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Enrico EMANUELLI (Italie)

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Enrico EMANUELLI (Italie) Empty Enrico EMANUELLI (Italie)

Message  gallo Sam 1 Nov 2008 - 19:29

De : Philcabzi5 (Message d'origine) Envoyé : 19/01/2007 14:06
Enrico Emanuelli (né en 1909 à Novare, Piémont, Italie - mort à Milan en 1967) fut co-fondateur avec Mario Soldati de la revue Memolo en 1928. Écrivain et journaliste, ces courts romans et nouvelles donnent une place importante à l'introspection.

Bibliographie

Storie crudeli (1943)
Una educazione sbagliata (1941)
La congiura dei sentimenti (1943)
Il pianeta Russia (1952), reportage
Un viaggio sopra la terra (1953), reportage
La Cina è vicina (1957), reportage
Giornale indiano (1957), reportage
Uno di New York (1959)
Una lettera dal deserto (1960)
Settimana nera (1961)
Curriculum mortis (1968), posthume
Bibliographie en français

La Conjuration des sentiments (La congiura dei sentimenti, 1943), roman traduit par Louis Bonalumi. La Table ronde, 1951, 256 p., épuisé.
La Bouche amère (Uno di New York, 1959), roman traduit par Maddy Buysse. La Table ronde, 1964, 272 p., épuisé.
Secrète Violence (Settimana nera, 1960), roman traduit par Henriette Valot. La Table ronde, 1963, 208 p., épuisé.

De : Philcabzi5 Envoyé : 21/01/2007 17:09
La conjuration des sentiments - Enrico EMANUELLI
Ed. La Table Ronde, 1951, 242 pages

Note: 3.5/5

Résumé:
Un soir, Arrigo Arno, un jeune homme nouvellement arrivé dans la région, informe son ami Maître Guzzi qu'il a participé à la mort du jeune Medolago. Il lui remet, deux cahiers relatant son histoire, de son arrivé au village jusqu'au moment des faits. Maître Guzzi nous relate donc l'histoire de cet homme au travers de ces cahiers.

Mon avis:
La forme de ce roman est très originale. Nous avons réellement l'impression que nous lisons un journal intime où un travail de recherche. Les notes en bas de pages, les commentaires, les post-scripts servent en cela à créer cette impression. Le ton aristocratique et un peu vieillot m'a aussi beaucoup plût ainsi que l'introspection d'Arno face aux évènements qui l'on conduit à provoquer l'irréparable. Par contre, contrairement à ce que Maître Guzzi prétend soit que nul ne pourra prétendre trouver la clé des faits énigmatiques qui vont suivre, avant d'avoir tourné la dernière page, l'intrigue est prévisible et plutôt faible. J'ai aussi été dérangé par le fait que l'écriture soit exactement la même que ce soit Maître Guzzi ou Arno qui écrit. J'aurais crût que le baguage juridique de Guzzi et de vagabondage d'Arno transparaîtrait dans le texte.
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