Troy BLACKLAWS (Afrique du Sud)
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Troy BLACKLAWS (Afrique du Sud)
De :lacazavent (Message d'origine) Envoyé : 2008-09-22 12:07
Oranges sanguines de Troy BLACKLAWS
Flammarion 252 pages
Elevé dans une ferme en Afrique du Sud, Gecko a une enfance plutôt heureuse entre Beauty la nounou zouloue et Lucky Strike le cuisinier, une mère infirmière libérale et un père héroïsé qui chasse le zèbre et le springbok. Avec l'âge, vient la confrontation à la réalité de la ségrégation, l'éveil sexuel et l'apprentissage politique tragi-comique au lycée du Cap, mais pointe également à l'horizon la conscription pour l'armée sud- africaine.
Entre fable et roman, c'est une longue nouvelle dans la lignée de Doris Lessing, où l'on apprend à aimer nous aussi ce pays. On reste frapper par la rudesse du texte, habillement rythmé par de courte phrase qui nous font écouter, voir et respirer la terre d'Afrique.
Cependant, j'ai trouvé dommage que l'histoire ne soit pour l'auteur qu'un prétexte pour analyser ce qui peut pousser un homme à aimer son pays plus que tout autres bien qu'il fusse obliger de le fuir.
Elle me laisse une impression d'inachevé, comme le canevas d'un roman que l'on n'a pas encore écrit.
Monsieur l'auteur, je trouve que vos personnages mérite mieux !
Ma note : 3,75/5
Oranges sanguines de Troy BLACKLAWS
Flammarion 252 pages
Elevé dans une ferme en Afrique du Sud, Gecko a une enfance plutôt heureuse entre Beauty la nounou zouloue et Lucky Strike le cuisinier, une mère infirmière libérale et un père héroïsé qui chasse le zèbre et le springbok. Avec l'âge, vient la confrontation à la réalité de la ségrégation, l'éveil sexuel et l'apprentissage politique tragi-comique au lycée du Cap, mais pointe également à l'horizon la conscription pour l'armée sud- africaine.
Entre fable et roman, c'est une longue nouvelle dans la lignée de Doris Lessing, où l'on apprend à aimer nous aussi ce pays. On reste frapper par la rudesse du texte, habillement rythmé par de courte phrase qui nous font écouter, voir et respirer la terre d'Afrique.
Cependant, j'ai trouvé dommage que l'histoire ne soit pour l'auteur qu'un prétexte pour analyser ce qui peut pousser un homme à aimer son pays plus que tout autres bien qu'il fusse obliger de le fuir.
Elle me laisse une impression d'inachevé, comme le canevas d'un roman que l'on n'a pas encore écrit.
Monsieur l'auteur, je trouve que vos personnages mérite mieux !
Ma note : 3,75/5
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