Victoria HISLOP (Royaume-Uni)

l'île des oubliés

Le résumé a déjà été fait.
c'est un très bon roman; la trame est archi classique....mais me suis laissé porter par l'histoire.
fermeture de la léproserie en 1957....ce n'est pas si vieux que ça.
Quand j'avais visité l'île, n'avait pas retenu que cela faisait juste 15 ans que les lépreux, guéris pour la plupart avaient pu la quitter.
ai trouvé moins convaincante la partie traitant de la révélation de ses origines à la petite-fille....
mais au final: très agréable lecture
4./5

L'île des oubliés

A l'occasion d'un voyage en Crête, Alexis, une jeune anglaise découvre l'histoire de sa famille. Sa mère y est née dans le petit village de Plaka en face duquel se trouve l'île de Spinalonga. Cette île servit de léproserie de 1903 à 1957.
J'ai littéralement dévoré ce roman de Victoria Hislop. A la fois saga familiale et romantique, il est aussi un livre contre l'exclusion.
A travers ce récit, j'ai appris ce qu'était vraiment la lèpre et le combat permanent que devaient mener les personnes atteintes de cette terrible maladie. L'auteur nous raconte dans le détail quelle était la vie de ces malades rejetés, isolés, parqués sur cette île qui était devenue leur nouvelle "maison". 
Mais ce roman est aussi un extraordinaire voyage en Crête: ses paysages magnifiques, sa cuisine, ses fêtes traditionnelles......
Une belle histoire familiale, des personnages attachants....Bref une très belle lecture   
Ma note 5/5

C'est la passion pour la danse qui amène Sonia et son amie à Grenade . Lors d'une promenade elle entre dans le café el baril et intriguée par les affiches de Flamenco et de Toréro elle fait la connaissance de Miguel.
Chaque jour lors d'une pause café il lui raconte l'histoire de la famille Ramirez qui tenaient ce café dans les années , des parents de Mercedes et de ses trois frères et du drame vécu lors de la Guerre civile.

Après la vie des lépreux dans l'île des oubliés et la vie à Théssalonique au début du XX eme siècle Victoria Hislop nous amène en Espagne à l'Alambra.Si l'intrigue familiale de Sonia est un peu cousue de fil blanc l'auteur retrace bien l'histoire de cette guerre qui a vu s'affronter des gens d'un même village et qui a déchiré les membres d'une même famille On croise Franco, et Garcia LLorca . Je connais assez peu cette période et j'ai été passionnée par ce roman .
Ma note 4.5/5 

Vu vos critiques, je me suis procurée L'Ile des oubliés que je compte lire cet été. Je note aussi celui-ci, la période historique m'intéresse. Merci !

MYRTILLE tu vas passer un bon moment de lecture 

L’Île des Oubliés    Victoria Hislop

Le livre de poche  519 pages

 

En vacances en Crète, Alexis décide de se pencher sur son histoire familiale dont elle ignore tout, pour pouvoir avancer dans sa vie personnelle. Sa mère, Sophia, est née en Crète et a quitté son pays natal pour se marier avec un anglais et vivre en Grande Bretagne. Mais Sophia n’a jamais voulu parler de son passé crétois jusqu’ici. Sophia remet donc une lettre à Alexis pour Fotini, une vieille amie de sa famille qui connaît parfaitement tous les détails de la vie menée à Plaka par les parents de Sophia. Alexis se rend à Plaka et découvre donc au travers du récit fait par Fotini que ses arrières grands-parents maternels vivaient eux aussi à Plaka et qu’un drame s’est produit en 1939 lorsque son arrière grand-mère Eleni a contracté la lèpre et qu’ainsi, elle a dû quitter son mari et ses 2 petites filles, Anna et Maria, pour Spinalonga, une île située face à Plaka et sur laquelle était installée une colonie de lépreux. Cet exil marquera le début d’une histoire douloureuse pour tous les membres de cette famille sur plusieurs générations.   

 

L’Île des Oubliés est le premier livre de Victoria Hislop que j’ai lu, suite à vos critiques élogieuses. Et je ne regrette absolument pas cette lecture. J’ai en effet découvert un auteur qui sait parfaitement intégrer des faits historiques à une histoire romanesque poignante et touchante. Bref, sans s’en rendre compte, on apprend ainsi ce qu’était le quotidien des lépreux avant la découverte du traitement qui allait par la suite leur permettre de vivre presque normalement, malgré les préjugés de certains quant à la maladie.

J’ai été particulièrement sensible à tout ce que les malades ont recréé sur Spinalonga : car c’est une véritable ville qui a été construite mêlant équipements médicaux et sanitaires aux habitations, commerces et même équipements de loisirs. L’auteur a su parfaitement dépeindre toutes les relations humaines entre malades, entre malades et non malades ainsi que les conditions dans lesquelles le traitement a été élaboré. Elle a de plus construit une saga familiale prenante en décrivant parfaitement chacun des personnages. Et puis le cadre de la Crète est tellement dépaysant.



C’est donc un très agréable moment de lecture que j’ai également fait partager à ma mère qui, elle aussi, a beaucoup aimé ce livre. Et Victoria Hislop est un auteur que je vais désormais suivre.



NOTE : 4.75 / 5

Le fil des souvenirs - Victoria Hislop
Les escales éditions - 425 pages

Résumé

A Thessalonique, deuxième ville de Grèce, en 1917, Dimitris vient au monde alors qu’un terrible incendie ravage la ville. Sa famille est alors obligée de quitter son bel hôtel particulier pour s’installer dans une petite maison des quartiers populaires. C’est là que Dimitris grandira et là qu’il fera la connaissance de Katerina, une petite fille rescapée de Smyrne.

Mon avis

J'avais adoré L’île des oubliés donc je ne peux pas m’empêcher de comparer celui-ci avec le précédent et je le dis tout de suite, je l’ai trouvé un cran en dessous. Sans doute parce que mes attentes étaient hautes.

Ceci dit, j’ai tout de même apprécié ma lecture et notamment, j’ai aimé découvrir la ville de Thessalonique que je ne connaissais pas. Marquée par un terrible incendie, puis par l’occupation allemande, c’est une ville très métissée où cohabitait sans heurts chrétiens, juifs et musulmans jusqu’à ce que l’histoire s’en mêle et détruise cette belle harmonie.

Mais, Le fil des souvenirs c’est aussi et surtout l’histoire de Dimitris et Katerina, deux personnages qui n’auraient jamais dû se rencontrer si le destin ne s’en était pas mêlé.
Deux personnages qui vont grandir l’un à côté de l’autre mais qui sont pourtant assez différents : Katerina d’origine modeste a été séparée de sa mère et va grandir dans une famille d’adoption où elle se découvrira un talent pour la couture. Dimitris, lui, est l’héritier d’une entreprise de textile mais dès son plus jeune age il refusera le destin tout tracé par son père.

Ces deux personnages, ainsi que ceux qui gravitent autour d’eux, sont attachants et on ne peut qu’être touché par les évènements dramatiques qui frappent la Grèce à cette époque. Quelques facilités de scénario m’ont toutefois un peu gêné, ce qui a un peu terni ma lecture.

Mais malgré ces petits défauts, ça reste une belle histoire très dépaysante et qui, je pense, mérite d’être découverte, ne serait-ce que pour mieux connaitre la ville de Thessalonique et l’histoire de la Grèce.


4/5

Non, Chantal, je n'ai pas lu Une dernière danse mais c'est prévu Je vais suivre cet auteur de près, j'aime beaucoup le côté dépaysant de ses romans

LA VILLE ORPHELINE -


A chaque livre Victoria Hislop nous fait découvrir l’histoire d’un lieu et d’un peuple. L’ile des Lépreux de Spinalonga dans l’île des oubliés, Théssalonique dans le fil des souvenirs, la guerre civile espagnole dans une dernière danse. Cette fois elle nous amène à Chypre .
 
Le roman commence dans les années 70 une période de calme politique pour cette île qui a été tour à tour sous domination grecque, Ottomane et Anglaise .C’est l’explosion du tourisme et le couple formé pat Aphroditi et son mari se préparent à l’inauguration de l’hôtel le plus beau de Famagouste avec sa boite de nuit très sélecte tenue par le bras droit du propriétaire Markos. Deux femmes sont employées dans le salon de coiffure l’une est Chypriote grecque l’autre Turque deux communautés qui vivent en harmonie. Quand le coup d’Etat contre le président Markiros avorte, les troupes militaires turques s’emparent du Nord de l’île seules deux familles restent dans la ville de Famagouste bombardée et désertée les Georgiou et les Özkan
Dans ce roman le contraste est saisissant entre l’insouciance du début dans une station balnéaire très prisée ou de riches vacanciers exhibent leurs plus beaux vêtements et leurs plus beaux bijoux.  La population qui vit grâce a ce tourisme quitte petit à petit la terre et l’auteur raconte comment la vie peut basculer .Quand aux personnages la belle et riche Aphroditi s’avère moins superficielle au fur et à mesure de la lecture et le personnage de Markos évolue aussi .. mais je n'en dis pas plus  Je me suis attachée aux deux amies Irini et Emine et à leur familles qui chacune perd un enfant mais elles vont se soutenir envers et contre tous.
 
La lecture de l’île des oubliés m’avait donné envie d’aller en Crête et j’ai pu visiter l’île de Spinalonga l’an dernier celle-ci m’a aussi poussée à en savoir plus sur l’histoire de cette île de Chypre. 
4.5/5

Ta critique donne envie de lire ce livre, Kattylou!

Une dernière danse 


A l'occasion d'un séjour à Grenade, Sonia, une jeune femme anglaise rencontre un vieux monsieur patron du café El Barril. Celui-ci lui raconte l'histoire de la famille Ramirez, propriétaire du bar dans les années 30. La terrible période de la guerre civile espagnole nous est ici racontée à travers le portrait de cette fratrie.
Mêlant une fois de plus Histoire et intrigue familiale, Victoria Hislop nous entraîne dans ces sombres années de guerre civile espagnole. 
J'ai été emportée par cette histoire (même si elle paraît un peu cousue de fil blanc par moment) qui m'a permis aussi de m'intéresser d'un peu plus près à cette période historique. 
Ma note 4,5/5

 
 
 

La ville orpheline - Victoria Hislop
Les escales éditions - 368 pages

Quatrième de couverture

Chypre, été 1972. La ville de Famagouste héberge la station balnéaire la plus prisée de la Méditerranée, où Chypriotes grecs et turcs vivent en parfaite harmonie. Un couple ambitieux y ouvre Le Sunrise, un hôtel extrêmement luxueux. Lorsqu’un putsch grec plonge l’île dans le chaos, celle-ci devient le théâtre d’un conflit désastreux. Famagouste est bombardée. Quarante mille personnes fuient l’armée en marche. Parmi eux, Aphroditi, contrainte de suivre son mari sans savoir si elle pourra un jour revoir son amant. Dans la ville désertée, seules deux familles demeurent : les Georgiou et les Özkan. Voici leur histoire.

Mon avis

Encore un bon roman de Victoria Hislop même si j’ai préféré L’île des oubliés et Le fil des souvenirs.

Le début a un air de vacances, on est dans un hôtel luxueux, au bord de la mer, dans une ville certes très touristique mais qui semble avoir gardé une certaine authenticité.

Dans cette première partie, on fait également la connaissance des personnages. D’un coté, il y a Savvas, l’hôtelier hyper ambitieux qui pense rentabilité et sa femme Aphroditi, une riche héritière qui semble assez superficielle au premier abord. De l’autre, il y a les employés de l’hôtel : Markos Gergiou le bras droit de Savvas hyper dévoué et Emine Özkan la coiffeuse d’Aphroditi qui est très amie avec Irini, la mère de Markos et ce malgré leur origines différentes – les Gergiou sont grecs, les Özkan sont turcs.
A l’instar d’Emine et Irini, les communautés grecques et turques cohabitent dans une relative harmonie.

Bref, au début, Famagouste a tout d’un paradis, que ce soit pour les touristes ou pour les locaux et on n’a qu’une envie : s’acheter sur le champ un billet pour Chypre.

Et puis, d’un coup, l’histoire s’en mêle et la carte postale s’efface. Le nouvel hôtel de Savvas est bombardé, l’armée turque est aux portes de ville et les habitants sont obligés de fuir, abandonnant tout sur place.

J’ai vraiment beaucoup aimé toute la deuxième partie du roman où on l’on suit les Gergiou et les Özkan dans la ville vidée de tout habitant et pillée par les soldats turcs. C’est vraiment très intéressant de voir comment s’organise leur survie dans ces conditions extrêmes. C’est également l’occasion de voir les personnages se révéler sous leur vrai jour et c’est pas toujours joli à voir. Les crises révèlent souvent le pire comme le meilleur de la nature humaine.

L’atout principal de ce roman, c’est qu’il permet de découvrir un pan de l’histoire de Chypre (que personnellement j’ignorais totalement) à travers l’histoire des personnages. Et j’ai beaucoup apprécié cette découverte tout en vivant, tremblant et espérant à leurs côtés tout au long du récit.

Au final, ce fut donc un bon moment de lecture à la fois dépaysant, émouvant et rempli de suspense. Parfait à mon avis à lire en période estivale (ou pas d’ailleurs)!

4/5

Intéressant!

Une dernière danse – Victoria Hislop

Derrière les tours majestueuses de l’Alhambra, les ruelles de Grenade résonnent de musique et de secrets. Venue de Londres pour prendre des cours de danse, Sonia ignore tout du passé de la ville quand elle arrive. Mais une simple conversation au café El Barril va la plonger dans la tragique histoire de la cité de Garcia Lorca et de la famille qui tenait les lieux.
Soixante-dix ans plus tôt, le café abrite les Ramirez : trois frères qui n’ont rien d’autre en commun que leur amour pour leur sœur, Mercedes. Passionnée de danse, la jeune fille tombe bientôt sous le charme d’un gitan guitariste hors pair. Mais tandis que l’Espagne sombre dans la guerre civile, chacun doit choisir un camp. Et la fratrie va se déchirer entre résistance, soumission au pouvoir montant, ou fuite.

Happée par ce récit de feu et de sang, Sonia est loin d’imaginer à quel point cette histoire va bouleverser sa propre existence…
Mon avis sur cette lecture est assez mitigée car si j’ai bien aimé l’histoire de Mercedes, celui de ses frères m’a moins passionné. J’aime les romans historiques, apprendre l’histoire à travers des romans, mais j’aime peu les passages qui relatent de la guerre car ils tournent au documentaire, j’aurai aimé que ces passages soient abordés différemment, cela reste mon avis. A part ces passages, j’ai pris du plaisir à lire ce roman, je ne connaissais pas trop bien cette période de l’histoire de l’Espagne.
Je trouve original, la façon dont le récit est construit, une anglaise qui va en Espagne, qui y rencontre Miguel, propriétaire d’un café ; ce dernier va lui raconter la passion que Mercedes avait pour le Flamenco, puis les années de guerre…
les révélations finales n’ont pas été une surprise, j’ai assez vite compris les liens entre les personnages mais cela ne gâche en rien la lecture.

Victoria Hilslop - Cartes postales de Grèce

Depuis L’ile des oubliés qui se passait en Crête  dans l’ile de Spinalonga Victoria Hilslop est une auteure que je suis. Ce roman est original car illustré photos sous forme de cartes postales
 
Dans la grisaille Londonienne Ellie reçoit des cartes postales de Grèce adressées à une certaine S . Enchantée par la beauté de ce pays en vient à les guetter  et lorsque ca s’arrête décide de partir à la découverte de la Grèce. Le jour de son départ son mystérieux expéditeur envoie à la même S un carnet
On apprend vite que l’expédieur s’appelle Anthony ce carnet  destiné  à celle qui n’est jamais venue le rejoindre qu’il croyait être la femme de sa vie et qu’il a attendu en vain. Dans une pension de Nauplie c'est Ellie qui va lire ce journal .
 
 Anthony décide de sillonner la Grèce, Athènes , Nauplie, Patras, Sparte, les Météores .
Dans ces carnets il y raconte son voyage à sa fiancée mais aussi les histoires qu’on lui a raconté au fil des rencontres. On découvre un pays pris entre tradition et modernité ou la crise est très présente .Les jeunes ne voient pas leur avenir et les anciens  ont vu leur retraite réduite
 
Il reste cependant la magie de ce pays ,des paysages , la gentillesse de ses habitants .
4/5

Après les cartes postales de Dodie, ce livre de cartes postales présenté par Kattylou,... Quelles envies de voyage vous nous donnez!

Je l'ai justement lu quand Dodie était dans les Cyclades !

Une dernière danse
Victoria Hislop

Quatrième de couverture

Quand elle arrive à Grenade pour y prendre des cours de danse, Sonia, jeune Londonienne, ne sait rien du passé de la ville. Une conversation avec le patron du café El Barril va la plonger dans la tragique destinée de la famille Ramírez : soixante-dix ans plus tôt vivaient dans ces lieux trois frères aux idéaux opposés, veillant jalousement sur leur sœur, Mercedes, passionnée de flamenco. Tandis que celle-ci tombe amoureuse du guitariste gitan qui l’accompagne, l’Espagne sombre dans la guerre civile. Quel camp chacun va-t-il choisir ? Quels secrets et trahisons vont déchirer la fratrie à jamais ? Happée par ce récit de feu et de sang, Sonia est loin d’imaginer que sa propre existence en sera bouleversée…

Mon avis

Après un début assez léger où on découvre le personnage de Sonia, dont le couple est en pleine crise et qui vient se changer les idées à Grenade, le roman devient plus sombre.

Nous sommes plongés dans les années trente. La vie de la famille Ramirez, jusque là prospère et heureuse, bascule du jour au lendemain après le coup d’état de Franco et la guerre civile qui s’en suit. Dès lors, ce n’est plus que succession de malheurs. D’abord il y a la peur, la famille étant connue pour ses idées républicaines, à l’exception du frère cadet Ignacio. Puis il y a les arrestations, les exécutions, les combats, les bombardements, la fuite et la faim.

Je l’avoue, j’ai eu du mal à venir à bout de ce livre, pas parce qu’il est mal écrit, loin de là, mais parce que les situations vécues par les personnages sont difficilement soutenables.
Le roman montre sans complaisance et sans atténuation aucune le quotidien des espagnols durant le conflit et les ravages causés par la guerre. Et ça fait vraiment froid dans le dos.

Les horreurs du récit sont un peu contrebalancées par les liens très forts qui unissent les membres de la famille Ramirez malgré leurs différences, l’amour de Mercedes pour Javier et la passion de la jeune femme pour le flamenco, qui va lui permettre d’oublier pendant quelques rares instants la situation dramatique de sa famille.

Je vous recommande ce roman si vous voulez en savoir plus sur la guerre civile espagnole et si vous avez le cœur bien accroché. Pour ma part, j’ai préféré les autres livres de Victoria Hislop, celui-ci est trop sombre à mon gout. Ça ne m’empêchera toutefois pas d’en lire d’autres car j’aime voyager autour de la méditerranée grâce à sa plume et j’aime sa manière de faire revivre l’histoire à travers la destinée de personnages toujours très justes et touchants.

3,5/5