John Maxwell COETZEE: Vers l'âge d'homme
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John Maxwell COETZEE: Vers l'âge d'homme
De : la-grande Envoyé : 2005-05-12 07:25
Youth (Vers l'âge d'homme)
Un jeune homme (on imagine que ça peut -être Coetzee) étudie à l'Université. Il vit seul, a peu d'amis et peu de contacts avec ses parents. Il décide de quitter l'Afrique du Sud pour se rendre à Londres où il veut travailler un certain temps et économiser assez d'argent pour pouvoir se consacrer à l'écriture.
J'ai beaucoup aimé cette lecture - le narrateur est un jeune homme à la recherche de lui-même, de l'amour, de la vie. Il a des idées plutôt noires, il ne comprend rien aux femmes et ne les traite pas tellement bien mais il est débrouillard et essaie de trouver un moyen de pouvoir vivre de son art qu'est l'écriture.
Ceci est la suite de Scènes de la vie d'un jeune garçon mais on n'y fait jamais référence dans le livre.
Chose curieuse, je me croyais constamment dans un roman écrit par un japonais - Murakami par exemple - je ne sais pas si c'est l'écriture, le personnage mais bon...
Note: 4.25/5
De : 82naurore Envoyé : 2005-05-12 12:08
Vers l'âge d'homme
Note : 1.5/5
Résumé :
Le jeune garçon est devenu jeune homme. John a échappé à sa famille étriquée et à l'amour étouffant de sa mère. Tout en achevant ses études de mathématiques, il dévore la littérature mondiale et caresse son grand projet : quitter l'Afrique du sud au bord de la révolution et se consacrer à l'art et à l'amour qui fera crépiter la flamme de la création.
Mais Londres, c'est sa saison en enfer. Dans la ville cruelle où il reste un étranger, un colonial indésirable, il fait l'amer constat que le malheur est son élément : manque d'aplomb, d'ardeur, d'élan, manque de coeur. Echec et mat et fin de partie beckettienne.
Mon avis :
Les seules raisons qui m'ont poussées à terminer ce livre, c'est tout d'abord le fait qu'il ne fait que 230 pages, et qu'il se lit facilement. Comme je n'aime pas laisser tomber un livre avant la fin, ces raisons m'ont poussées à aller jusqu'au bout de l'histoire. Mais j'avoue que je m'y suis ennuyée. J'ai trouvé cela très plat, rien n'y maintient le lecteur en haleine. Je pensais tout de même y trouver au moins un côté historique, apprendre certaines choses, mais ce ne fut pas le cas.
Bien qu'ayant le sentiment d'être passée à côté de quelque chose, je n'ai pas du tout accroché.
Je relirai peut-être Coetzee un jour, mais certainement pas avant quelques années.
Aurore
De : Lhisbei Envoyé : 2005-05-12 13:16
Vers l’âge d’homme
Points 231 236 pages
John, jeune étudiant sud africain quitte son pays natal pour se rendre à Londres. Il a pour ambition d’être un artiste, un écrivain en fait. Il lit beaucoup, parle peu, fantasme trop. Il est pétri de certitudes, d’idées préconçues sur la vie, l’amour, l’art, le bonheur, le malheur. On le suit dans son parcours initiatique, on le voit grandir et mûrir. John n’est doué que pour une chose : le malheur. Il est en permanence malheureux, il souffre toujours, il se sent incompris et n’arrive pas à s’intégrer au monde. Il est tellement malheureux qu’au bout d’un moment la compassion fait place à la lassitude chez le lecteur. J’ai fini par prendre John en grippe. Je n’en pouvais plus de le voir débiter ses pensées stériles et ses clichés sur l’amour. Le style de Coetzee, froid et sans passion ne m’a pas aidée. Essai non concluant pour moi.
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Youth (Vers l'âge d'homme)
Un jeune homme (on imagine que ça peut -être Coetzee) étudie à l'Université. Il vit seul, a peu d'amis et peu de contacts avec ses parents. Il décide de quitter l'Afrique du Sud pour se rendre à Londres où il veut travailler un certain temps et économiser assez d'argent pour pouvoir se consacrer à l'écriture.
J'ai beaucoup aimé cette lecture - le narrateur est un jeune homme à la recherche de lui-même, de l'amour, de la vie. Il a des idées plutôt noires, il ne comprend rien aux femmes et ne les traite pas tellement bien mais il est débrouillard et essaie de trouver un moyen de pouvoir vivre de son art qu'est l'écriture.
Ceci est la suite de Scènes de la vie d'un jeune garçon mais on n'y fait jamais référence dans le livre.
Chose curieuse, je me croyais constamment dans un roman écrit par un japonais - Murakami par exemple - je ne sais pas si c'est l'écriture, le personnage mais bon...
Note: 4.25/5
De : 82naurore Envoyé : 2005-05-12 12:08
Vers l'âge d'homme
Note : 1.5/5
Résumé :
Le jeune garçon est devenu jeune homme. John a échappé à sa famille étriquée et à l'amour étouffant de sa mère. Tout en achevant ses études de mathématiques, il dévore la littérature mondiale et caresse son grand projet : quitter l'Afrique du sud au bord de la révolution et se consacrer à l'art et à l'amour qui fera crépiter la flamme de la création.
Mais Londres, c'est sa saison en enfer. Dans la ville cruelle où il reste un étranger, un colonial indésirable, il fait l'amer constat que le malheur est son élément : manque d'aplomb, d'ardeur, d'élan, manque de coeur. Echec et mat et fin de partie beckettienne.
Mon avis :
Les seules raisons qui m'ont poussées à terminer ce livre, c'est tout d'abord le fait qu'il ne fait que 230 pages, et qu'il se lit facilement. Comme je n'aime pas laisser tomber un livre avant la fin, ces raisons m'ont poussées à aller jusqu'au bout de l'histoire. Mais j'avoue que je m'y suis ennuyée. J'ai trouvé cela très plat, rien n'y maintient le lecteur en haleine. Je pensais tout de même y trouver au moins un côté historique, apprendre certaines choses, mais ce ne fut pas le cas.
Bien qu'ayant le sentiment d'être passée à côté de quelque chose, je n'ai pas du tout accroché.
Je relirai peut-être Coetzee un jour, mais certainement pas avant quelques années.
Aurore
De : Lhisbei Envoyé : 2005-05-12 13:16
Vers l’âge d’homme
Points 231 236 pages
John, jeune étudiant sud africain quitte son pays natal pour se rendre à Londres. Il a pour ambition d’être un artiste, un écrivain en fait. Il lit beaucoup, parle peu, fantasme trop. Il est pétri de certitudes, d’idées préconçues sur la vie, l’amour, l’art, le bonheur, le malheur. On le suit dans son parcours initiatique, on le voit grandir et mûrir. John n’est doué que pour une chose : le malheur. Il est en permanence malheureux, il souffre toujours, il se sent incompris et n’arrive pas à s’intégrer au monde. Il est tellement malheureux qu’au bout d’un moment la compassion fait place à la lassitude chez le lecteur. J’ai fini par prendre John en grippe. Je n’en pouvais plus de le voir débiter ses pensées stériles et ses clichés sur l’amour. Le style de Coetzee, froid et sans passion ne m’a pas aidée. Essai non concluant pour moi.
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