Marie NDIAYE (France)

Marie NDIAYE (France) - Trois femmes puissantes
Gallimard 2009, 316 pg.


Prix Goncourt cette année 2009, son roman Trois femmes puissantes ne fait pas l'unanimité.
Devant cette contreverse ( autre que les origines et les paroles de l'auteur aux médias) , j'ai décidé d'essayer .........j'aime le danger alors que j'ai une pAL de .......bouquins
Eh là, peut etre pas , mais au moins .
Ce roman conte la vie de trois femmes africaines, dont l'une exilée en France par l'intermédiare des pensées de son mari, blanc, français.
La vie des femmes africaines n'est pas facile.......ce n'est pas une découverte : une femme veuve, sans enfant qui se fait "jeter à la rue " par sa belle famille qui ne veut plus la nourrir .
Cependant tout cela on peut l'imaginer.
ce qui m'a plu , c'est le style trés littéraire , des phrases, peut etre un peu longues pour certains, mais enroulées, délicieuses, à déguster.
Un livre que j'ai mis un certain temps à lire , car tout est dans le style à gouter, à savourer .

Désolée pas encore en poche bien sur, mais d'autres livres de cette auteur existent en poche, je n'ai pas essayé, puisque c'est une découverte , je vais poursuivre .
Attention, pour ceux qui aiment l'écriture, pas d'histoire haletante !
Si vous l'avez lu donnez moi votre avis, en France, trés moyen, sauf par mes amis grands lecteurs

Un coup de coeur pour un prix français souvent attribué ........au hasard des ? pouvoirs médiatiques ?

Hum, intéressant. Serait-il possible d'écrire la nationalité de l'auteure dans le titre du sujet ?

TROIS FEMMES PUISSANTES
Marie Ndiaye

Trois femmes Norah, Fanta, Khady.
Norah quitté Paris et sa famille, sa carrière d’avocate pour rendre visite à son père en Afrique. Rencontre difficile, qui donne lieu à une épreuve de vérité sui met en péril son couple et même toute sa vie.
Quant à Fanta, elle a quitté l’Afrique pour suivre son mari en France, mais elle se morfond et s’étiole.
Quant à Khady, africaine et contrainte à l’exil par le veuvage, solitude, pauvreté, désespoir. Engagées par les clandestins pour un voyage tragique dont elle ne reviendra pas
Un lien ténu lie ces trois femmes dans la réalité.
Personnellement j’ai pas spécialement aimé ce livre.
Certes il est très bien écrit, quoique trop de répétitions malheureusement.
C’est lassant par moment.
En réalité ces trois femmes, se trouvent dans une situation telle qu’elles vont faire un retour sur leur vie, une analyse profonde de la situation, actuelle et passée.
J’avais pensé autre chose
3/5

Trois femmes puissantes, de Marie Ndiaye

Trois récits, reliés par un très mince fil, qui vont de l’Afrique à l’Europe et vice-versa. Beau style, de images et ambiances évoquées en peu de mots. Le drame n’est pas toujours où on l’attend.

4/5

le réaliste-romantique

MARIE NDIAYE- Trois femmes puissantes

J'ai été déçue par ce livre.
Pourtant cela commençait bien. La première histoire m'a beaucoup plu: cette femme qui revient vers son père qu'elle hait pour essayer de sauver son frère de la prison est très bien construite dans une atmosphère lourde pleine de non-dits qui me plaît bien.
Par contre je cherche toujours où se trouve " la femme puissante" du deuxième récit: nous suivons durant une journée un homme Rudy qui se morfond de sa vie ratée et essaie d'en chercher la raison dans son passé. L'écriture est encore belle mais cela traine un peu en longueur.
La troisième histoire : une jeune femme africaine reniée par sa belle-famille tombe entre les mains de "passeurs" de clandestins qui abusent d'elle dans tous les sens du terme. Ce dernier récit est très poignant et par moment très cruel.
Même si j'ai aimé le style de l'auteur je reste sur ma faim. Ces trois histoires ne sont que très peu liées et il ne s'en dégage aucune unité.
Je le note tout de même 3/5 pour l'écriture

Trois histoires entre l'Afrique et la France avec un fil conducteur très très fin pour trois femmes Nora, Fanta et Khady Demba.

Dans chacune de ces trois "nouvelles", on est face à une jeune femme profondément blessée par la vie, par ses proches. Solitaire, elle essaie tant bien que mal de s'en sortir et de se battre.

On fait d'abord connaissance avec Nora qui revient dans la maison de son enfance à la suite d'une demande mystérieuse de son père qu'elle n'a pas vu depuis son adolescence. Un père qui ne l'a jamais aimé, qui les a abandonnées-elle, sa soeur et leur mère- et qui maintenant lui demande de l'aider à faire sortir son fils adoré- son frère- de prison. La confrontation avec ce père, dans une maison défraichie, dans la moiteur d'une grande ville africaine, obligera Nora à réfléchir à sa propre vie en France, à ses propres angoisses de mère, à sa difficulté à aimer sa propre fille. Elle ressortira plus forte de cette histoire. Une très belle écriture ,dans une atmosphère chaude et alanguie, où l'auteur nous livre par petite touche, avec beaucoup de non-dits, l'histoire de Nora mais aussi de son frère : pourquoi se retrouve-t-il en prison, pourquoi ce père auparavant si distingué semble maintenant si négligé, si pitoyable. Même si la fin de l'histoire m'a un peu déçue et surprise car je m'attendais à plus... j'ai beaucoup apprécié.

La seconde nouvelle nous conte à travers le récit de Rudy Descas, son mari, l'histoire de Fanta, jeune femme africaine aux illusions perdues...
On suit donc, le long d'une chaude journée d'été quelque part en Provence, les errances, les souvenirs, le désespoir de Rudy- métis tiraillé entre le Congo où il était jadis professeur admiré et aimé par sa femme- qui l'a suivi en France-et la Provence où il n'est...plus rien. Après une dispute matinale entre les époux, là aussi, on comprend peu à peu, par petites touches, ce qui s'est passé, comment Rudy en arrive à ce constat d'échec, comment il voit des vautours partout prêt à lui sauter dessus.... Et comment il risque de s'en sortir... Là encore, le rôle du père est primordial...

Enfin nous suivons Khady Demba, jeune fille juste croisée lors de la première nouvelle dans une pièce sombre... On la retrouve quelques années plus tard, veuve, sans enfants, solitaire, malheureuse et mise à l'écart par sa belle-famille qui ne veut plus d'elle et la considère comme un fardeau. Sa belle mère lui donne donc un peu d'argent et un crouton de pain avant de la mettre dehors et de l'envoyer loin, très loin... L'histoire de Khady Demba est bouleversante, elle tombe sans cesse mais elle est fière et se relève à chaque fois, elle ne veut pas s'avouer vaincue. L'auteur dénonce l'immigration clandestine dans cette histoire révoltante, mais malheureusement si vraie, avec beaucoup d'émotions.

On peut reprocher à Marie NDiaye des phrases très longues, une première histoire pas très aboutie ( quoiqu'elle laisse une porte ouverte ) et peu de lien entre les trois histoires. Malgré cela, j'ai trouvé son écriture superbe, très riche, pleine d'images et pas du tout ennuyeuse. J'aime beaucoup la façon qu'elle a de présenter un minimum ses personnages, de les envelopper de mystères, pour ensuite nous livrer par petites touches des éléments qui nous permettent de les comprendre pour d'aboutir à un portrait psychologique très riche de trois femmes qui souffrent.
On ressent vraiment la chaleur moite de l'Afrique, l'ambiance est particulière et l'atmosphère toujours pesante.

Prix ou pas prix, un livre que j'ai pris plaisir à lire.

Trois femmes puissantes

Dans ce thème d'histoires de femmes, je me suis dit que c'était le moment de lire ce prix Goncourt... Mais là c'est un peu la déception... et je vois que cette impression est partagée par d'autres rats.
En fait plutôt que 3 femmes j'en compte plutôt 2 (et demi si vraiment on veut être précis) car la deuxième histoire traite plus de son mari que de la femme en elle-même et j'aurais bien aimé connaître un peu plus ses sentiments...

Bon j'ai trouvé l'écriture très bonne, des phrases bien rythmée avec des répétitions, on ressent bien la force des sentiments mais il n'y a pas vraiment d'histoire, juste des bribes de vies entremêlées, entremêlements que je n'ai pas toujours compris d'ailleurs... est-ce que ça tient vraiment la route? A la fin j'ai cru qu'il manquait des morceaux, en tous cas pour moi il manque des dénouements et je déteste les romans qui tronquent les histoires

Bref, je ne sais pas quelle note mettre peut-être un 3 ou un 3,5 sur 5 je ne le conseille pas sauf si vous voulez lire un prix Goncourt pour le prestige

Ladivine

2013


Récit de la vie de trois femmes, mais cette fois de la même lignée. Une fille a honte de la « domestique » de la maison, en fait sa mère. Elle trace sa propre vie, change même de nom, mais garde néanmoins un fil avec sa mère. Son couple se délite toutefois avec les années, la relation froide avec son mari amène se dernier à aller refaire sa vie. Il y réussit, mais ressentira néanmoins toujours l’attraction envers son épouse abandonnée. Leur fille a grandi dans une étrange famille, où tout était explicable, tout était pardonnable. Mais elle réussit quand même à ne pas sombrer dans les bas fonds de milieux louches et part faire sa vie à Berlin, avec mari et enfants. Chacune de leur vie sera toutefois bouleversée par un drame funeste.
 
Marie Ndiaye réussit à mener vers le fond ses personnages. Lorsqu’ils s’enfoncent dans les difficultés et la misère (pas seulement du point de vue matériel), la descente est longue et difficile à lire. Dans certains passages, par exemple lors d’un souper riche et gras servi par des amis riches dans un pays chaud, je me sentais étouffer à cause de la chaleur et près de la nausée à cause des plats servis dans ce contexte. Et la pauvre famille qui a gratté ses fonds de tiroir pour se payer des vacances à l’étranger se retrouve dans un endroit tellement minable, c’est à en pleurer. Et ils deviennent apathiques, perdent toute volonté de s’en sortir, on souffre de penser à tous les jours qui nous restent à passer avec eux dans cet endroit horrible. Lorsque le père annonce qu’il a loué un véhicule pour aller ailleurs, le lecteur pousse un grand soupir de soulagement.
 
Dans ce livre, Marie Ndiaye introduit des éléments de fantastique. Est-ce du surnaturelle (choses que j’abhorre dans un livre réaliste) ? Elle joue avec finesse et demeure sur le fil des explications, et on peut croire à une illusion ou la perturbation des personnages.
 
Un excellent livre de Marie Ndiaye.
 

4,5/5

le réaliste-romantique

Mon cœur à l’étroit
2007

Oppression, angoisse et inquiétude : une expérience de lecture inhabituelle. Un couple d’enseignants de Bordeaux est mis à l’index par leur communauté. On peut même leur cracher au visage et les blesser sans crainte de représailles, le couple n’osera même pas contacter la police ou le docteur, de peur d’aggraver leur cas. Mais qu’est-ce qu’ils ont fait? Tout le monde semble le savoir, sauf la femme (ainsi que le lecteur). Nadia se questionne et soupçonne tout son entourage, même son mari qui pourrait simuler ou encore aggraver sa blessure pour lui nuire. Et le monde devient étrange, un hybride entre un rêve cauchemardesque et un roman de Boris Vian. Noget, le voisin le moins apprécié de l’immeuble, s’immisce dans leur vie, leur mitonne des plats  gastronomiques et prévient tous leurs besoins. Mais il est aussi toujours présent, il apparaît dans l’appartement à tout moment. L’environnement physique n’est pas en reste, il fait aussi sa part pour oppresser Nadia : le brouillard tombe sur la ville, les rues modifient leur parcours pour la perdre, les trams et les trains la frôlent de près mais ne passent plus lorsqu’elle les attend. Pour rajouter à l’atmosphère difficile à supporter, l’auteure sème aussi des éléments viscéraux et scatologiques : un repas gras à en donner la nausée, un plaie purulente, une diarrhée urgente… Malgré tout cela, le lecteur reste accroché au livre et, tout comme Nadia, veut comprendre le pourquoi. Ou sinon, jusque où est-ce que le délitement de son monde peut aller.
 
Les personnages sont souvent étranges, mais ils ont toujours une complexité qui fascine. Il n’y en a aucun qui n’est seulement que bon ou mauvais. Plusieurs éléments ou thèmes de son autre excellent livre Ladivine se trouvaient dans celui-ci : la fascination pour les grosses voitures, l’apparition du fantastique, l’environnement physique qui oppresse les personnage, la rupture totale avec les parents pour compléter la rupture avec son milieu d’origine, le retour aux sources de son passé que l’on tente d’effacer. La lecture de ce livre dérange, pendant ma lecture j’avais hâte de le terminer, mais il marque aussi l’esprit, comme une fable qui exagère pour mieux faire réfléchir. Est-on condamné à être hanté par son passé lorsqu’on tente de rompre avec lui et tous ceux qui l’habitaient?
 
5/5

le réaliste-romantique

Un temps de saison

Herman et sa famille, Parisiens, décident de prolonger leurs vacances dans le joli village quelques jours au-delà de la limite habituelle du 31 août. Le 1^er septembre, la pluie est torrentielle, mais surtout Rose et le garçon ne reviennent pas d’être allés chercher du lait, bien qu’ils le faisaient chaque matin. Herman questionne la voisine et se rend auprès des autorités du village, mais personne ne se presse de l’aider. Il décide finalement de rester au village pour tenter les retrouver, mais on le décourage de les chercher, on l’encourage plutôt à se fondre dans la vie du village, à oublier Paris, à se faire aux mœurs où les commerçants dominent et où le ciel est gris et bas. Est-ce que sa famille désirait plus que lui rester au village, quitte à se transformer en ombres? Lui réussira-t-il à s’intégrer, ou alors à s’en extraire pour revoir un jour à Paris?

Marie NDiaye excelle à dépeindre des personnes en situation d’altérité, ici le Parisien qui reste au village passé la fin de l’été et qui devient alors témoin de la « vraie » vie de cette région. Il ne comprend pas les codes, s’étonnent, et parfois est outré, des habitudes, mais à la longue il se transforme, quoique pas nécessairement d’une manière positive. NDiaye rempli ses livres de pièces humides, de temps désagréables, de troubles physiques. Elle crée une atmosphère de malaise qui reflète l’état de son personnage central. J’aime beaucoup ses livres même si on ressent des sensations bizarres pendant leur lecture.

4,5/5

RR

Tu me donnes envie de découvrir cet écrivain dont je n'ai jamais rien lu.

RR Interessant j'ai pris la cheffe à la bibliothèque ce sera ma première lecture de cette auteure

Rosie Carpe

Marie-Rose, que tout le monde appelle maintenant Rosie, se rend en Guadeloupe avec son fils pour retrouver son frère. Elle est toutefois choquée de découvrir qu’il n’est pas l’homme a succès qu’il décrit dans ses lettres, mais habite un maison non terminée presque sur la route. On découvre alors le passé de Rosie, comment les parents les traitent, elle et son frère, froids et à distance. Comment le frère et la sœur ont tous deux abandonné leurs études après un an à Paris. Comment elle s’est retrouvée à travailler dans un hôtel, à avoir une relation avec son chef et à tomber enceinte. La maternité est surtout subite, sa situation ne s’améliore pas, alors elle quitte la métropole en dernier recours.

Ce livre est difficile à lire. Rosie Carpe maltraite souvent ses personnages, mais ici elle les enfonce par étapes de plus en plus profondément. Le patron abuse de Rosie, physiquement, psychologiquement et financièrement, mais celle-ci ne fait que subir. Elle subit en fait toute sa vie, incluant son enfant. Elle n’a aucune étincelle de révolte, ce qui rend la lecture encore plus difficile. Et les autres personnages ne s’en sortent pas beaucoup mieux, ils se retrouvent toujours dans des situations difficiles, subissant les affres de la météo, de déchets, des autres ou perdant le contrôle de leurs fonctions corporelles. L’environnement est souvent étouffant et puant. L’intrigue est aussi un peu confuse, surtout que ce n’est pas toujours absolument réaliste. Je ne recommande pas ce livre de Marie Ndiaye, à moins d’être un fan fini de son œuvre.

2,5/5

RR

Autoportrait en vert

La narratrice aperçoit devant une maison délabrée une femme tout de vert vêtue, qui lui rappelle une enseignante qui lui faisait peur. Mais elle n’existe peut-être pas. Elle croise aussi une amie en vert, mais ça ne semble pas vraiment être son amie. Elle visite son père, maintenant remariée avec une de ses amies de jeunesse. Et sa mère est seule, mais à un moment elle a un nouvel enfant. La narratrice se rappelle aussi qu’elle a des sœurs à Paris. L’action démarre autour de Bordeau, où la Garonne va déborder, mais se déplace aussi jusqu’à Ouagadougou.

On retrouve les éléments clés de l’œuvre de NDiaye : la réalité mouvante, les personnages qui changes et les repèrent non stables, comme dans un cauchemar, ainsi que l’ambiance inquiétante de quotidien anormal. Mais cette fois, comme pour Rosie Carpe, la sauce n’a pas pris pour moi : l’accumulation de mystère m’a fait décrocher, je ne cherchais plus un sens à toutes les bizarreries, l’atmosphère oppressante et inquiétante ne me donnait qu’envie que le livre se termine rapidement (il est court, sinon je l’aurais peut-être même abandonné). La trame de l’intrigue est plus ténue (j’oserais même dire absente), trop pour que je l’apprécie.
 
2,5/5

RR

Comédie classique

Le narrateur va visiter sa vieille mère avec sa sœur et son frère. Ils vont aussi accueillir le cousin George qui est sorti de sa province pour une escapade parisienne. Ce dernier est très heureux de sa sortie, fait des rencontres intéressantes, mais se fait aussi détrousser. Le diner familiale est aussi source de tensions : Judith a énormément de reproches contre sa mère.

Ce résumé est plus claire que la lecture, parce que ce livre est un exercice de style : un histoire racontée d’une seul phrase de 120 pages (incluant même quelques lignes de dialogue). C’est étouffant et peu agréable (selon moi).  J’ai eu de la difficulté à suivre le récit à cause de ce concept, car je lis assez rapidement, mais je dois parfois revenir un peu en arrière lorsque je suis distrait par d’autres pensées en cours de lecture. Sauf qu’ici je n’avais pas d’endroit où me raccrocher, mon cerveau n’avait aucune idée à partir de quel moment j’avais décroché (je ne reconnaissais rien, pas de début de paragraphe ou de page), alors je devais continuer la course sans reprendre mon souffle. Marie NDiaye est un autrice fascinante qui n’a pas peur d’expérimenter. Vous pouvez voir que mes notes varient beaucoup. 

2/5

RR

R.R: Les exercices de style expérimentaux ne me sont pas trop fait pour me plaire. Bien souvent ils alourdissent la lecture et l'intérêt du livre passe au second plan. Celui-ci confirme donc cet avis. De Marie Ndiaye, j'ai lu "Trois femmes puissantes". Plus aucun souvenirs... Il serait surprenant que je retourne vers cette auteure.