Luiz Alfredo GARCIA-ROZA (Portugal)
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Luiz Alfredo GARCIA-ROZA (Portugal)
Nuit d’orage à Copacabana
Luiz Alfredo Garcia-Roza
Actes Sud/Actes noirs 4 Février 2015
245 pages
Quatrième de couverture
Par une nuit d’orage, un indigent déguenillé gît dans une impasse, une balle en pleine poitrine. L’homicide d’un sans-grade est d’une banalité telle sous ces latitudes que la raison voudrait que l’affaire fût classée rapidement. C’est compter sans l’opiniâtreté du commissaire Espinosa qui s’emploie à élucider le mystère de ce meurtre sans arme, sans témoin, sans indice et sans mobile. Quelques jours plus tard, dans un immeuble huppé d’Ipanema, une jeune psychothérapeute est retrouvée morte sur son divan, entièrement dévêtue. Entre ces deux affaires, qu’a priori tout sépare, une toile de mystères alliant phobies, perversions sexuelles, schizophrénie, troubles psychotiques. C’est une simple sensation de vulnérabilité, ténue et inexplicable, qui met Espinosa sur la piste. Le commissaire-philosophe sait mieux que quiconque que dans la scène de crime se joue toujours une scène de l’enfance, avec son cortège d’expériences traumatiques.
Mon avis
Une intrigue qui se développe avec lenteur, de nombreuses longueurs, deux crimes sans arme, sans indice, sans mobile et sans témoin. Je peux dire que je n’ai pas deviné la fin, une fin qui dévoile l’identité du tueur, cependant j’ai ressenti cette fin un peu comme si l’auteur voulait se débarrasser de l’histoire. Donc un rythme sans évènement important si on exclut les deux meurtres sans témoin, rien n’avance dans ce roman assez décevant que je n’ai guère apprécié…..3/5
Luiz Alfredo Garcia-Roza
Actes Sud/Actes noirs 4 Février 2015
245 pages
Quatrième de couverture
Par une nuit d’orage, un indigent déguenillé gît dans une impasse, une balle en pleine poitrine. L’homicide d’un sans-grade est d’une banalité telle sous ces latitudes que la raison voudrait que l’affaire fût classée rapidement. C’est compter sans l’opiniâtreté du commissaire Espinosa qui s’emploie à élucider le mystère de ce meurtre sans arme, sans témoin, sans indice et sans mobile. Quelques jours plus tard, dans un immeuble huppé d’Ipanema, une jeune psychothérapeute est retrouvée morte sur son divan, entièrement dévêtue. Entre ces deux affaires, qu’a priori tout sépare, une toile de mystères alliant phobies, perversions sexuelles, schizophrénie, troubles psychotiques. C’est une simple sensation de vulnérabilité, ténue et inexplicable, qui met Espinosa sur la piste. Le commissaire-philosophe sait mieux que quiconque que dans la scène de crime se joue toujours une scène de l’enfance, avec son cortège d’expériences traumatiques.
Mon avis
Une intrigue qui se développe avec lenteur, de nombreuses longueurs, deux crimes sans arme, sans indice, sans mobile et sans témoin. Je peux dire que je n’ai pas deviné la fin, une fin qui dévoile l’identité du tueur, cependant j’ai ressenti cette fin un peu comme si l’auteur voulait se débarrasser de l’histoire. Donc un rythme sans évènement important si on exclut les deux meurtres sans témoin, rien n’avance dans ce roman assez décevant que je n’ai guère apprécié…..3/5
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