Annie ERNAUX (France)
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Re: Annie ERNAUX (France)
J'ai vu aussi ce film.
J'avais l'impression de revoir un de nos vieux films de famille... nostalgie !
J'avais l'impression de revoir un de nos vieux films de famille... nostalgie !
Chantal- Nombre de messages : 3224
Location : France
Date d'inscription : 22/12/2008
Re: Annie ERNAUX (France)
LA PLACE
Annie ERNAUX
Folio 114 Pages
073/2023
Résumé (4° de couverture)
Il n'est jamais entré dans un musée, il ne lisait que Paris-Normandie et se servait toujours de son Opinel pour manger. Ouvrier devenu petit commerçant, il espérait que sa fille, grâce aux études, serait mieux que lui. Cette fille, Annie Ernaux, refuse l'oubli des origines. Elle retrace la vie et la mort de celui qui avait conquis sa petite «place au soleil». Et dévoile aussi la distance, douloureuse, survenue entre elle, étudiante, et ce père aimé qui lui disait : « Les livres, la musique, c'est bon pour toi. Moi, je n'en ai pas besoin pour vivre.» Ce récit dépouillé possède une dimension universelle
L’auteure, le livre et moi
Je ne pouvais pas entreprendre des découvertes d’auteures sans passer par la « case » Annie Ernaux, notre Nobel de littérature.
Mon avis
Difficile pour moi de parler de ce livre sans que s’évoque en moi, un parallèle avec ma propre vie de famille. Je n’en dirais pas plus mais difficile d’accepter cette condescendance d’un enfant vie à vie de sa propre famille. C’est toutefois bien de le reconnaitre mais le volume du mea-culpa est bien trop faible pour qu’y retentisse un pardon.
Hormis le thème, ce livre est lu comme un album photo. Plutôt comme un pêlemêle photos. Des souvenirs d’enfance effleurent l’esprit de l’auteure et sont jetés les uns après les autres avec désordre et facilité. Tout cela est bien écrit j’en convient et le peu de pages qui compose le roman facilite à l’accepter.
Ma note 2.5 / 5
Annie ERNAUX
Folio 114 Pages
073/2023
Résumé (4° de couverture)
Il n'est jamais entré dans un musée, il ne lisait que Paris-Normandie et se servait toujours de son Opinel pour manger. Ouvrier devenu petit commerçant, il espérait que sa fille, grâce aux études, serait mieux que lui. Cette fille, Annie Ernaux, refuse l'oubli des origines. Elle retrace la vie et la mort de celui qui avait conquis sa petite «place au soleil». Et dévoile aussi la distance, douloureuse, survenue entre elle, étudiante, et ce père aimé qui lui disait : « Les livres, la musique, c'est bon pour toi. Moi, je n'en ai pas besoin pour vivre.» Ce récit dépouillé possède une dimension universelle
L’auteure, le livre et moi
Je ne pouvais pas entreprendre des découvertes d’auteures sans passer par la « case » Annie Ernaux, notre Nobel de littérature.
Mon avis
Difficile pour moi de parler de ce livre sans que s’évoque en moi, un parallèle avec ma propre vie de famille. Je n’en dirais pas plus mais difficile d’accepter cette condescendance d’un enfant vie à vie de sa propre famille. C’est toutefois bien de le reconnaitre mais le volume du mea-culpa est bien trop faible pour qu’y retentisse un pardon.
Hormis le thème, ce livre est lu comme un album photo. Plutôt comme un pêlemêle photos. Des souvenirs d’enfance effleurent l’esprit de l’auteure et sont jetés les uns après les autres avec désordre et facilité. Tout cela est bien écrit j’en convient et le peu de pages qui compose le roman facilite à l’accepter.
Ma note 2.5 / 5
Dkois- Nombre de messages : 3514
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Location : Nord France
Date d'inscription : 10/01/2015
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