Jean-Marc ROBERTS (France)
3 participants
Page 1 sur 1
Jean-Marc ROBERTS (France)
De : nimbus Envoyé : 06/10/2003 22:28
Jean-Marc Roberts - Toilette de chat
Seuil janvier 2003 121 pages 12 euros.
Je n'ai rien lu d'aussi mauvais depuis très très longtemps!
Roman pipi-caca, il est parti à la poubelle ce matin, même destin que les couches culottes!
De quoi est il question?
-du chat Lala, et de la difficulté de renouveler sa litiere au Grand Hotel Royal de La Baule...
- des ex-femmes de l'auteur, et elles sont nombreuses! quel problème pour les loger à Paris! il faut choisir rive droite ou rive gauche, et c'est pas donné!
- des déviances sexuelles de l'auteur...c'est pas joli joli!
-du monde de l'édition, parisien, héritier de..... contre héritier de, un Gallimard et une Lindon, le Seuil contre Minuit....peu reluisant.
Ecriture passe- partout. Bilan navrant.
A se demander comment cela a pu être publié! Ben justement...il ne faut pas se demander!
L'auteur est bien placé au sein du groupe de presse Lagardere, il avoue même avoir droit aux stock-options!
Note: 0 / 5 Si vous rencontrez ce livre, tirez la chasse d'eau, et respirez l'air pur.
De :clarabelgrandelectrice Envoyé : 2004-08-27 10:28
Jean-Marc ROBERTS - Je te laisse
1.5 / 5
Bof, pas terrible
Le roman de Jean-Marc Roberts se présente sous la forme d'une longue lettre qu'une femme, Romy San José, adresse à son époux (Antoine) qu'elle décide de quitter. Romy appartient à un clan de gens fortunés, un peu mafieux, aux moeurs soupçonneuses. Antoine, lui, était étranger à ce milieu mais, en acceptant d'épouser Romy, il signait avant tout une appartenance à ce clan. Lui qui rêvait d'être publié devient le nègre du père de Romy, un homme qui occupe des postes d'importance dans les académies, l'édition, etc.
Ainsi, tout au long de "Je te laisse", on assiste au bilan de la vie de couple de Romy et d'Antoine (piètre), au déballage pernicieux et licencieux des filles San José et de leurs nombreux parrains (amis ou relations de leur père) et des dérives sexuelles d'Antoine avec la secrétaire du père de Romy. L'impression que tout reste en famille, rien ne se mélange, ne cesse d'enfler au fur et à mesure de la lecture. En arrière plan, le meurtre d'Eugène Sacco, un membre du clan mystérieusement assassiné et dont le crime n'a jamais été élucidé. Antoine vient de publier un roman qui pastiche l'histoire du clan San José et de leurs amis, et notamment tente de mettre en lumière le coupable. Le geste de trop pour Romy qui décide de partir et, par la même occasion, de tout lui révéler de cette histoire de famille et de leurs autres secrets.
En se fiant à l'avis de l'éditeur, ce roman semblait intéressant. Hélas il pêche du début à la fin : graveleux, tendancieux et pathétique. Les us et coutumes du clan San José résonnent fatalement lointaines, leurs moeurs approchent le degré zéro de l'invraisemblable et du supportable. D'une écriture sèche et blasée, la lettre de Romy laisse au lecteur un goût résolument amer.
Clarabel
De : Mousseliine Envoyé : 25/09/2004 01:47
Quand tu dis En se fiant à l'avis de l'éditeur ça me fait sourire car Jean-Marc Roberts est directeur des éditions du Seuil!
Est-ce que son poste de directeur chez le Seuil n'entre pas en conflit d'intérêt avec l'écrivain... en tout cas en partant ça n'inspire pas confiance je trouve.
Bon de toute façon vos critiques ne donnent pas le goût de découvrir l'auteur!
De : Claarabel Envoyé : 25/09/2004 14:48
Tout à fait ! .. J'ignore qui a pris l'initiative de rédiger la quatrième de couverture mais cette personne a très bien fait son travail !! Dans le sens où elle a su allécher le lecteur et vendre le livre, ce qui est dommage c'est que ce livre ne soit pas à la hauteur de son résumé...
Bref, je savais que Jean-Marc Roberts était éditeur au Seuil, ce qui explique sans doute le pourquoi de ses publications d'oeuvres très nulles - ! - ..
Par contre je ne crois pas qu'un responsable d'édition combiné à celui d'écrivain soit forcément fatal pour l'une ou l'autre des activités. Là je pense à Olivier Adam, responsable des éditions du Rouergue. (Mais lui, je l'aime tout court, alors forcément... )
Clarabel
De : lalyre7032 Envoyé : 14/09/2006 16:21
Cinquante ans passés - Jean-Marc Roberts Grasset
Sur l'autoroute du Nord,trois hommes dans une voiture,ils sont invités pour fêter l'anniversaire d'un certain Gavotti,perdu de vue depuis longtemps.Ces trois hommes,le narrateur Jean-Marc qui gère une maison d'édition,Jean-Louis notaire et Richard personnage hors du commun,ancien chanteur qui n'a pas eu de succès et qui essaie de prendre la vie comme elle vient à l'aide de Schweppes et Vallium.Ils se retrouvent après trente ans,ils ont la cinquantaine et au long du parcours ils parlent amour,mariage,ratages et réussites,bancs du lycée,souvenirs d'anciens soixante-huitards et aussi de tous les gens célèbres qu'ils ont connu,finalement ils décident de ne pas se rendre à l'invitation et de partir pour l'Angleterre et ensuite rien ne se passe ,on peut imaginer que chacun reprendra le cours de sa vie..
Mon avis :Mis à part ce que fut une certaine époque de la vie de ces trois hommes il ne se passe rien,personnellement je n'ai rien trouvé d'interessant dans ce livre.
2,5/5
De : Plaisir_des_Mots Envoyé : 19/10/2006 17:46
Jean-Marc ROBERTS - Cinquante ans passés
Ouf ! Me voilà soulagé !
Je trouve deux bonnes raisons pour adhérer au club des rats !
D'abord le plaisir de la découverte : sans vous je n'aurais jamais lu Le vestige des jours, mais ceci fera l'objet d'un autre commentaire.
Ensuite, il y a le réconfort de savoir que l'on n'est pas seul à ne pas aimer un auteur ou une oeuvre encensée par la critique !
Je viens de terminer Cinquante ans passés. Je l'avais commencé dans l'enthousiasme : à quelques mois près, j'ai le même âge que le narrateur. Les nombreuses références musicales qu'annoncait la quatrième de couverture titillaient en moi le souvenir de mes jeunes années. Hélas...
L'ouvrage est court ! Moins de cent pages. Mais c'est encore trop : pourquoi tant de mots pour dire si peu ? Aucune intrigue, aucune émotion... Si au moins le style rachetait la vacuité du propos. Hélas, au pays du nombrilisme, l'absence de talent est reine...
Michel.
2 / 5
Jean-Marc Roberts - Toilette de chat
Seuil janvier 2003 121 pages 12 euros.
Je n'ai rien lu d'aussi mauvais depuis très très longtemps!
Roman pipi-caca, il est parti à la poubelle ce matin, même destin que les couches culottes!
De quoi est il question?
-du chat Lala, et de la difficulté de renouveler sa litiere au Grand Hotel Royal de La Baule...
- des ex-femmes de l'auteur, et elles sont nombreuses! quel problème pour les loger à Paris! il faut choisir rive droite ou rive gauche, et c'est pas donné!
- des déviances sexuelles de l'auteur...c'est pas joli joli!
-du monde de l'édition, parisien, héritier de..... contre héritier de, un Gallimard et une Lindon, le Seuil contre Minuit....peu reluisant.
Ecriture passe- partout. Bilan navrant.
A se demander comment cela a pu être publié! Ben justement...il ne faut pas se demander!
L'auteur est bien placé au sein du groupe de presse Lagardere, il avoue même avoir droit aux stock-options!
Note: 0 / 5 Si vous rencontrez ce livre, tirez la chasse d'eau, et respirez l'air pur.
De :clarabelgrandelectrice Envoyé : 2004-08-27 10:28
Jean-Marc ROBERTS - Je te laisse
1.5 / 5
Bof, pas terrible
Le roman de Jean-Marc Roberts se présente sous la forme d'une longue lettre qu'une femme, Romy San José, adresse à son époux (Antoine) qu'elle décide de quitter. Romy appartient à un clan de gens fortunés, un peu mafieux, aux moeurs soupçonneuses. Antoine, lui, était étranger à ce milieu mais, en acceptant d'épouser Romy, il signait avant tout une appartenance à ce clan. Lui qui rêvait d'être publié devient le nègre du père de Romy, un homme qui occupe des postes d'importance dans les académies, l'édition, etc.
Ainsi, tout au long de "Je te laisse", on assiste au bilan de la vie de couple de Romy et d'Antoine (piètre), au déballage pernicieux et licencieux des filles San José et de leurs nombreux parrains (amis ou relations de leur père) et des dérives sexuelles d'Antoine avec la secrétaire du père de Romy. L'impression que tout reste en famille, rien ne se mélange, ne cesse d'enfler au fur et à mesure de la lecture. En arrière plan, le meurtre d'Eugène Sacco, un membre du clan mystérieusement assassiné et dont le crime n'a jamais été élucidé. Antoine vient de publier un roman qui pastiche l'histoire du clan San José et de leurs amis, et notamment tente de mettre en lumière le coupable. Le geste de trop pour Romy qui décide de partir et, par la même occasion, de tout lui révéler de cette histoire de famille et de leurs autres secrets.
En se fiant à l'avis de l'éditeur, ce roman semblait intéressant. Hélas il pêche du début à la fin : graveleux, tendancieux et pathétique. Les us et coutumes du clan San José résonnent fatalement lointaines, leurs moeurs approchent le degré zéro de l'invraisemblable et du supportable. D'une écriture sèche et blasée, la lettre de Romy laisse au lecteur un goût résolument amer.
Clarabel
De : Mousseliine Envoyé : 25/09/2004 01:47
Quand tu dis En se fiant à l'avis de l'éditeur ça me fait sourire car Jean-Marc Roberts est directeur des éditions du Seuil!
Est-ce que son poste de directeur chez le Seuil n'entre pas en conflit d'intérêt avec l'écrivain... en tout cas en partant ça n'inspire pas confiance je trouve.
Bon de toute façon vos critiques ne donnent pas le goût de découvrir l'auteur!
De : Claarabel Envoyé : 25/09/2004 14:48
Tout à fait ! .. J'ignore qui a pris l'initiative de rédiger la quatrième de couverture mais cette personne a très bien fait son travail !! Dans le sens où elle a su allécher le lecteur et vendre le livre, ce qui est dommage c'est que ce livre ne soit pas à la hauteur de son résumé...
Bref, je savais que Jean-Marc Roberts était éditeur au Seuil, ce qui explique sans doute le pourquoi de ses publications d'oeuvres très nulles - ! - ..
Par contre je ne crois pas qu'un responsable d'édition combiné à celui d'écrivain soit forcément fatal pour l'une ou l'autre des activités. Là je pense à Olivier Adam, responsable des éditions du Rouergue. (Mais lui, je l'aime tout court, alors forcément... )
Clarabel
De : lalyre7032 Envoyé : 14/09/2006 16:21
Cinquante ans passés - Jean-Marc Roberts Grasset
Sur l'autoroute du Nord,trois hommes dans une voiture,ils sont invités pour fêter l'anniversaire d'un certain Gavotti,perdu de vue depuis longtemps.Ces trois hommes,le narrateur Jean-Marc qui gère une maison d'édition,Jean-Louis notaire et Richard personnage hors du commun,ancien chanteur qui n'a pas eu de succès et qui essaie de prendre la vie comme elle vient à l'aide de Schweppes et Vallium.Ils se retrouvent après trente ans,ils ont la cinquantaine et au long du parcours ils parlent amour,mariage,ratages et réussites,bancs du lycée,souvenirs d'anciens soixante-huitards et aussi de tous les gens célèbres qu'ils ont connu,finalement ils décident de ne pas se rendre à l'invitation et de partir pour l'Angleterre et ensuite rien ne se passe ,on peut imaginer que chacun reprendra le cours de sa vie..
Mon avis :Mis à part ce que fut une certaine époque de la vie de ces trois hommes il ne se passe rien,personnellement je n'ai rien trouvé d'interessant dans ce livre.
2,5/5
De : Plaisir_des_Mots Envoyé : 19/10/2006 17:46
Jean-Marc ROBERTS - Cinquante ans passés
Ouf ! Me voilà soulagé !
Je trouve deux bonnes raisons pour adhérer au club des rats !
D'abord le plaisir de la découverte : sans vous je n'aurais jamais lu Le vestige des jours, mais ceci fera l'objet d'un autre commentaire.
Ensuite, il y a le réconfort de savoir que l'on n'est pas seul à ne pas aimer un auteur ou une oeuvre encensée par la critique !
Je viens de terminer Cinquante ans passés. Je l'avais commencé dans l'enthousiasme : à quelques mois près, j'ai le même âge que le narrateur. Les nombreuses références musicales qu'annoncait la quatrième de couverture titillaient en moi le souvenir de mes jeunes années. Hélas...
L'ouvrage est court ! Moins de cent pages. Mais c'est encore trop : pourquoi tant de mots pour dire si peu ? Aucune intrigue, aucune émotion... Si au moins le style rachetait la vacuité du propos. Hélas, au pays du nombrilisme, l'absence de talent est reine...
Michel.
2 / 5
ROBERTS Jean Marc
AFFAIRES ETRANGERES
Jean Marc Roberts
Tout abandonner : Nina sa femme, sa mère, ses amis, le poker et même la grand-mère et le chien. Ou plutôt s’éloigner peu à peu, mais inexorablement : voilà le curieux destin de Louis Coline, jeune cadre au service publicité des Magasins de l’avenue de l’Opéra. Quitter un amour partagé, des affections sûres, les dimanches en familles, les soirées entre amis, pour Bertrand Malair son nouveau patron.
Malair personnage énigmatique, suivi comme son ombre de ses deux acolytes, Lingre et Belais. On murmure à son propos de choses inquiétantes. Qu’il aurait naguère poussé un cadre au suicide, qu’il transforme ses collaborateurs en domestiques et s’entoure, Louis en fera bientôt l’expérience, de personnages singuliers.
Malair fascine Louis et l’attire un peu plus chaque jour : encouragements, marques de confiance, présentation au cercle de ses amis, tout ce dont le jeune homme s’était pris à rêver. Le rêve se réalise, il s’y plonge et s’y enferme, y trouve l’exaltation, peut-être, d’une puissance qu’il croit partager, mais en perdant toute mesure.
Car tel est le pouvoir d’un Malair : vous séduire, vous aimer, croyez-vous, mais aussi tout vous prendre sans rien vous donner. Le jour où il vous quitte, vous n’êtes plus personne.
D’ailleurs, qui est qui dans cette étrange tragédie sans éclats où la vie se brise sans combat ?
En somme Louis se laisse manipuler par cet homme, il n’était personne, n’avait rien et cette manipulation, il ne la voit que trop tard.
C’est donc en somme l’histoire qui nous montre que lorsque l’on se trouve dans un état psychologique de précarité, on est vite embarqué dans tout un chemin dirigé non pas par soi mais par un autre.
Bien qu’il m’ait fallu un certain temps pour comprendre ce livre, et sa portée, il m’a plu, mais après mûres réflexions.
Je ne lui donnerais cependant qu’un petit 3/5
L’auteur a été couronné en 1979 par le prix Renaudot, ce roman qui nous mène insensiblement du quotidien le plus banal à un fantastique psychologique inquiétant, terrifiant même, a été porté à l’écran par Pierre Granier Deferre sous le titre : Une étrange affaire
Jean Marc Roberts
Tout abandonner : Nina sa femme, sa mère, ses amis, le poker et même la grand-mère et le chien. Ou plutôt s’éloigner peu à peu, mais inexorablement : voilà le curieux destin de Louis Coline, jeune cadre au service publicité des Magasins de l’avenue de l’Opéra. Quitter un amour partagé, des affections sûres, les dimanches en familles, les soirées entre amis, pour Bertrand Malair son nouveau patron.
Malair personnage énigmatique, suivi comme son ombre de ses deux acolytes, Lingre et Belais. On murmure à son propos de choses inquiétantes. Qu’il aurait naguère poussé un cadre au suicide, qu’il transforme ses collaborateurs en domestiques et s’entoure, Louis en fera bientôt l’expérience, de personnages singuliers.
Malair fascine Louis et l’attire un peu plus chaque jour : encouragements, marques de confiance, présentation au cercle de ses amis, tout ce dont le jeune homme s’était pris à rêver. Le rêve se réalise, il s’y plonge et s’y enferme, y trouve l’exaltation, peut-être, d’une puissance qu’il croit partager, mais en perdant toute mesure.
Car tel est le pouvoir d’un Malair : vous séduire, vous aimer, croyez-vous, mais aussi tout vous prendre sans rien vous donner. Le jour où il vous quitte, vous n’êtes plus personne.
D’ailleurs, qui est qui dans cette étrange tragédie sans éclats où la vie se brise sans combat ?
En somme Louis se laisse manipuler par cet homme, il n’était personne, n’avait rien et cette manipulation, il ne la voit que trop tard.
C’est donc en somme l’histoire qui nous montre que lorsque l’on se trouve dans un état psychologique de précarité, on est vite embarqué dans tout un chemin dirigé non pas par soi mais par un autre.
Bien qu’il m’ait fallu un certain temps pour comprendre ce livre, et sa portée, il m’a plu, mais après mûres réflexions.
Je ne lui donnerais cependant qu’un petit 3/5
L’auteur a été couronné en 1979 par le prix Renaudot, ce roman qui nous mène insensiblement du quotidien le plus banal à un fantastique psychologique inquiétant, terrifiant même, a été porté à l’écran par Pierre Granier Deferre sous le titre : Une étrange affaire
Garanemsa- Nombre de messages : 445
Age : 78
Location : Belgique/Liège
Date d'inscription : 28/10/2008
Re: Jean-Marc ROBERTS (France)
Pas de chance dans tes lectures Garanemsa... Je viens de lire toutes tes critiques et il y en a aucune au-dessus de 3/5... J'espère que tes prochaines lectures seront plus passionnantes !
Suzanne-écrivain- Nombre de messages : 847
Age : 51
Location : Saint-Hubert, Québec
Date d'inscription : 25/12/2008
non,non
pas pour le moment
j'ai décidé de liquider deux planches de livres que je dois donner un avis, ily a longtemps que cela traine et prends de la place alors je vide, je vide sinon je ne sais plus rien prendre
et étant donné que c'est pour la bonne cause, je fait
merci tout plein, mais je vais tenter entretemps de trouver quelque chose de bien
merci
et bonne soirée
j'ai décidé de liquider deux planches de livres que je dois donner un avis, ily a longtemps que cela traine et prends de la place alors je vide, je vide sinon je ne sais plus rien prendre
et étant donné que c'est pour la bonne cause, je fait
merci tout plein, mais je vais tenter entretemps de trouver quelque chose de bien
merci
et bonne soirée
Garanemsa- Nombre de messages : 445
Age : 78
Location : Belgique/Liège
Date d'inscription : 28/10/2008
Sujets similaires
» David ROBERTS (France)
» Nora ROBERTS (Etats-unis)
» Adam ROBERTS (Royaume-Uni)
» Jean-Marc SOUVIRA (France)
» Jean-Charles GAUDIN et Jean-Pierre DANARD
» Nora ROBERTS (Etats-unis)
» Adam ROBERTS (Royaume-Uni)
» Jean-Marc SOUVIRA (France)
» Jean-Charles GAUDIN et Jean-Pierre DANARD
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|