Luis SEPULVEDA: Hot line
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Luis SEPULVEDA: Hot line
De : Sahkti1 (Message d'origine) Envoyé : 2007-03-20 13:30
Luis SEPULVEDA, Hot Line
Georges Washington Caucaman, inspecteur de police en Patagonie, d'origine mapuche, explose un jour, au sens premier du terme, le postérieur du fils véreux d'un général encore plus véreux. Au Chili, on n'attaque pas les militaires. Caucaman l'apprend à ses dépens, il est muté à Santiago. Une ville à laquelle il ne parvient pas à s'habituer, le déracinement est total. Mais l'histoire n'a pas dit son dernier mot.
Une histoire courte, pleine d'humour et d'ironie, avec l'écriture belle et sensible de Sepulveda, teintée de poésie et d'enracinement au pays natal.
J'ai aimé ce vague à l'âme ressenti par Caucaman, ces nerfs à fleur de peau et cette impression d'être nulle part à son arrivée dans la grande ville. Un roman très humain, avec une fin qui peut peut-être paraître facile ou un brin guimauve, ça se terminerait presque trop bien, mais c'est en réalité bien plus cruel qu'il n'y paraît. Car cette fin est celle d'une fiction, d'un roman; c'est du rêve. Illustrant hélas à merveille à quel point la réalité est toute autre.
Ma note: 4/5
Luis SEPULVEDA, Hot Line
Georges Washington Caucaman, inspecteur de police en Patagonie, d'origine mapuche, explose un jour, au sens premier du terme, le postérieur du fils véreux d'un général encore plus véreux. Au Chili, on n'attaque pas les militaires. Caucaman l'apprend à ses dépens, il est muté à Santiago. Une ville à laquelle il ne parvient pas à s'habituer, le déracinement est total. Mais l'histoire n'a pas dit son dernier mot.
Une histoire courte, pleine d'humour et d'ironie, avec l'écriture belle et sensible de Sepulveda, teintée de poésie et d'enracinement au pays natal.
J'ai aimé ce vague à l'âme ressenti par Caucaman, ces nerfs à fleur de peau et cette impression d'être nulle part à son arrivée dans la grande ville. Un roman très humain, avec une fin qui peut peut-être paraître facile ou un brin guimauve, ça se terminerait presque trop bien, mais c'est en réalité bien plus cruel qu'il n'y paraît. Car cette fin est celle d'une fiction, d'un roman; c'est du rêve. Illustrant hélas à merveille à quel point la réalité est toute autre.
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