MORRIS Heather (Australie)
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MORRIS Heather (Australie)
Le tatoueur d'Auschwitz
L’histoire vraie de Lale Solokov, Juif chargé de tatouer les déportés arrivant à Auschwitz. C’est ainsi qu’il rencontre Gita et en tombe amoureux. Ensemble, ils partagent des moments volés au cœur de l’horreur, sans jamais perdre l’espoir d’être réunis à leur sortie du camp.
Tout est dit dans le titre et le résumé. Ce roman nous plonge dans l'horreur des camps de concentration, en particulier ceux d'Auschwitz et Birkenau.
Mon avis est au final un peu mitigé. L'auteure est une journaliste qui a recueilli, à sa demande, le témoignage de Lale Solokov lorsque celui-ci, alors âgé, a voulu laisser une trace de cette terrible période.
Certes, l'histoire d'amour entre Lale et Gita est attendrissante, met du baume au cœur et laisse en arrière-plan l'horreur qui les entoure. Mais justement, le côté "romance" m'a un peu dérangée, surtout à la fin. Alors je ne sais pas. Est-ce une volonté de l'auteure de masquer les atrocités, car elle en parle presque à demi-mots? Est-ce une volonté de Lale Solokov lui-même de ne pas en rajouter, peut-être par pudeur? Ses trois ans passés dans le camp ne semblent pas aussi terribles (c'est bizarre de dire ça) et les situations difficiles desquelles il s'est sorti semblent assez rocambolesques.
Au résultat, je pense que j'aurais trouvé ce roman mal approprié si je n'avais pas su au départ qu'il était tiré d'une histoire vraie.
Ma note 3/5
L’histoire vraie de Lale Solokov, Juif chargé de tatouer les déportés arrivant à Auschwitz. C’est ainsi qu’il rencontre Gita et en tombe amoureux. Ensemble, ils partagent des moments volés au cœur de l’horreur, sans jamais perdre l’espoir d’être réunis à leur sortie du camp.
Tout est dit dans le titre et le résumé. Ce roman nous plonge dans l'horreur des camps de concentration, en particulier ceux d'Auschwitz et Birkenau.
Mon avis est au final un peu mitigé. L'auteure est une journaliste qui a recueilli, à sa demande, le témoignage de Lale Solokov lorsque celui-ci, alors âgé, a voulu laisser une trace de cette terrible période.
Certes, l'histoire d'amour entre Lale et Gita est attendrissante, met du baume au cœur et laisse en arrière-plan l'horreur qui les entoure. Mais justement, le côté "romance" m'a un peu dérangée, surtout à la fin. Alors je ne sais pas. Est-ce une volonté de l'auteure de masquer les atrocités, car elle en parle presque à demi-mots? Est-ce une volonté de Lale Solokov lui-même de ne pas en rajouter, peut-être par pudeur? Ses trois ans passés dans le camp ne semblent pas aussi terribles (c'est bizarre de dire ça) et les situations difficiles desquelles il s'est sorti semblent assez rocambolesques.
Au résultat, je pense que j'aurais trouvé ce roman mal approprié si je n'avais pas su au départ qu'il était tiré d'une histoire vraie.
Ma note 3/5
Re: MORRIS Heather (Australie)
Dodie : Parfois des sujets difficiles nous font oubliés, ou nous obligent à oublier, la faiblesse du style et de l'écriture d'un roman. Cela semble être le cas pour cette lecture. Comme il m'a été amené à le faire parfois, je vois que tu ne t'es pas laissé submergée par les sentiments pour juger ce livre. J'apprécie ce genre d'objectivité même si parfois elle est mal perçue par d'autres lecteurs.
Dkois- Nombre de messages : 3562
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Date d'inscription : 10/01/2015
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