Ray KLUUN (Pays-Bas)
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Ray KLUUN (Pays-Bas)
Ray Kluun
est un jeune romancier couronné de succès aux Pays-Bas, avec plus de
500 000 exemplaires vendus. Pourtant son livre conte une histoire
triste : celle vécue par son auteur, dont la femme est décédée d'un
cancer du sein en 2001.(www.guerir.fr)
Shan_Ze- Admin
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Re: Ray KLUUN (Pays-Bas)
Étonnement: c'est le pseudo de Raymond van de Klundert. L'éditeur anglais trouvait le nom impossible, et il a proposé Ray Kluun, comme ça, c'est devenu son "nom littéraire" international. Et ce n'est pas le seul nom que l'on a changé pour les traductions (en anglais et d'autres langues).
Le livre en français: Ray Kluun, « En plein coeur », Presses de la Cité, 2007
C'est d'ailleurs un genre que je ne lis pas: genre "vie de boulevard".
Le livre en français: Ray Kluun, « En plein coeur », Presses de la Cité, 2007
C'est d'ailleurs un genre que je ne lis pas: genre "vie de boulevard".
_________________
Gallo
gallo- Nombre de messages : 2598
Location : Pays-Bas
Date d'inscription : 29/10/2008
Re: Ray KLUUN (Pays-Bas)
En plein cœur de Ray Kluun
Stijn Van Diepen se définit comme un monophobe aigu. C’est-à-dire qu’il ne peut s’empêcher d’être infidèle. Pourtant, il est heureux avec sa femme Carmen et sa fille, Luna. Jusqu’à ce qu’il apprenne que Carmen est atteinte d’un cancer du sein. Pas facile de gérer ça avec sa vie de bon vivant…
C’est bien son histoire que Ray Kluun raconte à travers Stijn. Une vie de pleine de sorties, de cafés, bars, boîtes, de femmes et de matchs. Quand il apprend le cancer de sa femme, il ne rompt pas avec sa vie, son besoin de liberté. Après ca devient dur, on suit le traitement du cancer, la dégradation de Carmen, la déchéance de Stijn… Pour moi, ça a été difficile et même impossible de m’identifier au narrateur, surtout pour sa vision de l’amour, mais je comprenais la souffrance, la douleur de ne pas voir grandir son enfant, la perte…
Un roman dur à lire. Parfois j’avais envie de le fermer devant tant de souffrance, de tristesse et aussi devant le comportement de Stijn. Mais c’est un livre qui m’a marqué.
Note :4.5/5
Stijn Van Diepen se définit comme un monophobe aigu. C’est-à-dire qu’il ne peut s’empêcher d’être infidèle. Pourtant, il est heureux avec sa femme Carmen et sa fille, Luna. Jusqu’à ce qu’il apprenne que Carmen est atteinte d’un cancer du sein. Pas facile de gérer ça avec sa vie de bon vivant…
C’est bien son histoire que Ray Kluun raconte à travers Stijn. Une vie de pleine de sorties, de cafés, bars, boîtes, de femmes et de matchs. Quand il apprend le cancer de sa femme, il ne rompt pas avec sa vie, son besoin de liberté. Après ca devient dur, on suit le traitement du cancer, la dégradation de Carmen, la déchéance de Stijn… Pour moi, ça a été difficile et même impossible de m’identifier au narrateur, surtout pour sa vision de l’amour, mais je comprenais la souffrance, la douleur de ne pas voir grandir son enfant, la perte…
Un roman dur à lire. Parfois j’avais envie de le fermer devant tant de souffrance, de tristesse et aussi devant le comportement de Stijn. Mais c’est un livre qui m’a marqué.
Note :4.5/5
Shan_Ze- Admin
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Date d'inscription : 26/10/2008
Re: Ray KLUUN (Pays-Bas)
Retour de boomerang de Ray Kluun
Après la mort de sa femme, Stijn se complait au milieu de filles et de la coke. Mais il va essayer de se remettre en question en partant avec sa fille en Australie, le pays que sa femme avait aimé lors d’un voyage. En Australie, il va penser à sa vie actuelle qui lui revient comme un boomerang.
J'ai beaucoup moins aimé cette partie « post-décès ». Ca parle beaucoup de cul, coke et autres. Quand il commence à parler de sa relation avec sa fille, ça devient un peu plus intéressant. Ce n’est que vers la fin qu’il commence à réfléchir sur sa vie amoureuse et ça fait long à attendre. Comme dans le tome précédent, j’ai eu du mal à comprendre sa philosophie de vie…
Note : 3/5
Après la mort de sa femme, Stijn se complait au milieu de filles et de la coke. Mais il va essayer de se remettre en question en partant avec sa fille en Australie, le pays que sa femme avait aimé lors d’un voyage. En Australie, il va penser à sa vie actuelle qui lui revient comme un boomerang.
J'ai beaucoup moins aimé cette partie « post-décès ». Ca parle beaucoup de cul, coke et autres. Quand il commence à parler de sa relation avec sa fille, ça devient un peu plus intéressant. Ce n’est que vers la fin qu’il commence à réfléchir sur sa vie amoureuse et ça fait long à attendre. Comme dans le tome précédent, j’ai eu du mal à comprendre sa philosophie de vie…
Note : 3/5
Shan_Ze- Admin
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