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Margaret LAURENCE (Canada)

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Margaret LAURENCE (Canada) Empty Margaret LAURENCE (Canada)

Message  Invité Ven 7 Nov 2008 - 18:59

Margaret LAURENCE (Canada) Margaret_Laurence235

Margaret Laurence est née en 1926 au Canada. En 1957, date de son retour d'Afrique où elle a vécu quelques années, elle débute le "cycle de Manawaka" composé de cinq livres, dont "L'ange de pierre". Elle reçoit pour chacun de ses ouvrages un accueil enthousiaste souvent récompensé par un prix littéraire. Admirée par des écrivains tels que Robertson Davies, Margaret Atwood ou Alice Munro, elle est un auteur majeur de la littérature canadienne. Elle meurt en 1987.




De : Profgéo --- Envoyé : 2007-09-15 19:38

Une divine plaisanterie
243 pages

Résumé:
Rachel Cameron vit avec sa mère au premier étage du salon funéraire de son père, racheté par quelqu'un d'autre à la mort de celui-ci. Elle a dû renoncer à ses études à ce moment-là pour s'occuper de sa mère. Depuis, elle travaille comme enseignante à l'école primaire de sa petite ville natale où tout le monde connaît tout le monde et où les cancans vont bon train. Elle a 34 ans et son célibat et sa chasteté commence à lui peser lourdement. Arrive alors Nick dans sa vie, qui s'empresse de coucher avec elle sans rien lui promettre ni prendre de précaution. Lorsqu'il disparaît, Rachel croit que son vieux rêve de devenir mère est sur le point de se réaliser.

Critique:
La première partie est excellente, là on le personnage principal, Rachel, a un long monologue intérieur avec elle-même où elle se regarde, remet tout en question autour d'elle, se déteste dans sa relation étouffante avec sa mère. Celle-ci la couve encore comme une gamine sans se rendre compte que sa fille est en train d'en devenir folle! Elle regarde aussi ses actes d'enseignante et en voit toutes les futilités en même temps que toutes les erreurs qu'elle y fait. Arrive dans ce décor le beau Nick, lui aussi enseignant. Lors de leurs brèves rencontres, il ne se passera pratiquement que du sexe et les brèves discussions qu'ils auront seront tellement pleine d'incompréhension que le sens en sera différent pour tous les deux. Mais cette relation permettra à Rachel de se libérer de la vie qu'elle menait. Cependant, la deuxième partie n'a pas le génie de la première. Une belle écriture, intéressante, mais un portrait de la société des années 50 et 60 avec toutes ses lourdeurs et ses contraintes qui a déjà été maintes fois faits. Heureusement, le monologue intérieur et les réflexions du personnage permettent de sauver une partie du récit.

Note: 3.25/5

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Message  Mousseline Sam 4 Sep 2010 - 16:18

Margaret LAURENCE (Canada) Livre_laurence

L'ange de pierre

(Alto, 2008, 439 pages)

(En France, "L'ange de pierre" est paru aux éditions Joëlle Losfeld)

Hagar Shipley est maintenant une vieille femme, elle a 90 ans. Elle est née et a grandi dans une petite ville des Prairies, au Manibota, soit Manawaka. Elle relate ses souvenirs. Sa mère est décédée à sa naissance, son père est l'un des hommes les plus riches de la ville, c'est un commerçant, elle a deux frères. Elle grandit dans un milieu privilégié si on considère qu'avoir de l'argent est un privilège. Plus tard, elle se marie contre la volonté de son père et sa vie sera plus difficile.

On suit aussi Hagar dans sa vie de vieille femme. Elle vit avec son fils et la femme de celui-ci dans sa maison, ses objets et ses souvenirs. Pour Marvin et Doris, ça devient de plus en plus exigeant de s'occuper de Hagar. Ils veulent l'installer dans une résidence pour personnes âgées et vendre la maison qui est beaucoup trop grande pour eux maintenant que leurs enfants sont partis. Mais Hagar n'entends pas quitter sa maison, elle ne se gêne pas pour manipuler Marvin et Doris pour arriver à ses fins. C'est une vieille femme acariâtre. Hagar jeune n'est pas plus aimable finalement. C'est une femme qui a le don de gâcher sa vie, elle est orgueilleuse comme pas une et de plus elle devrait "tourner la langue sept fois avant de parler." Elle juge sévèrement les gens autour d'elle, on se demande s'il y a de l'amour chez cette femme et pourtant elle est aimée mais elle ne semble pas s'en rendre compte.

"Oh je ne parlerai plus, plus jamais, à aucun être vivant. Je tiendrai ma langue jusqu'à mon dernier souffle. L'ennui, hélas, c'est que je n'y arriverai pas."

Malgré ses défauts, on compatit avec Hagar. Elle est devenue presque aussi dépendante qu'un bébé tout en étant très lucide. Il ne lui reste plus que sa maison et ses souvenirs et on veut les lui enlevés. On comprend aussi Marvin et Doris car soi-même on est confronté ou le sera à une situation un peu semblable, des parents qui vieillissent, des décisions à prendre.

En tout cas, Hagar Shipley est un très beau personnage.

J'aime la littérature canadienne et surtout ces romans qui me font découvrir la vie au début du vingtième siècle ici dans une toute petite ville du Manitoba, loin de tout.

Margaret Laurence fait partie des grandes auteures canadiennes, on dit qu'elle a été un modèle pour Margaret Atwood, Alice Munro et Robertson Davies. J'ai aimé faire un parallèle entre Margaret Laurence et Gabrielle Roy. L'une anglophone, l'autre francophone, les deux ont grandi au Manitoba.

J'ai lu à quelque part que Margaret Laurence est une auteure pour les femmes. Je veux bien le croire. Ce qui m'étonne par contre c'est que "L'ange de pierre" est une lecture imposée dans certains Highschools au Canada anglais. Je vois bien mal comment un adolescent pourrait s'intéresser à l'histoire d'une vieille dame de 90 ans.

La plume de Margaret Laurence est élégante et classique, le genre qui ne vieillit pas.

Depuis des années que j'avais envie de découvrir Margaret Laurence. "L'ange de pierre" et le premier roman du cycle Manawaka, quatre autres ont suivi. J'en m'en réjouis, des pages et des pages de lecture à venir. Mon année sera bien remplie.

Voici un extrait, un peu long j'en conviens mais je trouve qu'il représente parfaitement qui est Hagar Shipley :

"C'est ce que j'aurais voulu, me réjouir. J'en prends soudain conscience avec un force qui m'anéantit et me remplit d'une amertume que je n'ai jamais ressentie auparavant. J'ai probablement toujours voulu ça - me réjouir, tout simplement. Comment se fait-il que je n'ai pas pu? [...] Toutes les joies que j'aurais pu éprouver, celles que pouvaient m'apporter mon homme, l'un ou l'autre de mes enfants, ou simplement la lumière du matin, fouler le sol, toutes ces joies, un frein les a bloquées au point mort qui toujours fut la peur de ne pas paraître comme il faut. Comme il faut aux yeux de qui, mon Dieu? M'est-il arrivé de parler selon mon coeur?"

Note : 4,75/5


Le cycle de Manawaka :

L'ange de pierre
Une divine plaisanterie
Ta maison est en feu
Un oiseau dans la maison
Les devins

Manawaka est un nom fictif. En fait Margaret Laurence situe ce roman à Neepawa, une petite ville du Manitoba où elle a grandi.

Margaret LAURENCE (Canada) P025

La maison d'enfance Margaret Laurence, on peut la visiter.
Je n'y manquerai pas si je passe dans le coin.

Margaret LAURENCE (Canada) 51LC6lQ-9GL._SL500_AA300_

L'édition française

"Je trouvais qu'il n'était pas bon de grandir dans une maison où il n'y avait pas de tableaux pour apprivoiser les murs."

"Quand j'étais petite, à la ville, j'aimais les tempêtes de neige, cette sensation d'être assiégiée, mais en toute sécurité à l'intérieur d'une forteresse."

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Mousseline

Magasin général tome 2 : Serge de Loisel et Tripp et L'île des chasseurs d'oiseaux de Peter May


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Message  Mousseline Sam 4 Sep 2010 - 16:26

Le livre a été adapté en 2007 : IMDB


Je n'ai pas vu le film mais en regardant le trailer il me semble qu'on peut voir ce qu'est le roman.

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Message  odilette84 Sam 4 Sep 2010 - 16:58

ça me plait bien
je note, mais je serais étonnée de le trouver ici ...

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Margaret LAURENCE (Canada) Empty Un oiseau dans la maison - Margaret Laurence

Message  Aurore Jeu 26 Juil 2012 - 15:06




Un oiseau dans la maison - Margaret Laurence
(Éditions Joëlle Losfeld, 2012, 197 p., "Littérature étrangère")




Margaret LAURENCE (Canada) Un_ois10


Vanessa MacLeod est une petite fille qui passe sa vie entre ses grands-parents paternels et ses grands-parents maternels. Elle a neuf ans lorsque commence le premier des huit récits, qui constituent ce livre, et est une femme indépendante à la fin de ce même ouvrage. On est à Manawaka, au Canada, et Nessa vit chez les MacLeod, avec sa grand-mère paternelle, son père médecin et sa mère (mais est-ce bien définitif?). Dans ces huit épisodes, on suit des événements charnières qui bousculent la famille dans son entier. Il y a de l'amour, des deuils mais aussi des petites épreuves qui forgent le caractère.

C'est vraiment un récit habilement construit qui permet de suivre une famille par des angles d'approche différents. En 200 pages, il ne s'agit pas de brosser un portrait dense des personnages ni des relations entre les uns les autres mais d'esquisser une filiation forte et immuable. Il y a une pléthore de personnages comme Tante Edna (la jeune sœur de la mère), qui semble bienveillante et pleine de délicates attentions, mais aussi Oncle Dan (un vieil homme fantasque qui prend des airs d'Irlandais endimanché), le cousin Chris (voyageur averti et optimiste de nature) et enfin le petit frère Roderick (qui a été une bénédiction tout autant qu'une crainte). Tous passent dans ces récits et marquent notre jeune narratrice au fer rouge. C'est qu'elle en a de la ressource la gamine et qu'elle pige les choses bien vite, grâce aux subterfuges qui lui permettent d'être mise dans la confidence de la vie des adultes.

Un gros bon point pour le titre et la couverture, particulièrement avenants. Un autre élément plaide en la faveur de ce roman : ces huit tranches de vie faites d'ellipses mais aussi de flash-back qui rendent le tout extrêmement vivant et fluide. Cette famille est décidément sympathique et, en tête de file, il y a Vanessa déjà lucide et pourtant pleine d'entrain et de projets.

Le canari, comme d'habitude, n'était pas d'humeur musicienne et je restais assise à côté de la cage, morne, indifférente, n'essayant même pas de l'inciter à chanter. Je me demandai si grand-mère Connor était en ce moment même au ciel, cet endroit incertain. (p. 82)

Indéniablement, j'aurais bien envie de relire Margaret Laurence. Le temps nous le dira !




4/5

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Ce n'est pas parce que c'est inventé que ça n'existe pas.





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Message  noemiejardine Dim 5 Aoû 2012 - 12:40

l'ange de pierre

très joli résumé de Mousseline
Hagar Shipley est maintenant une vieille femme, elle a 90 ans. Elle est
née et a grandi dans une petite ville des Prairies, au Manibota, soit
Manawaka. Elle relate ses souvenirs. Sa mère est décédée à sa naissance,
son père est l'un des hommes les plus riches de la ville, c'est un
commerçant, elle a deux frères. Elle grandit dans un milieu privilégié
si on considère qu'avoir de l'argent est un privilège. Plus tard, elle
se marie contre la volonté de son père et sa vie sera plus difficile.

On
suit aussi Hagar dans sa vie de vieille femme. Elle vit avec son fils
et la femme de celui-ci dans sa maison, ses objets et ses souvenirs.
Pour Marvin et Doris, ça devient de plus en plus exigeant de s'occuper
de Hagar. Ils veulent l'installer dans une résidence pour personnes
âgées et vendre la maison qui est beaucoup trop grande pour eux
maintenant que leurs enfants sont partis. Mais Hagar n'entends pas
quitter sa maison, elle ne se gêne pas pour manipuler Marvin et Doris
pour arriver à ses fins. C'est une vieille femme acariâtre. Hagar jeune
n'est pas plus aimable finalement. C'est une femme qui a le don de
gâcher sa vie, elle est orgueilleuse comme pas une et de plus elle
devrait "tourner la langue sept fois avant de parler." Elle juge
sévèrement les gens autour d'elle, on se demande s'il y a de l'amour
chez cette femme et pourtant elle est aimée mais elle ne semble pas s'en
rendre compte.

"Oh je ne parlerai plus, plus jamais, à aucun
être vivant. Je tiendrai ma langue jusqu'à mon dernier souffle.
L'ennui, hélas, c'est que je n'y arriverai pas."


Malgré ses
défauts, on compatit avec Hagar. Elle est devenue presque aussi
dépendante qu'un bébé tout en étant très lucide. Il ne lui reste plus
que sa maison et ses souvenirs et on veut les lui enlevés. On comprend
aussi Marvin et Doris car soi-même on est confronté ou le sera à une
situation un peu semblable, des parents qui vieillissent, des décisions à
prendre.

Hagar est un personnage...pas très sympathique au fond: l'orgueil l'a coupée de quasi tout et surtout des siens.
elle se remémore sa vie...des regrets quand même....aurait-elle fait autrement si c'était à refaire? on ne sait trop, mais on pense que non, pas vraiment.
Sa terreur d'être placée dans une institution pour personnes âgées, comme on la comprend et la partage...

In fine, un très beau roman.


une critique sympa, bien que l'auteur ne voie pas la même Hagar que moi!
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/22223

4.5/5
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Message  noemiejardine Mar 7 Aoû 2012 - 15:50

une divine plaisanterie

Margaret LAURENCE (Canada) 415ZM0QQ9KL._SL500_AA300_


  • Broché: 255 pages
  • Editeur : Editions Gallimard (30 mars 2006)
  • Collection : Littérature étrangère
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2070789764
  • ISBN-13: 978-2070789764
Présentation de l'éditeur:

Rachel Cameron a trente-quatre ans. Elle est célibataire et enseigne
dans la petite ville de Manawaka, au Canada, où elle a toujours vécu.
Rachel refuse toute vie sociale et, habitant toujours avec sa mère,
s'enferme obstinément dans une vie
rythmée par les soins qu'elle lui
prodigue quotidiennement. Avec le directeur de l'école, avec sa mère,
avec sa collègue, Rachel ne trouve jamais la force de s'exprimer, de se
révéler. Celle qui se définit elle-même comme un anachronisme rencontre
bientôt en la personne de Nick Kazlik son premier amour, son premier
amant qui va transformer sa vie à jamais. Mais celui auquel elle se
donne déjà corps et âme s'empresse de disparaître, sans donner de
nouvelles, dès lors qu'elle lui parle naïvement de son désir d'enfant...

et très joli résumé par Calepin
Rachel Cameron vit avec sa mère au premier étage du salon funéraire de
son père, racheté par quelqu'un d'autre à la mort de celui-ci. Elle a
dû renoncer à ses études à ce moment-là pour s'occuper de sa mère.
Depuis, elle travaille comme enseignante à l'école primaire de sa petite
ville natale où tout le monde connaît tout le monde et où les cancans
vont bon train. Elle a 34 ans et son célibat et sa chasteté commence à
lui peser lourdement. Arrive alors Nick dans sa vie, qui s'empresse de
coucher avec elle sans rien lui promettre ni prendre de précaution.
Lorsqu'il disparaît, Rachel croit que son vieux rêve de devenir mère est
sur le point de se réaliser.

personnellement, n'ai pas trouvé que la deuxième partie du roman avait moins de "génie" que la première.

le soliloque intérieur de Rachel est très bien rendu: c'est fou ce que l'on peut penser par devers soi, à tout moment...en fait cela ne s'arrête guère si l'on s'observe....
que de lettres j'écris chaque jour à mes amis...et puis le moment de prendre la plume, il m'arrive comme une fatigue et un besoin de faire autre chose....

ne connaissais pas cette auteur canadienne, une championne des ressorts psychologiques qui décrit à merveille les sentiments mitigés que l'on peut avoir s'agissant de son héritage familial, culturel, voire religieux.
en sus, il y avait une très jolie postface de Margaret Atwood.

4/5

deux critiques sympas
http://www.blogg.org/blog-80645-date-2009-12-25-billet-une_divine_plaisanterie_de_margaret_laurence-1126302.html
http://joursdemarie.canalblog.com/archives/2007/03/19/4358734.html
noemiejardine
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