Dario FRANCESCHINI (Italie)
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Dario FRANCESCHINI (Italie)
Dario Franceschini est un homme politique italien du parti démocrate né le 19 Octobre 1958 à Ferrarre. Il a remporté en 2007, le prix de Chambéry du premier roman avec Dans les veines, ce fleuve d'argent publié en 20O6
"L'erreur c'est de croire qu'un livre est un objet inanimé comme un vase ou une cuiller."
J'ai trouvé cette phrase page 20, il s'applique merveilleusement à ce petit
ouvrage qu'on aimerait faire vivre et partager avec d'autres. Primo est
atteint d'une drôle de maladie, une maladie "de riche" comme dit sa
mère qui lui fait confondre le froid et le silence. Il part un matin
recherche un vieux copain de classe pour lui donner une réponse à la
question posée il y a 42 ans...La question, on ne la connaitra que dans
les dernières pages quand l'effroyable réponse charriée par le fleuve
nous fera fermer le livre. L'action se situe au bord du Pô, ce fleuve
nourricier qui raconte et guide la vie des hommes. De ses caprices
surgissent ces esturgeons fantastiques, des drames et des histoires
étranges dont l'air vibre encore longtemps après leur conclusion. Primo
s'est nourrit de ces légendes. Homme simple et sans histoires, dans la
profondeur de ses pensées flottent des tendresse insoupçonnées, des
compréhensions universelles. J'ai pensé à Baricco et Erri de Luca en
parcourant ces pages. On y trouve la même poésie sensible et l'écoute
de la vie cachée. Franceschini mélange les sensations faisant surgir
des impressions nouvelles avec des phrases comme : 'Il laissa dans
l'air la même odeur de pain chaud que les yeux des nouveaux-nés". C'est
curieux comme association mais puissamment évocateur. Personnellement,
je ne regrette qu'une chose, c'est que ça passe si vite...
"L'erreur c'est de croire qu'un livre est un objet inanimé comme un vase ou une cuiller."
J'ai trouvé cette phrase page 20, il s'applique merveilleusement à ce petit
ouvrage qu'on aimerait faire vivre et partager avec d'autres. Primo est
atteint d'une drôle de maladie, une maladie "de riche" comme dit sa
mère qui lui fait confondre le froid et le silence. Il part un matin
recherche un vieux copain de classe pour lui donner une réponse à la
question posée il y a 42 ans...La question, on ne la connaitra que dans
les dernières pages quand l'effroyable réponse charriée par le fleuve
nous fera fermer le livre. L'action se situe au bord du Pô, ce fleuve
nourricier qui raconte et guide la vie des hommes. De ses caprices
surgissent ces esturgeons fantastiques, des drames et des histoires
étranges dont l'air vibre encore longtemps après leur conclusion. Primo
s'est nourrit de ces légendes. Homme simple et sans histoires, dans la
profondeur de ses pensées flottent des tendresse insoupçonnées, des
compréhensions universelles. J'ai pensé à Baricco et Erri de Luca en
parcourant ces pages. On y trouve la même poésie sensible et l'écoute
de la vie cachée. Franceschini mélange les sensations faisant surgir
des impressions nouvelles avec des phrases comme : 'Il laissa dans
l'air la même odeur de pain chaud que les yeux des nouveaux-nés". C'est
curieux comme association mais puissamment évocateur. Personnellement,
je ne regrette qu'une chose, c'est que ça passe si vite...
Invité- Invité
Re: Dario FRANCESCHINI (Italie)
Je l'avais repéré ce livre. Cela a l'air d'une poésie incroyable alors je l'ai ajouté à ma LAL non officielle
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