Caroline de MULDER (Belgique)
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Caroline de MULDER (Belgique)
Bye Bye Elvis
Caroline de Mulder
Actes Sud 18 août 2014
278 pages
Quatrième de couverture
Graceland, 16 août 1977, Elvis Presley disparaît et laisse derrière lui des millions d’adorateurs éperdus. Crépuscule du Roi du Rock. Jusqu’à la fin, la longue fréquentation du désastre ne lui avait pas fait perdre toute sa candeur.
Dix-sept ans plus tard, Yvonne entre au service de John White, un vieil Américain au physique fragile. Elle va passer vingt ans à ses côtés, tissant une relation de dépendance avec cet homme dont elle ne sait rien et qu’elle s’efforce de sauver d’une fin misérable. La vie de White et celle d’Elvis s’entrelacent, dessinant des créatures identiques dans leur difformité et leur isolement. Entre les deux, il est possible qu’un lien existe – à moins qu’ils ne se soient croisés que dans ce roman…
Portrait impitoyable et tendre en miroir d’une fiction, Bye Bye Elvis est un roman mélancolique et venimeux, rythmé par une métrique impeccable
Mon avis
Le livre commence par les obsèques d'Elvis et ce n’est pas rien, des allers-retours de plusieurs dizaines de voitures transportant les fleurs, une heure aprèsla mise en terre, plus une fleur sur la tombe. Cet homme blondinet qui, très jeune se teignait les cheveux en noir, s’essayait à être autre que lui-même, faisant la moue avec des regards sombres. Trop d’argent, de parasites, de pilules, de seringues et de galas, une existence saccagée par trop de gloire. Un homme pour qui les femmes hystériques pleuraient, hurlaient de plaisir. Le portrait d’Elvis est tendre et féroce à la fois, passionnant pour l’existence tumultueuse d’une légende vivante.
Bizarre, ces deux histoires parallèles en cours chapitres, car je n’ai vu aucun rapport entre celle d’Elvis et le personnage de la seconde, un certain John White, un vieil américain excentrique, c’est sa servante Yvonne vivant avec lui depuis vingt ans qui raconte son histoire….
Je pensais trouver réponse à mes interrogations à la fin du livre mais nenni !!! Ce qui m’a quelque peu déstabilisée, je pense que ce livre n’est pas essentiellement biographique, disons que le tout en fait un roman que j’ai cependant lu avec plaisir, car Elvis m’a fascinée tandis que John ne m’a inspiré aucun sentiment 4/5
Caroline de Mulder
Actes Sud 18 août 2014
278 pages
Quatrième de couverture
Graceland, 16 août 1977, Elvis Presley disparaît et laisse derrière lui des millions d’adorateurs éperdus. Crépuscule du Roi du Rock. Jusqu’à la fin, la longue fréquentation du désastre ne lui avait pas fait perdre toute sa candeur.
Dix-sept ans plus tard, Yvonne entre au service de John White, un vieil Américain au physique fragile. Elle va passer vingt ans à ses côtés, tissant une relation de dépendance avec cet homme dont elle ne sait rien et qu’elle s’efforce de sauver d’une fin misérable. La vie de White et celle d’Elvis s’entrelacent, dessinant des créatures identiques dans leur difformité et leur isolement. Entre les deux, il est possible qu’un lien existe – à moins qu’ils ne se soient croisés que dans ce roman…
Portrait impitoyable et tendre en miroir d’une fiction, Bye Bye Elvis est un roman mélancolique et venimeux, rythmé par une métrique impeccable
Mon avis
Le livre commence par les obsèques d'Elvis et ce n’est pas rien, des allers-retours de plusieurs dizaines de voitures transportant les fleurs, une heure aprèsla mise en terre, plus une fleur sur la tombe. Cet homme blondinet qui, très jeune se teignait les cheveux en noir, s’essayait à être autre que lui-même, faisant la moue avec des regards sombres. Trop d’argent, de parasites, de pilules, de seringues et de galas, une existence saccagée par trop de gloire. Un homme pour qui les femmes hystériques pleuraient, hurlaient de plaisir. Le portrait d’Elvis est tendre et féroce à la fois, passionnant pour l’existence tumultueuse d’une légende vivante.
Bizarre, ces deux histoires parallèles en cours chapitres, car je n’ai vu aucun rapport entre celle d’Elvis et le personnage de la seconde, un certain John White, un vieil américain excentrique, c’est sa servante Yvonne vivant avec lui depuis vingt ans qui raconte son histoire….
Je pensais trouver réponse à mes interrogations à la fin du livre mais nenni !!! Ce qui m’a quelque peu déstabilisée, je pense que ce livre n’est pas essentiellement biographique, disons que le tout en fait un roman que j’ai cependant lu avec plaisir, car Elvis m’a fascinée tandis que John ne m’a inspiré aucun sentiment 4/5
lalyre- Nombre de messages : 5806
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