Noel COWARD (Royaume-Uni)
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Noel COWARD (Royaume-Uni)
De : s-lewerentz (Message d'origine) Envoyé : 2007-06-23 02:07
Private Lives (Lunes de miel)
Publié par « L’avant-scène, théâtre », février 2004
Résumé
Amanda et Eliot se sont aimés passionnément mais ont fini par divorcé cinq ans plus tôt. Ils ont refait leur vie et pendant la première soirée de leur lune de miel respective, ils découvrent qu’ils séjournent dans le même hôtel. Ni une ni deux, ils retombent dans les bras l’un de l’autre et s’enfuient même s’ils finissent rapidement par s’affronter à nouveau.
Commentaire
J’avais beaucoup lu sur Noel Coward (dans des livres sur la littérature britannique) et je me réjouissais de lire un auteur que l’on présentait comme drôle et féroce, « so british ». Pour la férocité, je n’ai pas été déçue, il s’y connaît ! Pour l’humour par contre… oui, c’est drôle mais je n’ai pas ri au éclats non plus de ces lunes de miel qui virent rapidement à des lunes de fiel, comme le fait remarquer Danielle Dumas dans sa préface.
Ceci dit, les personnages sont une caricature de « ces héros protégés et protecteurs, prospères et profiteurs, sans aucun souci financier, sans aucune contrainte professionnelle […], somptueux et égoïstes. […] Leurs conflits explosent à l’intérieur d’une bulle dorée qui n’éclate jamais. » (D. Dumas)
Une première expérience mitigée donc mais qui ne m’empêchera pas de relire d’autres pièces de Coward.
2.5/5
Private Lives (Lunes de miel)
Publié par « L’avant-scène, théâtre », février 2004
Résumé
Amanda et Eliot se sont aimés passionnément mais ont fini par divorcé cinq ans plus tôt. Ils ont refait leur vie et pendant la première soirée de leur lune de miel respective, ils découvrent qu’ils séjournent dans le même hôtel. Ni une ni deux, ils retombent dans les bras l’un de l’autre et s’enfuient même s’ils finissent rapidement par s’affronter à nouveau.
Commentaire
J’avais beaucoup lu sur Noel Coward (dans des livres sur la littérature britannique) et je me réjouissais de lire un auteur que l’on présentait comme drôle et féroce, « so british ». Pour la férocité, je n’ai pas été déçue, il s’y connaît ! Pour l’humour par contre… oui, c’est drôle mais je n’ai pas ri au éclats non plus de ces lunes de miel qui virent rapidement à des lunes de fiel, comme le fait remarquer Danielle Dumas dans sa préface.
Ceci dit, les personnages sont une caricature de « ces héros protégés et protecteurs, prospères et profiteurs, sans aucun souci financier, sans aucune contrainte professionnelle […], somptueux et égoïstes. […] Leurs conflits explosent à l’intérieur d’une bulle dorée qui n’éclate jamais. » (D. Dumas)
Une première expérience mitigée donc mais qui ne m’empêchera pas de relire d’autres pièces de Coward.
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