Gilbert CESBRON (France)
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Gilbert CESBRON (France)
IL EST MINUIT DOCTEUR SCHWEITZER
Gilbert CESBRON
Le Livre de Poche 192 Pages
Résumé (4° de couverture)
Dans un hôpital primitif du Gabon, en pleine brousse, un homme joue du piano. Une voix vient l'interrompre. « Il est minuit, docteur Schweitzer » : Marie, son assistante, rappelle au chirurgien la nécessité du repos. Mais déjà monte de la nuit le message d'un tam-tam : on apporte un enfant malade à N'tchinda, « celui qui coupe bien ». Cependant nous sommes le 1er août 1914 : la Guerre, l'Amour, la Mort entrent en scène. Aux côtés de Schweitzer, des personnages, dans lesquels on n'aura pas de mal à reconnaître Lyautey et le père de Foucauld, sont les protagonistes d'une tragédie qui, en deux nuits, conduit à un dénouement dramatique autant que vigoureusement historique.
Mon avis
Première éventuelle difficulté : réapprivoiser le genre littéraire théâtral. Difficulté qui n’en fût pas une finalement.
Ce genre littéraire est d’ailleurs assez facile à saisir. Par définition, fait uniquement de dialogue, les idées exprimées ne sont pas perdues dans une prose faite pour embellir, sous-entendre ou même compliquer les choses (pour le plus grand plaisir du lecteur toutefois).
Concernant donc cette pièce de Gilbert Cesbron, les idées exprimées foisonnent. Aucun répit. Aucune trêve. Aucun temps mort.
Deux jours cruciaux dans la vie du docteur Schweitzer à la veille de la déclaration de guerre en 1914 qui m’ont convaincu d’en savoir un peu plus sur ce personnage dont j’avoue connaitre que le nom. Et au-delà d’avoir participer à des échanges des plus intéressants, cette lecture sera donc des plus enrichissantes.
Ma note 4 / 5
Gilbert CESBRON
Le Livre de Poche 192 Pages
Résumé (4° de couverture)
Dans un hôpital primitif du Gabon, en pleine brousse, un homme joue du piano. Une voix vient l'interrompre. « Il est minuit, docteur Schweitzer » : Marie, son assistante, rappelle au chirurgien la nécessité du repos. Mais déjà monte de la nuit le message d'un tam-tam : on apporte un enfant malade à N'tchinda, « celui qui coupe bien ». Cependant nous sommes le 1er août 1914 : la Guerre, l'Amour, la Mort entrent en scène. Aux côtés de Schweitzer, des personnages, dans lesquels on n'aura pas de mal à reconnaître Lyautey et le père de Foucauld, sont les protagonistes d'une tragédie qui, en deux nuits, conduit à un dénouement dramatique autant que vigoureusement historique.
Mon avis
Première éventuelle difficulté : réapprivoiser le genre littéraire théâtral. Difficulté qui n’en fût pas une finalement.
Ce genre littéraire est d’ailleurs assez facile à saisir. Par définition, fait uniquement de dialogue, les idées exprimées ne sont pas perdues dans une prose faite pour embellir, sous-entendre ou même compliquer les choses (pour le plus grand plaisir du lecteur toutefois).
Concernant donc cette pièce de Gilbert Cesbron, les idées exprimées foisonnent. Aucun répit. Aucune trêve. Aucun temps mort.
Deux jours cruciaux dans la vie du docteur Schweitzer à la veille de la déclaration de guerre en 1914 qui m’ont convaincu d’en savoir un peu plus sur ce personnage dont j’avoue connaitre que le nom. Et au-delà d’avoir participer à des échanges des plus intéressants, cette lecture sera donc des plus enrichissantes.
Ma note 4 / 5
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