Livre du mois d'octobre - les nominés sont ...

La montagne invisible
528 pages




La montagne invisible est le premier roman de Carolina de Robertis ( USA/Uruguay) dont on compare l'écriture pleine de poésie à celle d'Isabel Allende.  J'étais à la recherche de ce livre, que j'ai récement trouvé dans une brocante,   depuis que notre amie Zeta l'avait critiqué et lui avait donné la note de 5/5. Je vous laisse découvrir la merveilleuse critique qu'elle en fait ICI.  Vous comprendrai que, vu tout le bien qu'on en dit, j'ai bien hâte de le lire!


Voici un petit résumé, d'après ce que j'en ai lu sur le web:

Magnifique roman qui nous plonge au cœur de l'Histoire chaotique de l'Uruguay au XXe siècle à travers les destins de trois femmes exceptionnelles, trois générations d'une même famille, femmes fortes et courageuses qui avancent avec détermination dans leurs vies, Pajarita avec ses talents de guérisseuse, Eva avec son amour de la poésie et Salomé la rebelle, combattante parmi les Tupamaros. C'est grâce à leurs rêves, leurs idéaux et la puissance des liens familiaux qu'elles traverseront les épreuves. On tremble avec elles lorsqu'elles sont confrontées aux drames de leur vie intime ou aux horreurs de l'Histoire. Un livre bouleversant qui se lit d'une traite et qui nous habite encore longtemps après l'avoir refermé.

Chouette, j'ai été tirée au sort ! Par contre, comme je n'ai qu'une connexion très légère (téléphone portable), je vais essayer de vous donner sommairement quelques bonnes raisons de lire Ce que je sais de Vera Candida :
- Véronique Ovalde est une auteure au style particulier à la fois léger et fantaisiste, que j'avais apprécié avec Déloger l'animal
- C'est une histoire de femmes, de mère en fille. 
- C'est une histoire que permet de voyager en Amérique du Sud
- C'est un petit livre environ 300 pages
- Il a été apprécié sur le forum http://clubdesratsdebiblionet.forumr.net/t2885pl-véronique-Ovalde-France?hightlight=Ovalde
- Il a été remarqué lors de la rentrée litteraire 2009

Si vous êtes convaincu, votez pour ce livre !

Ha ben ça!!! je ne m'attendais pas à être pigée.






Situant son intrigue en Toscane en 1895, Marco Malvadi signe un roman policier dans les règles de l’art en dressant le portrait passionnant d’un pays en pleine mutation et établissant des parallèles troublants entre l’Italie de la fin du XIXe siècle et celle de Berlusconi.  Pellegrino Artusi – personnage véridique né en 1820, auteur de La science en cuisine et l’art de bien manger et considéré comme le fondateur de la gastronomie italienne – est invité au château du Baron de Roccapendente afin d’y déguster les mets savamment préparés par une cuisinière chevronnée. Mais l’arrivée du gastronome est loin de réjouir tous les occupants. Le Baron vit entouré de sa vieille mère et de ses trois enfants, de la dame de compagnie de la Baronne, de deux cousines vieilles filles et d’une flopée de domestiques. Le soir de l’arrivée d’Artusi, ils sont tous réunsi pour un succulent dîner. Épuisé, tant par son voyage que par le festin, Artusi monte directement se coucher à l’issue du dîner.À son réveil, il apprend que Teodoro, le majordome, vient d’être retrouvé mort, empoisonné, dans la cave. Quelques heures plus tard, quelqu’un tire un coup de fusil  sur le baron, le blessant grièvement. Chacune des personnes présentes est alors interrogée par l’auxiliaire de police local, dont l’intrusion et les questions dérangeantes irritent profondément la famille.

Mon mari l'a lu et s'est bien amusé