur les médias. (4e de couverture)
C'est un gros roman mais une fois que vous avez mis le nez dedans, vous ne pouvez plus le lâcher. A la fois roman noir, policier et teinté d'humour, c'est un livre qui se lit très facilement et dont l'intrigue ne cesse de nous mener en bateau. Une lecture que j'ai vraiment adorée et que je conseille.
5/5
Re: Joël DICKER (Suisse)
La Vérité sur l'Affaire Harry Québert
Mon avis : C'est un roman dans lequel on plonge et duquel on a du mal à sortir. Il ne faut pas se laisser impressionner par la taille du roman, les pages se tournent toute seule !
Malgré quelques longueurs (sur 600 pages c'est presque normal) et des ficelles plutôt grossières en ce qui concerne l'intrigue policière (pour qui lit un peu de romans policiers, l'enquête n'est pas très originale) on se laisse happer par l'écriture et la dynamique du roman.
Un très bon moment de lecture qui me donne envie de découvrir un peu plus cet auteur.
Ma note : 4,25/5 (pas un coup de cœur à cause du personnage de la mère de l'écrivain : beaucoup trop caricatural. Un cliché de la mère juive...je n'ai pas compris pourquoi l'auteur grossissait ainsi les traits...cela est-il censé apporter une touche d'humour ? avec moi, ça n'a pas marché en tous cas !)
Mon avis : C'est un roman dans lequel on plonge et duquel on a du mal à sortir. Il ne faut pas se laisser impressionner par la taille du roman, les pages se tournent toute seule !
Malgré quelques longueurs (sur 600 pages c'est presque normal) et des ficelles plutôt grossières en ce qui concerne l'intrigue policière (pour qui lit un peu de romans policiers, l'enquête n'est pas très originale) on se laisse happer par l'écriture et la dynamique du roman.
Un très bon moment de lecture qui me donne envie de découvrir un peu plus cet auteur.
Ma note : 4,25/5 (pas un coup de cœur à cause du personnage de la mère de l'écrivain : beaucoup trop caricatural. Un cliché de la mère juive...je n'ai pas compris pourquoi l'auteur grossissait ainsi les traits...cela est-il censé apporter une touche d'humour ? avec moi, ça n'a pas marché en tous cas !)
Pistoufle- Nombre de messages : 1477
Age : 39
Location : Val-de-Marne - FRANCE
Date d'inscription : 10/03/2011
Re: Joël DICKER (Suisse)
La Vérité sur l'Affaire Harry Québert
Je n'ai pas boudé mon plaisir en lisant ce roman, j'ai trouvé ce livre "remarquable" ! La construction du livre m'a de suite enthousiasmé avec le décompte des chapitres et les conseils d'Harry pour le jeune écrivain Marcus Goldman.
Le roman est riche de rebondissements, de personnages. Ce n'est ni la relation amoureuse entre Nola et Harry ni l'enquête policière qui m'ont le plus charmée, mais ce sont davantage la réflexion sur le travail de l'écrivain, le parallèle mené avec la vie, l'intrusion dans le monde de l'édition. Les relations Harry/Marcus, Galahowood/Marcus m'ont aussi intéressée.
Je ne me suis pas arrêtée sur les maladresses de l'auteur.
Bref, je ne me suis pas ennuyée un seul moment, engloutir un pavé de 650 pages en 2 jours, cela ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps.
4.75/5 Un très bon moment de lecture qui flirte avec le coup de cœur !
Je n'ai pas boudé mon plaisir en lisant ce roman, j'ai trouvé ce livre "remarquable" ! La construction du livre m'a de suite enthousiasmé avec le décompte des chapitres et les conseils d'Harry pour le jeune écrivain Marcus Goldman.
Le roman est riche de rebondissements, de personnages. Ce n'est ni la relation amoureuse entre Nola et Harry ni l'enquête policière qui m'ont le plus charmée, mais ce sont davantage la réflexion sur le travail de l'écrivain, le parallèle mené avec la vie, l'intrusion dans le monde de l'édition. Les relations Harry/Marcus, Galahowood/Marcus m'ont aussi intéressée.
Je ne me suis pas arrêtée sur les maladresses de l'auteur.
Bref, je ne me suis pas ennuyée un seul moment, engloutir un pavé de 650 pages en 2 jours, cela ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps.
4.75/5 Un très bon moment de lecture qui flirte avec le coup de cœur !
mieldorado- Nombre de messages : 373
Age : 39
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: Joël DICKER (Suisse)
Ben zut alors, pour une fois que je faisais ma critique rapidement, je m'aperçois qu'elle n'a pas été enregistrée
Je recommence alors..
LA VERITE SUR L'AFFAIRE HARRY QUEBERT
Je viens de lire vos deux pages d'avis divers et variés alors je serais assez brève.
Une lecture que j'ai beaucoup aimé même si parfois c'était redondant... Dès qu'on a fini un chapitre, tout est fait pour qu'on ai envie de vite lire le suivant. Les rebondissements sont nombreux, le style est simple mais accrocheur, c'est aussi très visuel et le rythme est très rapide. Il est vrai que l'auteur aurait pu faire un peu plus court, qu'à la longue les répétitions des scènes sont un peu lassantes, que la jeune NOLA semble un peu trop niaise et "gnan-gnan" , que certaines situations sont un peu tordues, "too much" et cousues de fil blanc, les derniers rebondissements sont un peu exagérés... mais malgré tout cela, ça se lit tout seul, la construction est originale, la description de la ville d'Aurora et de ses habitants est assez réaliste et donne une bonne image de la middle classe américaine ; les errements et interrogations sur le métier d'écrivain, les éditeurs aux dents longues, les ghost-writers : toute cette partie est intéressante , les personnages- même si certains traits sont un peu forcés - restent sympathiques et attachants.
Comme le dit Zéta, c'est un livre "juvénile" et pour les nombreuses satisfactions que nous apporte ce roman, on lui pardonne ses faiblesses. Comme le dit l'auteur à la fin, j'étais triste de quitter les personnages, j'ai refermé le livre avec regret en regardant une dernière fois la couverture... Donc c'est bon signe
Un très bon moment de lecture !
Ma note : 4,5 / 5
Je recommence alors..
LA VERITE SUR L'AFFAIRE HARRY QUEBERT
Je viens de lire vos deux pages d'avis divers et variés alors je serais assez brève.
Une lecture que j'ai beaucoup aimé même si parfois c'était redondant... Dès qu'on a fini un chapitre, tout est fait pour qu'on ai envie de vite lire le suivant. Les rebondissements sont nombreux, le style est simple mais accrocheur, c'est aussi très visuel et le rythme est très rapide. Il est vrai que l'auteur aurait pu faire un peu plus court, qu'à la longue les répétitions des scènes sont un peu lassantes, que la jeune NOLA semble un peu trop niaise et "gnan-gnan" , que certaines situations sont un peu tordues, "too much" et cousues de fil blanc, les derniers rebondissements sont un peu exagérés... mais malgré tout cela, ça se lit tout seul, la construction est originale, la description de la ville d'Aurora et de ses habitants est assez réaliste et donne une bonne image de la middle classe américaine ; les errements et interrogations sur le métier d'écrivain, les éditeurs aux dents longues, les ghost-writers : toute cette partie est intéressante , les personnages- même si certains traits sont un peu forcés - restent sympathiques et attachants.
Comme le dit Zéta, c'est un livre "juvénile" et pour les nombreuses satisfactions que nous apporte ce roman, on lui pardonne ses faiblesses. Comme le dit l'auteur à la fin, j'étais triste de quitter les personnages, j'ai refermé le livre avec regret en regardant une dernière fois la couverture... Donc c'est bon signe
Un très bon moment de lecture !
Ma note : 4,5 / 5
petitemartine- Admin
- Nombre de messages : 4755
Age : 53
Location : Morbihan /France
Date d'inscription : 04/01/2009
La vérité sur l'affaire Harry Québert
Certes, je n'ai pas lu énormément de livre mais tout de même, ce roman est étrange.
Etrange car je ne comprends pas tout l'engouement qu'il y a eu autour de ce livre. Car il faut bien reconnaitre une chose, Joël Dicker n'est pas un écrivain qui possède un style à lui. Il y a une sérieuse différence entre la première partie et les deux dernières. Et heureusement, son écriture s'améliore au fur et à mesure. J'ai donc un espoir pour ses futurs romans.
Car voilà, le gros problème de ce roman est sa mièvrerie. C'est juste affligeant tellement c'est mièvre. Dicker donne l'impression de ne pas savoir comment transmettre son idée de l'amour autrement qu'en répétant le prénom de l'être aimé. Ca donne des Nola, N O L A: ou 4 lettres comme N O L A. PATHETIQUE! Surtout que cela est censé venir d'un écrivain talentueux (le fameux Harry Québert) qui à 35 ans pour une fille de 15 ans. Le contraire aurait paru plus réaliste.
Mise à part cet énorme bémol, l'intrigue est bien amené et bien construite. C'est d'ailleurs le gros point fort de ce bouquin. A défaut d'avoir réfléchi sur un style d'écriture, Dicker a du passer des heures à réfléchir à son intrigue. Et c'est ce qui a fait, je pense, de son livre un véritable succès.
Si le prochain a une intrigue aussi bie construite et un style plus prononçé, cela pourra être un véritable chef d'oeuvre.
Etrange car je ne comprends pas tout l'engouement qu'il y a eu autour de ce livre. Car il faut bien reconnaitre une chose, Joël Dicker n'est pas un écrivain qui possède un style à lui. Il y a une sérieuse différence entre la première partie et les deux dernières. Et heureusement, son écriture s'améliore au fur et à mesure. J'ai donc un espoir pour ses futurs romans.
Car voilà, le gros problème de ce roman est sa mièvrerie. C'est juste affligeant tellement c'est mièvre. Dicker donne l'impression de ne pas savoir comment transmettre son idée de l'amour autrement qu'en répétant le prénom de l'être aimé. Ca donne des Nola, N O L A: ou 4 lettres comme N O L A. PATHETIQUE! Surtout que cela est censé venir d'un écrivain talentueux (le fameux Harry Québert) qui à 35 ans pour une fille de 15 ans. Le contraire aurait paru plus réaliste.
Mise à part cet énorme bémol, l'intrigue est bien amené et bien construite. C'est d'ailleurs le gros point fort de ce bouquin. A défaut d'avoir réfléchi sur un style d'écriture, Dicker a du passer des heures à réfléchir à son intrigue. Et c'est ce qui a fait, je pense, de son livre un véritable succès.
Si le prochain a une intrigue aussi bie construite et un style plus prononçé, cela pourra être un véritable chef d'oeuvre.
revolte- Nombre de messages : 146
Date d'inscription : 16/02/2010
Re: Joël DICKER (Suisse)
Le livre des Baltimore
Joël Dicker
Editions de Fallois 21 août 2015
476 pages
Quatrième de couverture
Jusqu’au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair.
Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l’auteur de La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey.
Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d’une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne.
Huit ans après le Drame, c’est l’histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu’en février 2012, il quitte l’hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s’atteler à son prochain roman.
Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu il éprouva jadis pour cette famille de l’Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s’effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu’au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis : qu’est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?
Copié-collé sur temps-livres
Joël Dicker décide d’écrire sur sa propre famille. Marcus vient des Goldman de Montclair: classe moyenne, maison banale à Montclair, petite ville dans la banlieue de New York. Rues à la Hopper, avec maisons de briques. Marcus a grandi dans la fascination pour l’autre branche de la famille, les Goldman de Baltimore, le grand port sur l’Atlantique, porte d’entrée historique pour de nombreux migrants. Ces Goldman-là habitent une grande demeure somptueuse dans la banlieue riche de la ville. L’oncle Saul est un avocat de renom. Tante Anita est médecin à l’Hôpital John Hopkins. Il y a aussi Hillel, leur fils, provocateur inspiré, et Woody, fils adopté par le couple, sauvé des gangs et qui rêve d’une carrière dans le football.
Mon avis
Un roman qui m’a captivée du début jusqu’à la fin car bien construit et bien écrit. Des allers-retours ou un certain Drame flotte sur l’ensemble, mais que s’est-il donc passé pour que ce Drame soit si souvent évoqué ? Bien sûr cette famille mystérieuse garde bien ses secrets, il est évident que l’une vit dans le luxe alors que celle de Marcus est une famille simple et ordinaire, mais cela pourrait-il expliquer ce Drame ? Je reste sur ma question qui m’incite à avancer dans ma lecture, la réponse me récompensera. Encore un gros coup de cœur pour ce très beau livre. 5/5
Repris dans le roman
Je pense que ce Livre des Baltimore est une véritable réussite car celui-ci inclus, je pense que les livres sont plus forts que la vie, Ils en sont la plus belle des revanches. Ils sont les témoins de l’inviolable muraille de notre esprit, de l’imprenable forteresse de notre mémoire.
Joël Dicker
Editions de Fallois 21 août 2015
476 pages
Quatrième de couverture
Jusqu’au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair.
Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l’auteur de La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey.
Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d’une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne.
Huit ans après le Drame, c’est l’histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu’en février 2012, il quitte l’hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s’atteler à son prochain roman.
Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu il éprouva jadis pour cette famille de l’Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s’effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu’au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis : qu’est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?
Copié-collé sur temps-livres
Joël Dicker décide d’écrire sur sa propre famille. Marcus vient des Goldman de Montclair: classe moyenne, maison banale à Montclair, petite ville dans la banlieue de New York. Rues à la Hopper, avec maisons de briques. Marcus a grandi dans la fascination pour l’autre branche de la famille, les Goldman de Baltimore, le grand port sur l’Atlantique, porte d’entrée historique pour de nombreux migrants. Ces Goldman-là habitent une grande demeure somptueuse dans la banlieue riche de la ville. L’oncle Saul est un avocat de renom. Tante Anita est médecin à l’Hôpital John Hopkins. Il y a aussi Hillel, leur fils, provocateur inspiré, et Woody, fils adopté par le couple, sauvé des gangs et qui rêve d’une carrière dans le football.
Mon avis
Un roman qui m’a captivée du début jusqu’à la fin car bien construit et bien écrit. Des allers-retours ou un certain Drame flotte sur l’ensemble, mais que s’est-il donc passé pour que ce Drame soit si souvent évoqué ? Bien sûr cette famille mystérieuse garde bien ses secrets, il est évident que l’une vit dans le luxe alors que celle de Marcus est une famille simple et ordinaire, mais cela pourrait-il expliquer ce Drame ? Je reste sur ma question qui m’incite à avancer dans ma lecture, la réponse me récompensera. Encore un gros coup de cœur pour ce très beau livre. 5/5
Repris dans le roman
Je pense que ce Livre des Baltimore est une véritable réussite car celui-ci inclus, je pense que les livres sont plus forts que la vie, Ils en sont la plus belle des revanches. Ils sont les témoins de l’inviolable muraille de notre esprit, de l’imprenable forteresse de notre mémoire.
lalyre- Nombre de messages : 5800
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Joël DICKER (Suisse)
Il n'est pas encore sorti en France ....Mais c'est sûr que je me jetterai dessus
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