William McILVANNEY ( G.B / Ecosse)
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William McILVANNEY ( G.B / Ecosse)
Dkois Lun 22 Jan 2024 - 12:12
PRESENTATION DE L'AUTEUR (Source wikipedia)
William McIlvanney, né le 25 novembre 1936 à Kilmarnock, dans la région de l'East Ayrshire, en Écosse, et mort le 5 décembre 20151 à Glasgow, est un poète et un écrivain écossais, auteur de roman policier.
Enfant doué pour les études, il est le fils d'un mineur qui l'encourage à recevoir une éducation de haut niveau dont il a toujours regretté de ne pas avoir lui-même bénéficié.
Après des études supérieures à l'université de Glasgow, il devient en 1960 directeur des études d'un établissement scolaire de la petite ville écossaise d'Irvine. En 1970, il est professeur d'anglais à l'université de Grenoble et en Écosse, puis enseigne la création littéraire en 1972. Adjoint du recteur d'une école d'Irvine de 1973 à 1975, il choisit de se consacrer à temps plein à l'écriture après le succès de Docherty (1975), un roman social sur la vie des mineurs du début du xxe siècle récompensé du prix Whitbread. En 1996, il publiera The Kiln, un récit centré sur le petit-fils du héros de Docherty
Ses œuvres littéraires sont influencées par Albert Camus et le philosophe danois Søren Kierkegaard, deux auteurs que McIlvanney a beaucoup lus pendant ses études. Son premier roman, Remedy is None (1966), remporte le Geoffrey Faber Memorial Prize en 1967. Le second, intitulé A Gift from Nessus (1968), décroche un prix du Scottish Arts Council. L'écrivain aborde le roman policier, et plus précisément le roman noir, dans les années 1970. Trois de ses romans policiers, qui obtiennent un gros succès, mettent en scène le détective Jack Laidlaw : Laidlaw (1977), Les Papiers de Tony Veitch (The Papers of Tony Veitch, 1983) et Étranges Loyautés (Strange Loyalties, 1991), auquel il convient d'ajouter Big Man (1985), dont la fin devient l'un des éléments de l'enquête de Laidlaw dans Étranges Loyautés
William McIlvanney, né le 25 novembre 1936 à Kilmarnock, dans la région de l'East Ayrshire, en Écosse, et mort le 5 décembre 20151 à Glasgow, est un poète et un écrivain écossais, auteur de roman policier.
Enfant doué pour les études, il est le fils d'un mineur qui l'encourage à recevoir une éducation de haut niveau dont il a toujours regretté de ne pas avoir lui-même bénéficié.
Après des études supérieures à l'université de Glasgow, il devient en 1960 directeur des études d'un établissement scolaire de la petite ville écossaise d'Irvine. En 1970, il est professeur d'anglais à l'université de Grenoble et en Écosse, puis enseigne la création littéraire en 1972. Adjoint du recteur d'une école d'Irvine de 1973 à 1975, il choisit de se consacrer à temps plein à l'écriture après le succès de Docherty (1975), un roman social sur la vie des mineurs du début du xxe siècle récompensé du prix Whitbread. En 1996, il publiera The Kiln, un récit centré sur le petit-fils du héros de Docherty
Ses œuvres littéraires sont influencées par Albert Camus et le philosophe danois Søren Kierkegaard, deux auteurs que McIlvanney a beaucoup lus pendant ses études. Son premier roman, Remedy is None (1966), remporte le Geoffrey Faber Memorial Prize en 1967. Le second, intitulé A Gift from Nessus (1968), décroche un prix du Scottish Arts Council. L'écrivain aborde le roman policier, et plus précisément le roman noir, dans les années 1970. Trois de ses romans policiers, qui obtiennent un gros succès, mettent en scène le détective Jack Laidlaw : Laidlaw (1977), Les Papiers de Tony Veitch (The Papers of Tony Veitch, 1983) et Étranges Loyautés (Strange Loyalties, 1991), auquel il convient d'ajouter Big Man (1985), dont la fin devient l'un des éléments de l'enquête de Laidlaw dans Étranges Loyautés
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Date d'inscription : 10/01/2015
Re: William McILVANNEY ( G.B / Ecosse)
Dkois Lun 22 Jan 2024 - 12:17
LES PAPIERS DE TONY VEITCH
William McIlvanney
Rivages/ noir 351 Pages
010/2024
Résumé (4° de couverture)
L'énigmatique message d'un clochard mourant met Laidlaw sur la piste d'un étudiant idéaliste un peu pathétique et d'un règlement de comptes entre truands. Droit et têtu, il arpente une ville de Glasgow rongée par la corruption, en dépit de ses doutes et des sarcasmes de ses collègues
L’auteur, le livre et moi
Il me semblait avoir été attiré vers cet auteur grâce à notre forum. Mais aucune page ne semble ouverte à son nom et donc non, la source est ailleurs. Peu importe d’ailleurs, ce livre est entre mes mains à présent et la curiosité de découvrir cet auteur Ecossais est bien présente. Après petite enquête sur celui-ci, il s’avère qu’il n’a pas exercé son art uniquement dans le genre policier (genre de ce présent roman) et qu’il a été honoré du prix Whitbread en 1975 pour son roman « DOCHERTY ». Les avis piochés ça et là semblent faire l’unanimité quant à la qualité de ses œuvres. Reste à moi de me faire une idée
Mon avis
Pour commencer dans les meilleurs hospices, Le 4° de couverture partie éditeur annonce que selon Ross McDonald (que je ne connais pas) W.McIlvanney est, je cite : « La plus grande révélation du roman policier depuis Raymond Chandler ». Rien que ça ! Inutile de vous rappeler mon admiration pour l’auteur Américain et ma quête désespérée à lui trouver un alter-ego.
Pour clore ce débat, effectivement des répliques bien ajustées sont dignes de Raymond.C, mais l’ambiance générale des romans de ces 2 auteurs n’est pas comparable et donc la distance les séparant assez éloignée. Discussion close.
Concentrons-nous sur W.McIlavanney.
L’écriture est sans contexte différente des polars habituels. Elle est beaucoup plus travaillée et prends part sur l’histoire en elle-même. Ce qui fait le charme à défaut de faire la force de ce roman, c’est la retenue dans la caricature des personnages et dans le spectacle des évènements. Il y a bien sûr des tueurs et des victimes, mais pas de réelles actions violentes. C’est appréciable.
L’intrigue, en elle-même est judicieusement ficelée et peut attirer à elle des lecteurs par forcement amateurs ou spécialistes du genre policier.
Tout cela m’incite à découvrir la diversité de l’œuvre de McIlvanney.
Ma note : 3.5 / 5
William McIlvanney
Rivages/ noir 351 Pages
010/2024
Résumé (4° de couverture)
L'énigmatique message d'un clochard mourant met Laidlaw sur la piste d'un étudiant idéaliste un peu pathétique et d'un règlement de comptes entre truands. Droit et têtu, il arpente une ville de Glasgow rongée par la corruption, en dépit de ses doutes et des sarcasmes de ses collègues
L’auteur, le livre et moi
Il me semblait avoir été attiré vers cet auteur grâce à notre forum. Mais aucune page ne semble ouverte à son nom et donc non, la source est ailleurs. Peu importe d’ailleurs, ce livre est entre mes mains à présent et la curiosité de découvrir cet auteur Ecossais est bien présente. Après petite enquête sur celui-ci, il s’avère qu’il n’a pas exercé son art uniquement dans le genre policier (genre de ce présent roman) et qu’il a été honoré du prix Whitbread en 1975 pour son roman « DOCHERTY ». Les avis piochés ça et là semblent faire l’unanimité quant à la qualité de ses œuvres. Reste à moi de me faire une idée
Mon avis
Pour commencer dans les meilleurs hospices, Le 4° de couverture partie éditeur annonce que selon Ross McDonald (que je ne connais pas) W.McIlvanney est, je cite : « La plus grande révélation du roman policier depuis Raymond Chandler ». Rien que ça ! Inutile de vous rappeler mon admiration pour l’auteur Américain et ma quête désespérée à lui trouver un alter-ego.
Pour clore ce débat, effectivement des répliques bien ajustées sont dignes de Raymond.C, mais l’ambiance générale des romans de ces 2 auteurs n’est pas comparable et donc la distance les séparant assez éloignée. Discussion close.
Concentrons-nous sur W.McIlavanney.
L’écriture est sans contexte différente des polars habituels. Elle est beaucoup plus travaillée et prends part sur l’histoire en elle-même. Ce qui fait le charme à défaut de faire la force de ce roman, c’est la retenue dans la caricature des personnages et dans le spectacle des évènements. Il y a bien sûr des tueurs et des victimes, mais pas de réelles actions violentes. C’est appréciable.
L’intrigue, en elle-même est judicieusement ficelée et peut attirer à elle des lecteurs par forcement amateurs ou spécialistes du genre policier.
Tout cela m’incite à découvrir la diversité de l’œuvre de McIlvanney.
Ma note : 3.5 / 5
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